Deshumanisation

puisqu’ici la coupe se fait en 5/7 (« sifflent tout le jour/par l’infini du ciel bleu »), ce qui est tout à fait révélateur des maladresses de son écriture adolescente puisque les alexandrins ne présentent pas une telle coupe au sein d’un vers. La déshumanisation des hommes apparaît au vers suivant avec la référence aux couleurs « écarlates ou verts » puisqu’il s’agit ici d’une synecdoque désignant la couleur des uniformes des armées. De plus l’adjectif « écarlate » renvoie au rouge évoqué précédemment

technologies conduit à la déshumanisation de la guerre car la technologie fait naître une virtualité des situations. L’homme n’est plus directement impliqué dans l’action mais il est souvent très éloigne et il travaille à l’aide des satellites et des caméras. Un exemple extrême pour ce fait est le contrôle des drones américains qui se fait par le territoire des Etats-Unis. Donc le pilote de ce drone est des milliers de kilomètres loin de son action. Une autre déshumanisation de la guerre est l’isolement

I/ DE la déchéance à la déshumanisation 1) La décadence psychologique - Elle n’est plus qu’un résidu d’individu dans cette fin de roman car elle ne réfléchit plus: « elle devenait idiote », ceci transparaît dans SON physique avec « la mine éreintée et abêtie ». - »Gervaise perdait la tête souvent »: le malheur et l’alcool lui font perdre la raison. 2) Un personnage dégradé par la société - Elle est sujette aux moqueries: « lui faisaient jeter des trognons de choux par les gamins » - »on

gens considérés comme hérétique dans un pays encore puritain et très religieux. Ensuite, le point de vue de Voltaire sur l’affaire Calas rejoint celui des victimes car dans son œuvre, il fait état de la déshumanisation des accusés. Dans la citation qui suit > met bien en valeur la déshumanisation que cette famille de confession protestante a du subir. Accusé quelqu’un de meurtre est une chose, mais avancé qu’une religion contient dans ses rituels le filicide en est une autre! Tué la chair de sa chair

remet pas en cause ce langage conventionnel au théâtre et qui vient de la farce → Goldoni : rapport conventionnel clair de domination 2. Soumission - Inégalités sociales et humaines dénoncée - Déshumanisation par le langage → Marivaux : « esclave insolent », « misérable », « pauvre animal » - Déshumanisation par les mauvais traitements : Hugo « qu’on châtie et qu’on fouette » → Beaumarchais : Figaro, doigt accusateur, remise en cause des privilèges. II/ Du refus au 1. Opposition - But : Se moquer

spectateurs, Molière utilise un procédés de déshumanisations sur les personnages. En effet on peu le voir par exemple au vers 26 : « tous ces entretiens/ne sont que des chevaux d 'équipages et de chiens » ou v.15 « en grimaces abonde » ce qui déshumanise le personnage en montrant qu'il a une expression du visage anormale.Il y a aussi au vers 17 « sans cesse » ce qui apparente le personnage a un automate il est donc déshumaniser.Molière utilise aussi la déshumanisations en rapportant les personnages a des

humaine » III-Préparer l’entrée dans l’œuvre Partie 3 : Présentation de la séquence Écrire la déshumanisation pour retrouver son humanité I-Présentation générale de la séquence 1-Capacités et attitudes mises en jeu 2-Présentation de l’organisation générale de la séquence II-Séance 1 : Parcours de lecture : La déshumanisation (Chap.1 à 3) III-Séance 2 : Lecture analytique : La déshumanisation par le travail (Chap. 6) IV-Séance 3 : Étude d’un personnage : Lorenzo (Chapitre 12) V-Séance

travail est-il une activité utile voire nécessaire dont on retirait un gain (notre vie ou notre humanité) ou au contraire une activité nuisible ou neutre dont on ne tire rien (on ne gagne rien à travailler) voire dont on sort perdant (entreprise de déshumanisation) I. On gagne sa vie à travailler. A. Le travail est l'activité nécessaire pour extraire de la nature les moyens nécessaires à notre subsistance. Le travail (comme transformation de la nature et comme emploi) est ce que nous devons faire

moribonds » l.6) Antithèse : « cocasse » (=amusant) et « terrifiant » II-Représentation de l’homme et de son âme a) Déshumanisation Déshumanisation (l’homme est présenté comme un animal/objet) : « poupons », « hennissement », « anguille », « caisse de violon », « dans une niche à chien », « dans des garennes », « caisse à lapins », « gros paniers à faire couver les dindes ». + déshumanisation de la femme : « empaqueter » Il rencontre une none (« elle ») (personnage de Rabelais) avec qui il nettoie les

processus de déshumanisation de l'être humain par la machine, puis enfin le troisième paragraphe montre le faite que l'homme n'est pas créateur de son produit. Il applique seulement ce qu'on lui a dit de faire. Q.2 : a) Après avoir analyser cette citation, on peut en déduire que Marx a essayé de nous faire comprendre que pendant que l'on développe le travail à la chaîne avec les machines, l'homme se déshumanise petit à petit. b) Cette citation exprime le processus de déshumanisation des Hommes