Deshumanisation

PierreWeil Alain Bonnard Clémence Marguerite LA GUERRE : UN THEME DEVOYE a) Une guerre tronquée b) Un antimilitarisme sous-jacent LA CHAIR BLESSEE UNE FOCALISATION SUR L’INTIME a) Du champ debataille à la chambre des officiers b) La déshumanisation c) L’image de soi LES FIGURES FEMININES 4. PISTES DE RÉFLEXION 12 5. INFORMATIONS COMPLÉMENTAIRES 13 Excerpt of the fullpublication LA CHAMBRE DES OFFICIERS MARC DUGAIN Rédigée par Dominique Coutant-Defer, docteur

personnage principal. Ce qui ne se faisait point avant. L’idée générale du livre est la condamnation à mort par guillotine d’un condamné. Donc, les deux thèmes principaux qui découlent de cette idée générale. D’abord l’attente de la mort. La déshumanisation et la résignation sont reliées directement avec ce thème. Ensuite, la tristesse du détenu qui vient avec son angoisse et son pessimiste de la vie. Premièrement, l’attente de la mort. Comme le personnage est un condamné à mort, plusieurs pensés

intérieure, passive, contre la déshumanisation. Les participes présent passifs sont récurrents: « engueulés, menacés », « torturés, dupés », « étripés », « vautrés », « relevés », « relancés », « tué » (l.31), « rengagés ». On peut noter que le narrateur s’inclut ici avec l’emploi du pluriel dans un groupe, les soldats, qu’il considère donc comme ses semblables. Ces hommes sont humiliés, déshumanisés, par exemple par l’emploi du terme « larves » (l.20). Cette déshumanisation exprime la colère de Bardamu

retrouvailles prennent une allure inhabituelle avec un côté totalement absurde, la déshumanisation de certains personnages et la notion tragique à travers ce qui semblerait être un double discours. En quoi cette scène qui met en avant l’absurdité de la condition humaine laisse-t-elle planer une finalité tragique? Nous étudierons dans un premier temps la mise en avant de l’absurdité humaine, de la déshumanisation transmise à travers ce dialogue, puis, nous analyserons les notions tragiques également

occasionner la présence omniprésentes de ces machines dans la vie de l’Homme et la société humaine. Les machines sont-elles un danger ? Peuvent-elles être avantageuses pour le progrès industriel, social et humain, ou bien entraînent-elle une déshumanisation de la société. La peur des machines est-elle justifiable ? La question qu'il faut est faut-il craindre les machines ? Tout d’abord nous aborderons le rôle bénéfique des machines (créatrice de progrès), ensuite nous continuerons en traitant

abattoir » = extérieur. *dégradation physique : faiblesse, absence de force, maigreur misère « culotte presque vide », « cou de dindon », « flageolaient », « à peine sa canne » tout ce qui le concerne concerné par ce flétrissement l10 15 6. 2) Deshumanisation ? s’il est humain avec regard que l’on porte sur lui l 11 à 15 jeu héroï-comique car réf à Titan contraire de P + pas vu en tant qu’individu mais dans l’ensble « l’un de ces » l26 représente un type social + comparaison à un automate l1 (cf

transmissent par le système culture auquel il est enraciné. II- Dans un autre point nous analysons la culture comme formatrice de diversité et de rivalité entre les êtres humains, qui mène alors à la déshumanisation de l’homme. -Puisque la culture permet de distinguer les hommes entre eux et peut différer d’une société à l’autre. Il faut admettre qu’il existe une multiplicité de cultures propres à différentes origines. Si nous allons au Maroc nous n’aurons

la mort répondent les petits gestes tendres de la mère à l’enfant - contraste entre la symbolique habituelle et attendue de la mère et l’enfant : amour et douceur et la cruauté de cette créature - conséquences de cette situation : la déshumanisation tout autant du côté des victimes (destruction de leur humanité qui entraîne des sentiments immoraux: souhaiter la mort de son prochain) que des bourreaux dont la seule caractéristique est le sadisme, c’est - à - dire une perversi on de

de s’engager puis de faire face à la violence, la haine et la déshumanisation au cours de la première partie du roman. Dans l’extrait que nous allons étudier, il parle du « commandant Pinçon », cet extrait se trouve dès les premiers chapitres de cette première partie, lorsqu’il est encore en France. C’est donc grâce a cette contextualisation que nous allons nous demander en quoi ce texte est-il représentatif de la déshumanisation et des changements provoqués par l’horreur de la guerre. Nous

11), l’auteur invite le lecteur à se poser une question formulée dans l’interrogative indirecte qui suit et qui donne son titre au poème ainsi qu’à l’ensemble son témoignage : « si c’est un homme ». Il souligne ici fortement que l’entreprise de deshumanisation que furent les camps de concentration nazis. Il énumère ensuite tout ce que l’on a retiré aux hommes déportés désignés par le pronom « celui » (v. 7), à savoir : - Un traitement humain : « peine dans la boue » - La paix : « pas de repos » - La