Dette Grecque

Le CIC subit comme ses concurrents l'impact de la Grèce et des marchés |La banque a appliqué une décote de 60 % sur la dette grecque et voit son PNB chuter de 65,6 % sur neuf mois dans les activités de | |marché | [pic] |[pic] | | [pic]

La crise grecque 2007, une terrible crise financière a frappé la plupart des pays riches, qui possédaient des marchés financiers importants, tels que les pays de l’Union Européenne et les États-Unis. Certains pays s’en sortent avec moins de séquelles tandis que d'autres plongent dans un désarroi totale ou partiel. En effet, cette crise n’a pas été sans conséquences sur l’économie grecque. La Grèce a un avantage considérable car elle fait partie de l’Union Européenne (UE). Ce dernier, a aussitôt

générale : Le terme crise financière s'emploie pour désigner un ensemble assez large qui inclut notamment les crises du change, les crises bancaires et les crises boursières. Mais le terme est également utilisé pour désigner les crises de la dette publique ou des crises qui affectent un marché à terme. Une crise financière peut concerner seulement quelques pays, ou, initiée dans un pays, peut s’étendre par contagion et devenir international et ralentit ainsi l'économie mondiale. Si une crise

nouveau plan n'aura pas convaincu les marchés plus de deux jours. http://www.ecogestion.ma 12/09/2012 12:13:12 - 1 La raison ? Plutôt que d'être injecté directement dans les banques en difficulté, l'argent sera prêté à l'Etat espagnol. La dette publique en sera alourdie potentiellement de 10 points de produit intérieur brut (PIB). Cette solution aggrave donc plus qu'elle ne rompt le cercle vicieux entre crise bancaire et crise souveraine. Avec un taux de chômage à 24 %, qui pourrait approcher

Ces dernières semaines, l’actualité financière a été particulièrement chargée pour les valeurs bancaires. Les conséquences de la crise de la dette souveraine des Etats européens ont été immédiates et les grandes banques ont eu à passer un mois de Novembre pour le moins difficile : Bnp Paribas a perdu 13%, la Société Générale 17% et le Crédit Agricole près de 20%. A cette actualité macroéconomique tendue, il faut ajouter un contexte social de plus en plus apathique à l’égard d’un secteur concentrant

comptes extérieurs en l'absence de fédéralisme. Introduction : Il faut dissocier différentes crises : les pays du Sud de la zone (PIGS) sont affectés par des crises de financements de leurs M liées au financement de leurs dettes publique + crise de la dette publique en Grèce. Le respect des critères du Pacte de Stabilité et de croissance (PSC) ont laissé penser à une convergence. Raté. Le plan : Ch1 : Hétéro de la zone euro cause profonde de la crise Les pays d’une union monétaire deviennent plus

La crise de la dette publique Grecque La crise de la dette publique grecque est issue de la crainte des créanciers de la Grèce sur sa capacité à rembourser sa dette publique ainsi que de payer les intérêts de cette dette. Elle résulte aussi de la crise économique mondiale et de facteurs propres au pays : - fort endettement (environ 120 % du PIB) en 2010, - déficit budgétaire qui dépasse les 13 % du PIB. Cette crise a été aggravée par le manque de transparence dont a fait preuve le

RDC de continuer. Les pays européens ne peuvent pas se permettre d’avoir des arriérés. Ils sont obligés d’aller sur le marché, d’emprunter et de trouver des solutions qui satisfassent celui-ci. Nous sommes dans une période de crise. Crise de la dette souveraine, il faut tirer les leçons de la première crise financière de 2008-2009. Il ne faut pas que le Congo soit touché à travers son secteur bancaire, puisque c’est ce secteur-là que je contrôle où plutôt que la Banque Centrale contrôle. Il faut

pondérer le poids de chaque émetteur non pas en fonction de la valeur de marché de sa dette, c’est-à-dire d’utiliser un système métrique basé sur la capitalisation boursière, mais d’utiliser un nouveau système de pondération dont le système métrique est fondé sur quatre mesures fondamentales macro. L’objectif est d’établir un système de pondération plus fin, qui tend à surpondérer les entreprises ayant une dette de bonne qualité ou les Etats ayant une probabilité faible de « downgrade » ou de défaut ;

précédent avait caché la gravité de la situation des finances publiques. La dette du pays était à 115% du PIB, et le déficit supérieur à 10%. La surprise fut importante pour les marchés qui considéraient jusqu'alors la dette publique grecque comme particulièrement sûre. Pour preuve jusqu'en 2007, la Grèce se finançait aux même taux que l'Allemagne. Cela a rapidement changé. Les agences ont baissé la notation de la dette publique grecque, c'est à dire qu’elles estimaient que la Grèce était de moins en moins