Deuil

formes sont horizontales, et qui évoquent la mort et le chaos ; et la partie haute dans laquelle les formes sont au contraire verticales, et qui expriment davantage la vie. Pour la couleur Picasso a choisi le noir, le blanc, le gris qui symbolisent le deuil et la mort. Dans toute cette œuvre Picasso cherche à provoquer des émotions et une réflexion sur l'horreur de la guerre. Guernica est une œuvre monumentale qui fait en tout 27 mètre carré. Tous les personnages sont d'une taille plus grande que

des mères : « les yeux des mères en ruisseaux ». Ensuite, nous y trouvons le champ lexical de la mort, de la tristesse et de la peur : « tremble », « ombre », « échafaud », « cendre », « mourir », « doigts osseux », « sombre », « frissonnant », « deuil », « nuit », etc. Cependant, par exemple, la peur n’est pas représentée non seulement par les mots, mais aussi par les sons. L’auteur choisit les mots qui contiennent les consonnes gutturales : « froid », « nombre », « sombre », « bruissait », etc

solitude dans le but de s'isoler de son entourage, notamment2 ; ce type de choix agit positivement sur la personnalité de l'individu concerné.La perte d'une personne importante dans la vie d'autrui engendre typiquement une réponse psychologique à un deuil ; dans cette situation, l'individu se sent seul même lorsqu'il est entouré. La solitude peut également survenir après la naissance d'un enfant (dépression post-partum), après le mariage ou autres événements perturbants, comme emménager d'une ville

des paroles, des attitudes menaçantes et parfois par des actes de violence. Les causes ce cette agressivité : Réponse a la maladie Une perte La projection sur le soignant Difficulté a intégrer la réalité Frustration Méconnaissance Processus de deuil Les causes de l’agressivité du soignant : Mécontentement de soi Echec thérapeutique Impuissance Confrontation avec la souffrance et la maladie Epuisement professionnel Réponse a l’agressivité du patient Il va y avoir nécessité pour le soignant

cantonner au pur affectif, le métier de soignant confronte à une multitude de questions d’ordre éthique, moral, métaphysique même, que ne rencontre pas la population des autres travailleurs. Un exemple l’illustrera : Quand quelqu’un traverse un deuil proche, il dit souvent qu’il va reprendre le travail pour se sortir de sa rumination douloureuse…si ce travail justement est neutre affectivement, voire positif (contact sociaux positifs) : commercial par exemple. Evidemment il n’en va pas de même

génère un traumatisme psychologique qui bouleverse la filiation [doc.1]. Le clivage politique qui sépare deux générations, celles de Monsieur Gillenormand royaliste et de son fils partisan de Napoléon, prive Marius d’une relation fondamentale. Le deuil du père ne parvient ni s’accomplir ni à s’exprimer [doc.4].  Le travail de la mémoire permet de tisser la filiation et les liens intergénérationnels : Les auteurs (Christine Castelain-Meunier, Nicolas Jonas, Victor Hugo) étudient donc les conditions

Léopoldine, sa fille, morte dans un accident de canot. Ici la douleur du poète est traduite par l'illusion qu'il se donne en essayant de redonner vie à un être absent «je partirai(...) je sais que tu m'attends». L'auteur la fait revivre par la mots car le deuil est trop lourd à porter. La poésie est donc pour lui un moyen de tromper la mort et d'avoir le sentiment que sa fille vit encore. Dans «je n'ai que les mots», Ronsard met même en scène sa propre mort. Il se réduit à l'état de cadavre et montre sa mort

Meursault semble ne pas en prendre conscience. Ce qui frappe ensuite, c'est que Meursault fait de l'enterrement une simple formalité : « Après l'enterrement, au contraire, ce sera une affaire classée et tout aura revêtu une allure plus officielle. » Le deuil se fera par l'aspect extérieur, c'est-à-dire par son habillement. Cette mort peut passer pour une raison valable de prendre des congés : « excuse pareille ». Quelque part, c'est comme si cette mort était de la faute à Meursault. On a l'impression que

que Bérénice est écartelée ou encore bouleversée. En conclusion, Bérénice est une femme qui doit renoncer à son amour et faire le deuil de son bonheur. Sa tirade adresse des reproches à Titus et exprime sa souffrance et sa plainte. Chez Racine, la possession est dévastatrice et conduit les personnes à leurs pertes. On peut le rapprocher de Jean Anouilh qui dans Roméo et Jeannette évoque

cet enfant à vivre ». Il regrette de ne pas l’avoir plus aimé ou montrer son amour. II. Une réflexion parallèle à l’intense douleur « éprouvé » 1) La réalisation du sens du mot mort ● Hadrien pèse ses mots et dit avoir déjà utilisé les mots agonie, deuil et perte mais il dit qu’il ne comprend la vrai valeur de ces mot que maintenant. Il avait abusé de ces mots et voit la mort d’Antinoüs comme une punition pour avoir utilisé ces mots. ● Hadrien examine la langue et les mots (comme adore faire Marguerite