Deshumanisation

a/ Injustice en ce qui concerne les fellahs : travail et condition de vie. b/ Injustice au niveau de la parole : pas de liberté d’expression. c/ Injustice par rapport aux arrestations : les colons ne leur donnent aucun droit. II. Déshumanisation Face à cette injustice, les fellahs sont déshumanisés. a/ La femme n’a plus de caractère féminin et n’est plus considérée comme humaine. Dans ce passage, les femmes sont montrées comme n’étant plus féminine, elles perdent tous traits de

Tr => Si la femme est incapable de gérer son argent, son infériorité va au-delà puisqu’elle est parfois déshumanisée et ne devient alors plus qu’un objet. C’est ce que nous allons voir avec les personnages de Jeanne et Tante Lison. B – La déshumanisation de la femme : entre objet, chose, fantôme, animal. Tout d’abord, l’immobilisme de Jeanne face à son échec conjugal puis maternel la rapproche de l’objet. Lorsque Julien désire sa femme, il ne la désire que comme un objet sexuel comme lorsqu’il

rapports peut-on établir entre émotion, sensibilité extrême qui caractérisent la création romantique et « mal du siècle » ? Dans quelle mesure la révolution industrielle et économique va bouleverser les rapports de l’homme et du monde ? XXe déshumanisation et nouvel humanisme : Expliquer pourquoi les guerres mondiales, les génocides, l’utilisation de la bombe atomique provoquent le sentiment que l’humanisme est mort. Quelles visions les créateurs donneront-ils de l’homme et de la société dans

aui a été à son apogé pendant la période du cinéma muet j'usqu'a la fin des années 20. Il est caractérisé par un comique extravagant et une succession de situation drôle. On voit particulièrement que Charlie Chaplin dénonce le taylorisme et la déshumanisation du travail dans certaine scene, par exemple. Analyse séquence : scene des moutons : Charlie Chaplin fait lien entre un troupeau de mouton, et un troupeau d’hommes allant au travail. Le mouton est d’une intelligence limitée et agis par

seule autre couleur présente, « un fanal vert » (v 30) qui est le seul et unique point de repère. À présent, nous allons parler de la déshumanisation de la ville. Nous avons des phrases contenant des sujets indéfinis et non animés (strophe 6) : « des quais sonnent » « des tombereaux grincent » « des balances » « des sous-sols » « des ponts » : cela montre la déshumanisation de la ville, ville de plus en plus inquiétante où l’humain n'a plus sa place. D’autre part, nous avons des sensations auditives « sonnent »

juives ; le dessin noirci de son uniforme contribue à lui donner un aspect effroyable et barbare. On peut remarquer quelques détails significatifs sur la réalité du camp d’Auschwitz: => plusieurs atteintes à la dignité humaine (humiliation et déshumanisation): - ils se déshabillent après leur avoir dérobé leurs objets de valeur et leurs biens personnels - on les rase pour récupérer leurs cheveux - on les bat - les hommes doivent marcher nus dans la neige pour recevoir le costume rayé des prisonniers

psychosociaux dont elle fait l’objet. En effet la stratégie managériale Top/Down adoptée, autrement dit, basé sur le taylorisme fût un total échec. Cette forme managériale a suscitée une vague suicidaire au sein de l’entreprise ce qui traduit la deshumanisation et informatisation de l’entreprise ainsi que la frustration et démotivation des salariés victimes de la structure d’entreprise. 2- -Prise de conscience de France télécom sur la situation critique de l’entreprise. -Contradiction

laisser paraître de juif. « peur de la réponse » = nom peur traduit son sentiment : préfère rester dans le flou plutôt que de connaître la vérité blanc = traduit clivage à l’intérieur du psyché Vide = traduit le manque de sa mère b) Déshumanisation – absence du corps L'absence du corps ( neutralisation ) « Les gens n'avaient pas de visage » Les gens = impersonnel. Personnes en nombre indéterminé. Comme s'il y avait les autres ( massification ) / lui ( individualisation ) > renforce

2nd couplet : Evocation de la déshumanisation et du destin tragique de ces hommes. → vers 5 : « n'etaient plus que des nombres » fait référence au fait que ces hommes étaient tatoués des leur arrivée au camp. → vers 6 : idée du sort qui s'acharne sur eux parce qu'ils sont juifs → vers 7 : « le main retombe » = symbole de l'homme qui ne peut plus se battre, donc qui est impuissant et soumis. Le mot «nombre» rime alors avec « ombre » → annonce d'une déshumanisation totale qui va conduire a la mort

la tête » l.24 c) L’homme renonce à rester un homme, il baisse les bras « on résiste tout de même, on a du mal à se dégouter de sa substance » l.29 d) La déshumanisation est totale * L’auteur utilise le même pronom pour parer des battements du cœur et des bruits de la machine « ça » l.29-30 * Cette déshumanisation rappelle à Bardamu le traumatisme du front « on cède au bruit comme on cède à la guerre » l.42 * Le travail à la chaine est présenté comme une confrontation avec