Deux Lecteurs Discutent

mentionnée par Jean-Pierre Vernant. Ainsi il les oppose d'abord en les séparant d'un point fort et non d'une virgule moins hermétique, ensuite par l'utilisation des diviseurs « d'une part » « d'autre part » (lignes 3 puis 6), mais aussi par la longueur des deux phrases, la première dimension est ainsi étirée sur trois à quatre lignes tandis que la deuxième est cantonnée à moitié moins et enfin l’opposition se tient par les propos tenus. L'auteur oppose l'importance du mythe dans la société antique à son

créer de l'émotion envers le public (il doit être terrifié et avoir de la pitié), c'est-à-dire, chaque objet, chaque chose concourant à la formation d'un tout extérieur peuvent créer du dramatique ayant pour but de créer de la sensation envers le lecteur. Premièrement, Shakespare peind les souffrance des être humain dans sa pièce comme nous défini Shopenhauer "côté terrible de la vie, les douleurs sans nom, les angoisses de l'humanité" c'est-à-dire que Shakespare réécrit à l'identique les souffrances

tragédie issu du moyen français, à savoir « évènements ou ensemble d’évènements funestes », nous pouvons bien sûr évoquer le crime des Sœurs Papin, crime qui a vraisemblablement inspiré Jean Genet même s’il l’a nié. Je vous le rappelle en quelques mots : deux sœurs travaillaient au service d’une famille bourgeoise, comme Claire et Solange travaillent au service de Madame et Monsieur, elles étaient sans histoire et travaillaient bien et un soir, elles ont sauvagement (et c’est un euphémisme) assassiné leur

action ponctuelle et inhabituelle qui surgit durant une action habituelle c’est-à-dire l’arrivée de Kara Ali et sa question pendant que les fellahs discutent entre eux. La question de Kara Ali va être l’élément déclencheur d’un affrontement verbal entre celui-ci et le courageux fellah qui ose lui répondre, Ali ber Rabah. L’affrontement verbal entre les deux protagonistes va être violent surtout de la part de Kara Ali qui n’accepte pas qu’Ali ber Rabah réponde à la place de Ben Salem Adda. De plus,

de rébellion et d'expression. L'excès de haine et de reproches: - la violence verbale Dans chacune des trois œuvres, la violence est omniprésente. Elle apparaît sous diverses formes, et notamment à travers les insultes et les reproches. Le lecteur est surpris de ce langage vulgaire utilisé, ce qui permet par conséquent aux auteurs de l'interpeler, de lui montrer la force et la faiblesse du langage. La violence permet également de cacher autre chose. Elle évite aux personnages de dire "je t'aime"

supplémentaire. Certes, mais l’innovation se situe dans la généralisation du procédé et son accélération par les nouveaux modes de communication et dans sa théorisation. Selon les experts, le premier avantage du style narratif est de plonger le lecteur ou l'auditeur dans un processus d'identification aux protagonistes de l'histoire. Le message est plus facilement mémorisable, en parlant autant à la raison qu'aux émotions. L’autre mérite de cette discipline est de permettre de prendre du recul et

généralement l'attitude comme étant une prédisposition plus fondamentale et plus généralisée que l'opinion, qui est une manifestation particulière des attitudes sous-jacentes. Lorsque qu'un événement survient, les gens forment leurs attitudes et en discutent, puis les modifient ou les renforcent et c'est ainsi que naît l'opinion publique. L'opinion est souvent caractérisée par l'orientation, l'intensité, l'ampleur et la profondeur. Longtemps avant l'élaboration de mesures systématiques permettant d'évaluer

manière d'un récit banal sans jeu des sons ni des rythmes et sans forme caractéristique de la poésie : c'est de la prose poétique. Baudelaire joue sur la syntaxe des phrases et la beauté des phrases permettant de créer des images dans la tête du lecteur. On comprend parfaitement l'idée que ces pulsions provoquent une jouissance par nos actes et dans quelles mesures. | Pas de difficulté. | X. À une heure du matin | Il est une heure du matin, un homme est seul et va bientôt être

dernier décide de financer la montée à l’alpage, il impose son neveu, pour qu’il apprenne à faire quelque chose. Arrogant et prétentieux, la malédiction le rattrapera. Réflexion : Ramuz oppose non seulement l’homme et la nature, mais également deux générations d’individus. La jeune, au raisonnement cartésien, et l’ancienne, traversée par des croyances archaïques, mystiques et proches de la sorcellerie. Il fait cohabiter non seulement des êtres différents, mais des générations, des manières

insoutenable : un enfant souffre dans sa chair les tortures de la peste. Le registre pathétique (expression de la souffrance) et tragiques (les signes de la mort imminente) sont présents. Si l’auteur a choisi la tonalité pathétique, c’est pour émouvoir le lecteur, mais aussi pour lui faire prendre conscience de l’injustice que représente sa mort : c’est un innocent, victime d’un mal qu’il n’a en aucun cas mérité. Le discours de Paneloux, dans son premier prêche, est donc mis à mal : les « méchants » ne sont