Deshumanisation

L’interprétation d’un ouvrier par Charlie Chaplin dans « Les temps moderne » est un bon exemple. Le travail à la chaîne, et le la séparation dans le travail de la conception et de l’exécution (ouvriers) a entrainé surtout chez les ouvriers une déshumanisation, c’est-à dire qu’il s’effectue dans ce rang des modifications psychologique comme l’ennuis de toujours répéter sans cesse les même mouvements (les temps moderne), le fait de se sentir en bas de l’échelle, exploité ou encore de ne plus avoir l’impression

ce document, on insiste sur le fait que les machines deviennent de plus en plus complexes et que souvent les travailleurs se retrouvent seule dans leur désarroi. En ce qui concerne le film, il est bien dans son époque car il vise à montrer la déshumanisation du travail et de la société à travers la crise économique et la mécanisation du travail à la chaîne. Le fond du propos de Chaplin porte sur la dignité de l’homme, l’homme qui est ici, est broyé par des intérêts supérieurs, ainsi

semble être celui qui décide, il se détache du reste du groupe puisqu'il le dos tourné et qu'il porte une épée. Cette représentation n'est pas réaliste car ce n'est pas l'équipement des soldats pendant la guerre de Corée. Le peintre montre la déshumanisation des guerriers et bourreaux. A l'arrière plan, on appercois une coline avec des ruines. Les formes en contrebas de la coline rappellent le tableau Tres de Mayo de Goya. Il représentant des soldats français qui exécutent les combattants espagnols

la suite de la guerre ; « premièrement » par l’écroulement économique de l’Europe et de l’Asie dû aux pertes humaines et matérielles mais aussi, et transversalement, par l’endettement des Etats pour leur reconstruction. « Deuxièmement » par la déshumanisation et démoralisation des populations face à l’Holocauste, aux politiques de « terre brulée » et à l’émergence du nucléaire. Les bombardements massifs de la seconde guerre mondiale, sur le Centre-Ouest et Est de l’Europe ainsi

peut y avoir des problèmes compliqués à arrêter (ex: propagation d'un virus, catastrophe en chaîne dans les usines). Face au réseau, l'homme est plus en danger que face à une seule machine. 2. Les risques de la déshumanisation Place des machines implique la déshumanisation car la communication des hommes entre eux (face à face) diminue. C'est de plus en plus à l'homme de s'adapter à la machine alors qu'avant c'était le contraire (ex: le travail à la chaîne). 3. Les dangers du dérèglement

Les êtres qui se métamorphosent en rhinocéros nous rappellent l'angoissant univers kafkaïen (auquel Ionesco lui-même s'est référé dans ses Entretiens avec Claude Bonnefoy). Ils figurent les monstrueuses tensions latentes de l'individu et sa déshumanisation, sous l'influence, notamment, de la pression collective. En outre, le comique, gestuel ou verbal, tourne en dérision des comportements et des valeurs communément partagés : tels l'Épicier et son sordide souci égoïste de l'argent ou le " chef "

l’horreur. - l'ironie caractéristique du premier paragraphe laisse la place à un registre tragique à partir de « Il passa par-dessus des tas de morts et de mourants »l.14-15→ les héros sont finalement présentés comme des barbares. 2) La déshumanisation de la guerre : - registre pathétique, émotion intense et sentiments de révolte → sensibiliser le lecteur. - atrocité de la guerre ; champs lexical de la mort ; « morts » l.14, « mourants » l.15, « mourir »l.18, « égorgées »l.18, « éventrées »l

était coupable d'une infériorité culturelle. Par conséquent, les colons ont caractérisé le peuple camerounais comme étant des bêtes sauvages insistant sur une inaptitude intellectuelle et une nature barbare et animalistique. Cette tactique de déshumanisation était une stratégie de domination populaire parmi les Européens; ceci perpétuait la relation dominatoire entres les indigènes et les colons. En outre que d'être réduits à des bêtes sauvages, les indigènes étaient aussi victimes de la chosification

Quelle part auront le toucher, la voix, l’écriture, dans ce qui fait l’essentiel de l’expérience humaine ? La montée de l’individualisme, la tendance croissante au repli sur soi (sa famille, sa communauté) vont de pair avec ce phénomène de déshumanisation des relations sociales qui se profile à l’horizon. En se gardant de tout mélanger, en se gardant aussi de condamner a priori une évolution d’ailleurs inéluctable, il importe d’y réfléchir. L’homme statique n’est pas pour demain, et son instinct

Guerre mondiale. Il explique à partir de son quotidien dans le camp, la lutte et l'organisation pour la survie des prisonniers. Ils luttent tous contre la déshumanisation dont ils sont les victimes : on leur retire leur nom, ils sont tatoués comme du vulgaire bétail. Tout au long de ce récit, Primo Levi montre les horreurs de la déshumanisation des camps. Il utilise son argumentation pour faire partager son point de vue, tout en utilisant les émotions et les sentiments pour atteindre le lecteur. Cette