Deux Lecteurs Discutent

bureaux du chemin de fer du Nord, anciennement sous-officier de l'armée. Ses maigres revenus ne font qu'accentuer son obsession pour l'argent. Alors qu'il flâne à Paris un soir d'été, il rencontre par hasard un ancien camarade, Forestier. Ils discutent et Duroy ne lui cache pas sa difficile situation financière. Forestier décide donc le prendre, en quelques sortes, sous son aile, et de parler à son patron pour faire obtenir un poste de journaliste à son ami. Plus tard dans la soirée, lors d'un

discours est un discours particulier puisqu'il s'agit d'un discours philosophique entre deux animaux. Voltaire présente une thèse de façon indirecte, il s'agit d'une argumentation indirecte.Voltaire à travers ces deux animaux dénonce la violence humaine, il s'agit donc d'une satire (critique violente). Le dialogue se situe au moment où un chapon et une poularde sont sur le point d'être tués pour être mangés, ils discutent sur la cruauté des hommes. Le chapon à un rôle supérieur à la poularde puisqu'il explique

paragraphe qui, plus important (de la ligne 17 jusqu’à la fin), se consacre tout particulièrement à la réponse des indiens ; ces derniers sont alors, contre toute attente, non dociles et se rebellent contre leurs envahisseurs, ce qui permet de montrer au lecteur que ces prétendus « sauvages » ont eux aussi leur mot à dire, qu’ils ont eux aussi de l’autorité et une identité propre (ils ne veulent pas changer de religion), qu’ils savent tout de même dialoguer avec des étrangers, qu’ils ne se laissent ainsi

invente la critique à travers ses Salons et supervise la rédaction d'un des ouvrages les plus marquants de son siècle, la célèbre Encyclopédie. En philosophie également, Diderot se démarque en proposant plus de matière à un raisonnement autonome du lecteur plutôt qu'un système complet, fermé et rigide. Il éloigné des polémiques de son temps et des conventions sociales, mal reçu par la Révolution, il devra attendre la fin du xixe siècle pour recevoir enfin l'intérêt et la reconnaissance de la postérité

Écrit à la première personne, le roman relate les deux jours durant lesquels Holden Caulfield vit seul dans New York, après avoir été expulsé de Pencey Prep (école préparatoire). Dans les premiers chapitres, il évoque ses rencontres avec des étudiants de Pencey (en particulier Stradlater et Ackley), qu'il qualifie de superficiels. Après avoir été renvoyé du collège, Holden fait rapidement ses bagages et quitte l'école en plein milieu de la nuit. Ayant pris un train pour New York, il se refuse à

Commentaires 4 Liens externes Personnages Dans le jardin Le Vieillard L'Étranger Marthe, Marie - petites-filles du Vieillard Un paysan La foule Dans la maison (personnages muets) Le père La mère Les deux filles L'enfant Argument Le vieil homme et l'étranger discutent à l'extérieur de la maison. Sa famille est visible par les fenêtres. Le vieil homme et l'étranger se disputent sur la façon d'informer la famille de la mort de l'une de ses filles dont le corps a été découvert dans

Le Saturnien et Micromégas discutent du nombre de sens qu'ils possèdent. Les Saturniens en ont soixante et douze, ce qui ne leur suffit pas car il dit " et nous nous plaignons tous les jours du peu. Notre imagination va au-delà de nos besoins" et Micromégas en possède mille ce qui n'empêche pas son ennui. Il espère toujours trouver un pays ou il ne manque rien comme l'Eldorado dans Candide, mais il ne faut pas oublier que c'est une utopie. Ce dialogue entre ces deux personnes est plaisant, on y

jugement rational. Dans son œuvre Entretien d’un philosophe avec la maréchale de *** , Diderot utilise le forme d’un dialogue socratique, et présente aux lecteurs un image typique des Lumières sur la religion et la morale. Par les questions qu’il pose, Diderot souligne les contradictions logiques dans les arguments de la maréchale. Par exemple, quand les deux parlent de ce qu’il est le bien et le mal, la maréchale conclure : « Le mal, ce sera ce qui a plus d’inconvénients que d’avantages ; et le bien, au

la première Guerre Mondiale et se termine à la fin de la deuxième Guerre Mondiale, donc de 1913 à 1945. L'histoire raconte le récit d'un homme allemand. Né en 1900 dans une famille d'éducation rude et pratiquante de la foi chrétienne, Rudolf Lang a deux petites sœurs et sa famille est propriétaire d'un magasin qui la fait vivre. Ayant commis une faute impardonnable le père de Rudolf avait décidé que son fils rentrerait dans les ordres, mais son père meurt et Rudolf ne suivra pas les dernières volontés

leurs observations. Albert Camus, dans son roman intitulé Le Malentendu, utilise cette méthode pour créer un monde absurde à travers la révolte et la liberté. Ce monde absurde créé par Camus annonce qui est destinée à être tuée. L’auteur s’y prend de deux façons distinctes. Il développe un langage pour donner du sens à l’existence et il transforme la langue en signe. Tout en présentant une vision tragique du monde tout au long de l’intrigue. Albert Camus tente d’établir un langage pour donner du