Deuil

Lorsqu’un proche meurt, je me réconforte en me disant que ce n’est pas un adieu, mais simplement un « au revoir, nous nous verrons là-haut », et je lui raconterai toute ma vie. Tout le monde devrait croire en cela pour les aider à endurer les moments de deuil tout au long de leur existence. « La mort est belle, elle est notre amie ; néanmoins nous ne la reconnaissons pas, parce qu'elle se présente à nous masquée et que son masque nous épouvante.1 » Je ne sais comment mieux le dire, mais il ne faut pas

la jalousie, le deuil, la nostalgie, le pardon, le crime, le courage, la littérature et les secrets sont quelques exemples de thèmes ou de valeurs fréquemment rencontrés dans l’histoire, et c’est cette diversité qui vient rapidement capter notre attention. En effet, dans l’histoire, Daniel tombe amoureux de Béa, une histoire qui ressemble étrangement celle de Julian et Penelope, ce qui vient chercher les amateurs d’histoire d’amour. Un côté dramatique est aussi présent ; le deuil du père Sempere

Romain Gary (écrivain qu’il admire) qui est resté désespéré de la perte de Jean Seberg et qui s’est ressuscité sous l’identité d’Émile Ajar. Les cinquante premières pages, exceptionnelles de justesse, de rythme et de style, qui traitent le sujet du deuil d'un être cher, sont bouleversantes. On devient Frédéric Lahnberg à travers la souffrance causée par la perte de sa femme. Peut-être le romancier aurait-il dû demeurer dans cette tonalité, car le reste du livre, très romanesque, semble mériter une

perpétuellement confronté au drame et ne trouvera un sens que dans la mort, cette vie chaotique est une bouillie de douleur d’où l’utilisation du mot « mélange » qui reflète l’inconsistance d’une existence qui n’a duré que trop longtemps. C’est le deuil et l’errance qui anime le quotidien d’un homme qui chaque jour subit le joug d’un nouveau levé de soleil attendant désespérément la réponse d’une mort qui ne tarde que trop à venir. Cette tourmente obsessionnelle à transformé sa vie en fardeau, le

extravagant [...] La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. » {text:soft-page-break} B)Atmosphère et sentiments L'atmosphère privilégié en général est le silence, le repos et la souffrance dans (T2) Mais aussi , la déception, le malheur et le deuil ( T4). Ces veuves vivent et vivront toute leur vie dans la douleur d'un amant perdu. En revanche, dans T1, il se confronte à la réalité du quotidien, assis à une terrasse de bistrot. Dans aucune poésie du corpus, l'atmosphère est joyeuse, même quand

« au noir », pour son ami Max, un brocanteur du quartier. Cette activité «cachée» redonne un sens à la vie de notre « héros », pour autant qu’on puisse le qualifier ainsi. En effet, il n’est pas toujours évident pour un homme seul et ayant vécu un deuil aussi important, d’élever et éduquer une jeune fille de dix ans avec un petit salaire d’enseignant et une fonction peu valorisante. Par ailleurs, cette activité a redonné un sens à la vie de monsieur Sylvain Crêtes, les conditions de vie de sa famille

Monde nous le montrant aux cotés de ses mannequins, comme pour marquer significativement la fin d’une ère alors que Le Parisien, plus ancré dans le présent, arborant une photographie de l’homme, tête baissée et vêtu de noir, comme faisant déjà le deuil de sa vie de créateur. En ce qui concerne Le Figaro, lui nous le présente en costume de Charlie Chaplin, pour rappeler l’esprit vagabond de l’homme, et encore une fois, afin de marquer la fin de « l’enfant terrible ».

Pauca meae, IV 1) L’auteur retranscrit les étapes successives de son deuil premièrement à travers son emploi du champ lexical du temps (« moment », « trois jours », « par moment ».) Par ailleurs, son chagrin évolue. Il passe d’une dépression à une folie, montrant l’évolution de son chagrin. 2) Le passage qui permet de dire que l’auteur établit une intimité avec le lecteur est des vers 3 à 5. (« Vous tous à qui Dieu (…) l’avez vous éprouvé ? ».) L’emploi de la deuxième personne du pluriel

mais l’attribue ange, met en valeur que le poète voit quelque chose d’angélique quasiment magique dans la mort. L’auteur qualifie les chevaux de « funèbres » comme si les chevaux aidaient la mort à nous amener vers elle. Les mots : « Cimetière », « deuil », « mort », « Crêpes », « cercueil », sont tous présents dans le texte ne laissant aucun doute que la mort est présente. Dans Confession nocturne, le lexique est plus sur la hantise de la mort que sur la mort elle-même, comme le dit l’extrait : «

Tout d'abord l'homme prend le risque de penser a la mort de façon constante et d'en faire une obsession si bien qu'il ne trouvera alors plus d'intérêt à la vie : les relations humaines n'étant alors vues que comme source de souffrance en raison du deuil qui arrivera inévitablement, les projets d'avenir sont inenvisageables puisque l'avenir c'est la mort. Ainsi tout nos choix, nos actes, en somme notre vie est vaine. De plus penser a la mort semble être une perte de temps dans le sens ou la mort tout