Determinants Pnb

peur à de nombreuses entreprises américaines qui sont venues s’installer sur le territoire européen. Dans les années 80, le chiffre d’affaires des 100 premières entreprises mondiales, qui sont toutes des multinationales, était de deux fois plus le PNB de la France. Jusque dans les années 80, la plupart des multinationales étaient originaires des pays riches du Nord. Aujourd’hui, la hiérarchie mondiale laisse de plus en plus de place aux multinationales issues de pays émergent.  Les étapes :

d'un pays. Tendance générale au cours de laquelle il peut exister des fructuations. Croissance éco mesurée par le PIB. PIB : Σ Valeurs ajoutées (richesses créées par unités éco présentes sur territoire national) + TVA + Droits de douane. PIB ŧ PNB (Produit national brut, richesse crées par unité de prod natinales, présentes ou non sur territoire.) PIB Brut car ne prend pas en compte les amortissements (capital utilisé dans la prod) Autres outils pour mesurer croissance éco (en moyenne) : Pib/tête

relations économiques. b) Le système de la comptabilité nationale et les principaux agrégats La comptabilité nationale est un système de comptabilisation des activités économiques, permettant d’établir des agrégats (grandeurs statistiques, PIB, PNB, Revenu national…) significatifs d’une économie nationale. Elle permet de construire des modèles pour la prévision et la définition de la politique économiques. Il s’agit d’une présentation quantitative simplifiée mais cohérente de l’économie d’un pays

détenues à parité avec 35% du capital chacun par la Caisse nationale des Caisses d'Epargne et la Banque Fédérales des Banques Populaires. Le reste du capital étant en bourse. II Le rôle d’une BFI Le développement de la BFI constitue un levier déterminant pour l’amélioration de l’attractivité de la place financière. Cette activité favorise en effet la diffusion des innovations en termes de financement de marché, le fi nancement des entreprises de croissance et des PME grâce aux techniques d’ingénierie

pays est sous entend la dynamique du progrès social. Dans un pays, il existe plusieurs indicateurs qui permettent de comparer la compétitivité. On distingue deux types d’indicateurs. Les indicateurs quantitatifs : Un indicateur unique : est le PNB par habitant et son évolution. Les parts de marché à l’étranger : elles sont particulièrement utilisées pour comparer les performances à l’exportation. La part de marché est le rapport des exploitations à la demande mondiale mais il est impossible

des pays dont les prix sont relativement moins élevés (Inde). Mais c’est la pondération par l’importance de la population qui est déterminante : la Chine perd 85 rangs, l’Inde 114, si l’on rapporte leur PIB au nombre de leurs habitants. 4. PIB ou RNB ? Une autre façon d’évaluer la richesse est de considérer le Revenu National Brut. C’est en effet le RNB (nouveau nom du PNB), qui mesure la richesse procurée en moyenne à chaque habitant du pays, par opposition à la richesse produite. Pour arriver à une

déposant utilise le chèque pour ses paiements et retraits, le client en fait autant pour utiliser les crédits consentis. Souvent un client est à la fois fournisseur et client. C'est donc le client qui est au centre de l'activité bancaire et l'élément déterminant pour la rentabilité d'une banque. L'étude de la rentabilité des clients individuellement ou par groupe parait être un instrument qui vise à améliorer la rentabilité d'une banque. L'objectif est donc d'obtenir un résultat permettant d'éclairer les

En d'autres termes, la croissance économique renvoie à l'augmentation prolongée sur une longue période des agrégats économiques tels que le Produit Intérieur Brut (PIB), le Revenu National (RN), le Produit National Brut (PNB) ou éventuellement le PIB ou le PNB par tête d'habitant. C'est une notion quantitative qui se distingue de la notion du développement qui désigne l'ensemble des changements intervenant dans les structures mentales, les habitudes sociales et les institutions d'une population

parce qu’il est trop sollicité par les placements extérieurs. Il est vrai que les grandes firmes multinationales compensent largement la lenteur de sa croissance intérieure. Dans deux décennies le PNB américain a été multiplié par 2,3 et il dépasse en 1971 les 1000 milliards de dollars, soit la moitié des PNB cumulés des pays de l’OCDE. - La RFA a cumulé de nombreux atouts décisifs : Elle a effectué 11,2% des exportations mondiales en 1972 contre 1,4% en 1948 avec une balance commerciale excédentaire

planète à les renouveler . En raison de cet épuisement de la planète, ne faut-t-il pas limiter la croissance économique ( augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes données d’un indicateur de production économique mesuré par le PIB ou le PNB ) ? Si la croissance économique n’est pas toujours créatrice de bien être et peut-être même destructrice de ressources vitales ( I ), il semble difficile d’améliorer les conditions et la qualité de vie des populations sans hausse du PIB ( II ).