Deuil

thérapeutique. U.E 4.2 S5 : Analyse d’une situation relationnelle. Promotion 2009/2012 Semestre 5 Q1-Analyser et argumenter les différentes étapes vécues par l’acteur principal Jacques Dutronc dans son processus de deuil. Le deuil dans la maladie est un processus qui se s’effectue en différentes étapes. Ce processus n’est pas linéaire, un individu peut passer d’une étape à une autre puis revenir en arrière. Ces étapes sont aux nombres de 5 : - Le choc, le déni - La

que tel mais appuyé sur un thème de douleur, entraînant non le rire mais le malaise du lecteur. Il ne s’agira pas ici de nous détourner d’une cérémonie que nous jugerions trop triste, de relever ou de signifier des traces humour dans un moment de deuil mais bien de se constituer poème comme une remise en cause de nos valeurs et de notre rapport à ses valeurs. • L’utilisation de la musicalité, de même, n’est pas celle d’un chant funèbre -associant mort et musique d’hommage-, elle est celle de la

l’acceptation. Comme le dit Mamie rose à Oscar : « Chaque fois que tu croiras en lui, il existera un peu plus. Si tu persistes, il existera complètement. Alors, il te fera du bien. » Dieu, pour Oscar c’était l’hôte qui l’accueillerais à sa mort. Pour faire le deuil de sa vie, Oscar devait être confiant face à la mort, qui fût directement représenté par Dieu. Ensuite, Mamie Rose, lui offre de s’adonner à un jeu. Elle lui donne la chance de grandir de 10 ans à chaque jour de sa vie durant 12 jours. Le gamin

pluie après la 2ème strophe. Observons aussi la passivité des formules impersonnelles , il pleut, il pleure - Échos de tristesse et de mélancolie La note dominante du poème est le chagrin qui apparaît d'emblée " il pleure ", est ensuite repris " deuil " et confirmé par " peine". Mais ce chagrin doit être modulé et il s'agirait plus d'une sorte de spleen sans cause. Nous retrouvons dans ce texte le sentiment permanent de Verlaine entre le chagrin et la douceur, une âme vidée de toute motivation,

refouler, à nier l’existence de cette mort. La réaction du patron montre tout cela. Tant que les signes extérieurs ne sont pas présents la mort est liée comme si elle se résumait à un ensemble de code qui la matérialise : c’est à travers le lexique « deuil », « condoléances », « cravate noire » que la mort va exister. Tous ces signes qui renvoient au rituel de la mort la rendent acceptable, la chose nue est ignorée. Et même les propos compatissants de Céleste sont stéréotypés « on a qu’une mère », c’est

immobile Contraste avec la vivacité du monde du début du récit En présentant un monde sans son, pas de bruit à part les coups des poignées sur le cercueil de Chloé. : «les poignées de la boite noire sonnaient contre les parois. ». La Nature est en deuil elle aussi : « on n’entendait pas d’animaux ». Un fort lyrisme à travers le Nature qui se tait face au désespoir des personnages Les arbres mêmes sont « malingres », c’est-à-dire qu’ils ont une apparence maladive Les plantes paraissent vêtus de

distances avec le fils maudit. « Il faut arranger un peu nos souvenirs. Sans ça, la vie n’est pas supportable. » Isabelle est un produit de la terre. Une terre où la grisaille contamine les corps et les mentalités. Un vent de superstition, de deuil larvé imprègne chaque page du journal où tout fait signe. La foi d’Isabelle est rongée par le fatalisme, la résignation, mais c’est pourtant cette foi qui la porte, l’illumine et la pousse à aimer ce frère malgré des provocations permanentes. «

frères même si eux le sont moins. (Denise : l.1/10/11/14-15/36-40/62… ; Jean : l.5/17-18/35-36/58-61 et Pépé : l.4/16/84-85). Plus tard, Denise devient le personnage principal de l’histoire. Les évoqués sont le père décédé de Denise et ses frères (« du deuil du père » l.13/14), « l’oncle Baudu » (l.8) et « Cornaille » (l.38) : ce sont des personnages secondaires. Ces personnages secondaires, évoqués sont présents pour renseigner le lecteur sur la vie antérieure des trois personnages principaux (Denise

laquelle évolue une personne. Il altère ses certitudes et ses projections dans l'avenir", explique Gérard Carton, consultant-expert en conduite du changement et auteur de « Eloge du changement ». Le processus du changement est donc assimilable à un deuil, celui de la situation passée et les résistances seront d'autant plus fortes que la part altérée de la réalité sera importante aux yeux du sujet.   Les cinq stades psychologiques de la résistance au changement |[pic]

passé simple : cessa = v d'action insiste sur une coupure, sur L description du paysage :scène réaliste, on s'y croirait + lieu sombre, tristes et grand =) lieu pesant, les pers sont opprimés =) la mercerie=) cercueil + adjectifs de couleurs du deuil =)la mort : sombres, noires, blanchâtre et rougeâtre (x2) =) péjoratif reviennent très souvent et sont plus forte au fur et à mesure + CL de la mort :"brûlé", "noires", "ombres", "dernières", arbres vieillis jettent leurs feuilles, sent la mort venir