Destin Tragédie Andromaque

s’inquiète pour son ami dans Andromaque (« Combien à vos malheurs ai-je donné de larmes ») | Tragique | Définition :Evoque les personnages confrontés à des forces qui le dépasse, ces personnages ce comportent avec grandeur face à une situation sans issue, face à un destinEffet recherché : Peur, effroi, terreur face à cette fatalité en plus de la pitié.Exemple :«  qui sait ce qu’il doit ordonner de mon sort et si je viens chercher ou la vie ou la mort » Racine, Andromaque | Les Figures de Styles

 Andromaque est une pièce de théâtre écrite par Jean Racine en 1667. C’est une tragédie classique formée en alexandrins, et elle est composée de 5 actes. Ici nous étudierons, dans l’acte I, la scène première ne présentant que deux personnages en dialogue, Oreste et Pylade. Cette scène est, comme son nom l’indique, la première scène de l’œuvre, et nous livre des éléments susceptibles d’être nécessaires à la compréhension générale de la pièce, comme à celle des relations entre les personnages et au

artistiques En 1663, Racine reçoit une pension du roi grâce à des odes (Petit poème lyrique divisé en strophes semblables entre elles. Destiné à être chanté) : la Convalescence du Roi et la Renommée aux Muses. Il est présenté à a Louis XIV il put même assister au si prisé lever du Roi. Il fait aussi la connaissance de Molière. Les deux premières tragédies de Racine « La Thébaïde » (1663) et « Alexandre le Grand » (1665) furent interprétés par la troupe de Molière. Mais Racine confie aussi

carrière d'homme de lettres. Il s'essaye avec succès dans la poésie lyrique officielle (l'Ode aux nymphes de la Seine, pour le mariage de Louis XIV en 1660), mais en 1664, il commence à s'imposer au théâtre : la troupe de Molière joue sa première tragédie : La Thébaïde, et l'année suivante la seconde, Alexandre, qui célèbre indirectement Louis XIV ; trahissant Molière au cours même des représentations, il emporte sa pièce et sa principale interprète à l'Hôtel de Bourgogne, qui monte un spectacle rival

|Tragédie |Comédie | | |Ressort |purgation des passions par l'émotion |corriger les mœurs par le rire : "Castigare ridendo mores" (mot à mot : corriger | | |(cf. Aristote : catharsis- terreur et pitié) |par le rire les moeurs) | |Action |aventure extraordinaire éloignée dans le temps |aventure ordinaire et contemporaine | |

PHEDRE de J. Racine Séquence prof Objet d’étude : La tragédie et la comédie au XVIIe : le classicisme Magnard p 127, 136, 138 Perspectives : - faire connaître les caractéristiques du genre théâtral et les effets propres au tragique ou au comique.  - faire percevoir les grands traits de l'esthétique classique  - donner des repères dans l'histoire du genre. Textes étudiés : Phèdre OI : -ActeI, sc1 - ActeI, sc3 - II, 5 «PHÈDRE, à Œnone, dans le fond du théâtre. - Etude comparative ACTEIII, sc2 et 6 -

00Une représentation théâtrale du Malade Imaginaire de Molière à Versailles en 1664. Peinture du XVIIe siècle. Sommaire La règle des trois unités Page 2 La règle de la bienséance Page 3 Les deux types de pièces classiques : la comédie et la tragédie Page 4 Les principaux auteurs du théâtre classique ainsi que leurs pièces Page 5 Webographie et bibliographie Page 7 La règle des trois unités : Le théâtre classique repose sur une règle fondamentale : la règle des trois unités. Comme l’indique

LITTERATURE FRANCAISE CM * Racine (1639 – 1699) perd vite ses parents, est confié à sa grand-mère qui habite Port-Royal des Champs. Reçoit une éducation janséniste et semble destiné à entrer dans les ordres, ce qu’il ne fera pas car il fait preuve d’une grande ambition : promouvoir son talent dans les lettres pour obtenir de la reconnaissance des puissants. Il écrit des poèmes, (Odes) qui lui permettent de s’approcher du Roi. Il essaye d’obtenir des revenus en faisant valoir ses droits d’ecclésiastique

XVIIe siècle est le genre théâtral. Plusieurs règles se forment et rendent le théâtre beaucoup moins « libre ». Le théâtre sera séparé genres théâtraux, soit la comédie qui, elle, cherche à divertir et faire rire en ayant un dénouement heureux, et la tragédie, qui, quant à elle, décrit une situation plus grave et qui aura un dénouement malheureux contrairement à la comédie. Les auteurs les plus influents de ce genre au 17e siècle sont sans contredit Molière avec « Don Juan », Pierre Corneille avec « Le

concentre donc sur les moyens de résolution et sur les passions mises en jeu : Le Cid, tragi-comédie, doit aboutir à un dépassement du dilemme entre une réconciliation de deux amants, alors que l'inscription de Roméo et Juliette dans l'univers de la tragédie fait attendre un dénouement malheureux. Certaines pièce cependant, brouillent les repères de genres en s'achevant de manière inattendue : le proverbe dramatique de Musset On ne badine pas avec l'amour, commence par un conflit amoureux à la Mariveaux