Deuil

les hommes de notre temps est un symbole terrible ; pour en venir là, il a fallu que les armures tombassent pièce à pièce et les broderies, fleur à fleur. C’est la raison humaine qui a renversé toutes les illusions ; mais elle en porte elle-même le deuil, afin qu’on la console. Les mœurs des étudiants et des artistes, ces mœurs si libres, si belles, si pleines de jeunesse, se ressentirent du changement universel. [...] l’amour était traité comme la gloire et la religion ; c’était une illusion ancienne

spectacle musical de la compagnie théâtrale "France Théâtre", dirigé et interprété par Frédéric Lachkar. C'est l'histoire d'un homme qui, après la mort de son père, avec qui il n’était plus en relation depuis plus de dix ans, se trouve à élaborer le deuil avec des "sans papiers" qui ont volé le cadavre de son père mort, pour le lui restituer en échange d'argent. Grâce à ce moment d'isolement du monde, de réflexion, il découvre que son père était un émigrant, et peu à peu, conduit par les mélodies de

ce...ce.. ce si beaux prénom que je n'oublierais jamais... Elle est morte d'une pneumonie.. Depuis les secondes deviennent des minute, les minute des heures, les heure des jours, les jours des mois, et Les mois des ans... J'ai essayé de faire le deuil malgré cette terrible souffrance qui est plongé dans moi jusqu'au plus profond... Vous l'auriez compris je suis ni de ces acteurs de cinéma ou de ces poète qu'on voit de partout... non juste un citoyens du monde, un homme de 65 ans attendant que le

demeure surtout IS2 submergée par une rancœur ineffable, et souhaite bien rencontrer la loi du talion. MenC Elle passe d’une émotion à l’autre rapidement et encaisse le choc. COM À certains moments, on la croirait à l’étape du déni, au tout début de ce deuil forcé : CIT « Le jeune homme […] semblait dormir. » (l.28-29) MenC Cependant, tout le sang qui a perlé du cadavre COM lui rappelle la réalité implacable et CIT « [s]on petit, [s]on garçon, [s]on pauvre enfant » (l.33) ne lui reviendra plus. MC Tout

traversé l’Achéron » et a surmonté le désespoir grâce à la poésie où il a trouvé refuge en suivant les traces de son mentor Orphée « modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée ». Grâce à la poésie, il put vaincre son désenchantement et affronter le deuil, une victoire qu’il laisse paraître par l’antithèse « modulant tour à tour sur la lyre d’Orphée les soupirs de la Sainte et les cris de la Fée » opposant la douce mélodie de la lyre avec les soupirs et les cris synonyme de souffrance. Il désire ainsi

jours. Elle ne perda pas une minute de plus et partit le crayon, la gomme et le dessin à la main dans un état d'esprit le plus sombre et déroutant qu'il soit. L'amertume était à son apogé, la douleurs et l'abatement suivait de très près, et enfin le deuil, le desespoir et le manque arivaient au summum. Depuis ce drame Emma sort peu. Elle a deux sincères amis dans la vie : son crayon et sa gomme : cela lui suffit emplement. Le trajet terminé, Emma enfin arrivée

transformation. Pour finir, ce n’était pas si bête de le comparer à une toile. Par contre se faire passer pour mort est malsain. Encore que le suicide, que je juge, par la souffrance qu’il inflige aux proches, comme un acte égoïste, permet de faire un deuil ; le faux-suicide relève de la trahison et de la cruauté. Je peux le comprendre, pas le fait de se faire passer pour mort. 22/09/14 dans ma chambre. P119 Dans ma quête d’explications je me suis laissé emporter par la lecture pendant plus d’une

donc un destin tragique. Le « Je » (v.5 et 10) suggère un poète qui a souvent côtoyé la mort au cours de son existence. Il est au bout de sa vie, prêt à mourir, comme le montre le tétramètre « Ouvre tombeau » (v.28). L’idée d’une vie marquée par le deuil est soutenue par le champ lexical de la mort : « glas » (v.4), « cercueil » (v.12), « tombeau » (v.28), mais aussi par une allitération en « r » : « Je dormais entres mes deux frères […] Leurs deux berceaux », « Je t’ai perdu, ô fille chère […] cercueil »

exact de la mort de sa mère (« Aujourd’hui maman est morte. Ou peut-être hier », page 9). Il se rend ensuite à son enterrement à l’asile. Au lieu d’être attristé par cette mort, comme le sont en temps normal les personnes qui doivent faire face à un deuil, Meursault, quant à lui, se préoccupe de détails :

texte est très différente de ce que l’on a vu précédemment. Effectivement, au vers 10 on voit que la poétesse accepte que ce père qu’elle aime tant soit mort. Il semblerait que le fait d’écrire ce livre soit une façon, pour son auteure, de faire le deuil de son père, mais à sa propre manière, de façon sincère et sans artifices (à contrario de « la pompe » vers 20. Selon l’auteure « Ce n’est quand nous cessons de parler » qu’on disparaît. Il est sous-entendu ici que son père n’est pas vraiment parti