Deshumanisation

modifier le code] L'auteur fait de nombreux emprunts aux témoins de la Shoah. Ainsi la fin du chapitre X, il aborde le thème de la déshumanisation: « Nous n'étions plus nous mêmes. Nous ne nous appartenions plus. Nous n'étions plus des hommes. Nous n'étions qu'une espèce. » L'allusion au livre de Robert Antelme, L'espèce humaine est à peine voilée. Cette déshumanisation est telle que Brodeck pour survivre accepte de devenir le « chien Brodeck » et d'être promené en laisse comme un animal. La culpabilité

est la cause de cette indifférence ? Ø p. 78,79 2) Pourquoi les jeunes s’interdisent-ils tout sentiment et toute réflexion ? Ø p.107, 108, 128, 133, 148 3) Comment survivent-ils à cette déshumanisation ? Ø p.107, 108, 174 4) Jusqu’où va cette déshumanisation ? Ø p.89, 90, 163 Des vieillards : 1) Quelle expression utilise Kantorek à propos des jeunes soldats ? Que signifie-t-elle ? Ø p. 18 2) Pourquoi les jeunes soldats se sentent-ils vieux

les caméras dix-neuf corps, côte à côte, plus ou moins décomposés. Dont celui d’un bébé posé sur le cadavre d’une femme, qu’on imaginait être sa maman.“, ensuite c’est l.10 „chauffeurs de camions qui transportaient des mètres cubes de corps“-déshumanisation, effet de masse, images des corps et de la boue mélangés -description de l’horreur permet d’exprimer le pouvoir totalitaire b)Pouvoir totalitaire -présence de la police secrète l.11 s’appelant l.17 Securitate, la police du régime -présence

limites du taylorisme Grand sucés du Taylorisme, adopté dans tous les pays. L'accroissement de la production dans le monde s'explique en partie par la mise en place du Taylorisme. Cependant le Taylorisme est trop scientifique. Il y a eu une déshumanisation du travail, un absentéisme, des pannes provoquées. Le système s'est avéré trop contraignant psychologiquement et physiquement. II.2 FAYOL (1841-1925) et la gestion administrative du travail Cet auteur français a passé pratiquement toute sa carrière

n’avaient pas plus de valeur qu’un outil. L’Homme a fait de l’Homme une chose à ses yeux, et il en est ainsi dans toute l’histoire, les exemples ne se comptent plus, et ici, nous nous positionnerons à l’intérieur de cet homme qui subit cette déshumanisation, nous plongerons dans ses sentiments profonds qui font de lui l’Homme qu’il est. Pour ce faire nous analyseront le cas des prisonniers d’Auschwitz durant l’Holocauste, au travers du témoignage, « Si c’est un homme », de Primo Levi, rescapé, que

du corps de Lalie est donnée par le regard de Gervaise (voir début) Ne songeant plus à tirer le drap On revient sur l'idée de départ mais ça ne sert plus à rien renversée par la vue de ce rien du tout pitoyable, aplati au fond du lit Déshumanisation (elle n'est plus rien) Elle est encore vivante mais déjà morte, son lit est devenu s tombe Et ses lèvres tremblantes cherchaient des prières Émotion voca religieux : ou elle ne connaît pas de prières ou bien à quoi servirait de prier

d'abord un repère social et, à l'inverse, la solitude est déshumanisation. Roquentin dans La nausée de Sartre, note qu’à force de refuser le contact des autres, il sent qu'il perd son éloquence, il semblerait que sa vivacité mentale ne se développe qu’au contact immédiat des hommes. La présence d'autrui est donc la marque de notre humanité. Si autrui par sa présence physique permet d’obtenir des repères sociaux et de lutter contre la déshumanisation, il permet dans un deuxième temps de se sentir existant

camp de travail forcé de Monowitz. Les femmes, les enfants, les malades et les personnes âgées sont exécutées dans les chambres à gaz. Chapitre 2 L’auteur fait la description du trajet en camion jusqu’à ce nouveau camp. C’est le temps de la déshumanisation : les prisonniers sont déshabillés, tondus, on leur tatoue un numéro sur le bras. Le camp (le « Lager ») et ses conditions de travail sont décrites en détail. Primo Levi relate ces quinze premiers jours d’emprisonnement, dans des conditions inhumaines

pour une personne en dehors d'elle, un discours rédigé a la première personne qui ne porte aucun jugement. II. Dire l'indicible II.1 Focalisation Externe Plus qu’à la dépersonnalisation, le système concentrationnaire vise à la déshumanisation. Le témoignage se porte significativement sur un « Je » mais comme un autre, faisant une différence entre je d'avant et ce qu’il est devenu. La focalisation externe recouvre surtout les changement physique ou corporelle, le témoignant se découvre

ressemblance vocalique Assonance = retour du même son vocalique {text:soft-page-break} On voit bien que Voltaire cisaille sa phrase avec de nombreux procédés pour quelle soit le plus percutante possible et à traduire au mieux la déshumanisation du prisonnier. La déshumanisation est sensible aussi du fait que le prisonnier ne soit pas nommé, « un homme » (l.4) et cela pour tout le reste du paragraphe, « un conseiller de la Tournelle » (l.3), « un chirurgien » (l.8), « on recommence » (l.9). Tout est