Description Réaliste Et Description Naturaliste

naturalisme il faut que tu saches que le mouvement réaliste se développe avant le naturalisme. Deja ces deux mouvements parlent essentiellement de la politique et de la societe du 19ème siècle. La différence entre le réalisme est que pour le réalisme l'auteur s'inspire de ce qui se passe autour de lui à cette époque. Il parle des groupes sociaux, du milieu ou vivent les individus à cette époque, de la vie urbaine ou provinciale, de situations réalistes à cette époque comme la misère ou les ascensions

(mais plutôt par procuration, le discours de Vautrin le séduit... (A) Zola, Au Bonheur des dames : - on le suit au plus près, grâce à la focalisation interne : - le regard de Mouret : il observe avec délectation le spectacle de ses clientes (description de l'agitation) ; une jouissance teintée d'érotisme ... - ses pensées (Discours Indirect Libre), les passions parfois violentes : on perçoit qu'il jubile, qu'il savoure sa victoire, qu'il est orgueilleux - images épiques, de la guerre (termes

Stendhal. Le réalisme consiste à décrire la réalité, avec des descriptions très pointilleuse comme le fait Flaubert. C'est panorama sur la société et son environnement alors que le naturalisme, c'est l'exagération de la réalité et des thèses comme c'elle du matérialisme et de la génétique. Les différences entre le Réalisme et le Naturalisme résident donc dans le choix de leurs thèmes et des principes qui les composent. L'écrivain naturaliste vérifie expérimentalement dans ses romans le rôle des déterminismes

 Émile Zola, écrivain naturaliste et réaliste du XIXe siècle, à tenté, à travers de son ensemble d’œuvres Les Rougon-Macquart, décrire la société française à l'époque, sous le Second Empire. Ces romans se consacrent aux milieux sociales des ouvriers parisiens (L'Assomoir), les mineurs (Germinal), et, dans Nana, à travers le récit de la vie de la fille de Gervaise et de Coupeau, il s'est attaché à décrire le monde de la prostitution de luxe sous le Second Empire. Cet extrait du chapitre 1 de Nana

ennemis, le médecin, le double (les personnages sont toujours double mais sont différents) - la famille qui va être détruite par un secret et la mer. Où : en Normandie, au Havre. Epoque littéraire : le réalisme Genre littéraire : Roman réaliste II Qui ? Pierre Roland : homme brun de 30 ans, né en 1855. Il est jaloux de son frère Jean et va enquêter sur la légitimité de son frère. Il est reçu docteur en médecine et souhaite installer un cabinet de médecine dans la région (litige

mouvement. Dans cet extrait, une description méticuleuse et réaliste de la part de Zola, il décrit un endroit bien précis, c’est le passage du pont neuf, situé à Paris, là où toute l’histoire va se dérouler. Après lecture de ce dernier, nous verrons qu’Emile Zola, porte une très grande importance à la description de cet endroit, il le décrit d’une façon subjective et péjorative. Le commentaire se déroulera en deux parties, une partie qui consistera en la description réaliste de l’extrait et une autre

riche vieillard aux habits luxueux « magnificence de son rabat de dentelle », « prépondérance sécurité de la démarche ». Victor Hugo travaille lui aussi selon cette technique à la limite de la caricature « l’espèce de visage inouï ». Zola, écrivain naturaliste, soigne les détails des mouvements avec « il prit sa distance » et « il ne se pressa pas » mais aussi de la carrure de « Gueule d’or » avec « des épaules et des bras sculptés » et du milieu ouvrier même. Enfin Proust, lui se focalise sur le visage

compte de certaines contraintes : fournir les informations et les repères nécessaires au lecteur. Mais Zola veut donner l’illusion de créer des personnages réels et faire de son roman « une tranche de vie ». Comment s’y prend-il ? Ier axe : Un incipit réaliste : - Début « in medias res » : « Gervaise avait attendu Lantier » →: les deux personnages ne sont pas présentés, comme s’ils étaient connus du lecteur depuis toujours. Zola donne uniquement le prénom de l’héroïne pour que celle-ci paraisse familière

représentés dans les aspects souvent les plus sordides de leur existence. Lorsque Flaubert évoque une scène de pillage de 1848, il souligne sans lyrisme ni totalité épique le déchaînement bestial d'une foule en colère. La volonté des écrivains réalistes d'imiter le réel et d'en rendre compte tel quel implique non seulement l'observation mais une véritable documentation. Il faut aller voir sur place, comme le font Goncourt et Zola, accumuler des notes, s'informer auprès des spécialistes : Maupassant

le pers. Le premier paragraphe nous met dans l'ambiance (description détaillée du paysage). L'homme est dominé par le paysage : derrière lui, une plaine immense, inhospitalière. Devant lui, un paysage industriel confus. Il est comme écrasé entre les deux paysages. Malgré la minceur des indications temporelles, on se rend compte que les lieux ont une importance dominante. II/ Le paysage Le romancier réaliste, a fortiori naturaliste, désire donner la reproduction la plus fidèle possible de