Deuxième choc pétrolier

Pendant une trentaine d'année, c'est la croissance qui fut au coeur des préoccupations. Tantôt forte (A), tantôt limitée (B) elle resta au centre des discussions (C). A) Une croissance exceptionnelle De l'immédiat après-guerre au premier choc pétrolier, la croissance fut très forte, de l'ordre de 5 à 6%. Elle est d'autant plus remarquable qu'elle est relativement régulière et que ses retombées sont générales et permettent de réduire les écarts de revenus. Les causes de cet emballement sont

Commerce) I) Les rythmes de la croissance Une croissance exceptionnelle par sa durée, par sa régularité. Cette croissance atteint essentiellement pays développés, essentiellement ceux à économie de marché, sur la période 1950 jusqu'au premier choc pétrolier en 1973 (période qualifiée de haute croissance). La période 1945-1975 de profondes transformations économiques et sociales a été qualifiée par Fourastié (bio en fin de livre) de « Trente Glorieuses ». L'expression « l'âge d'or » est aussi utilisé

récession. L’année 2008 a été caractérisée par l’entrée de la France en récession économique, un phénomène rare dans l’histoire économique Française. Depuis 1950 la France n’a en effet connu que deux périodes de récession : en 1974 avec la crise du choc pétrolier et en 1993 avec une progression très forte du chômage. Ainsi à la fin de l’année 2008 les mouvements prônant la décroissance font parler d’eux avec la conviction que consommer moins et mieux rend plus heureux et on parle alors de la fin de la

Iran-Irak démarrée en 1980, la première guerre du Golfe en 1990-1991, et l'envolée de 2007-2008, voici venir - pour peu que les troubles se maintiennent et que les transitions dans le monde arabe soient longues à se mettre en place - le septième choc pétrolier lié à la révolte de la rue arabe. Le roi Abdallah d'Arabie saoudite, en convalescence au Maroc depuis trois mois, est rentré dans son pays mercredi 23 février. Il avait les bras chargés de cadeaux : une hausse de salaire de 15 % pour les fonctionnaires

la compétitivité des produits français. Les échanges redeviennent excédentaires De l'après-guerre, jusqu'à la fin des années 60, on observe un équilibre du commerce français. Une détérioration rapide s’est fait ressentir après les deux chocs pétroliers de 1979 et de 1982. A partir de 1992, grâce à la compétitivité des entreprises améliorées, la politique de désinflation (engagée en 1980) et la baisse de la consommation (et des investissements), une croissance est née entre les échanges de biens

ménages consommer pour 17 milliards en euros de produits manufacturés et en 2009, pour 21 milliards 626 euros de produits manufacturés. (21,636-17)/(17)*100=27,27%. La crise ne date pas d’aujourd’hui. Depuis les années 70 – période du 1er choc pétrolier – la France n’a cessé de connaître des crises successives. Une situation familière pour de nombreux français : 45 % de nos compatriotes sont nés après 1974 et 7 Français sur 10 avaient 18 ans en 1974. Il est alors peu étonnant qu’en avril 2009

général des prix (Taux d’inflation négatif) La désinflation : Baisse de l’inflation Ex : En 1990 TI 5% 1993 TI 3% La stagflation : ralentissement de la croissance conjugué a une hausse des prix ainsi que l’augmentation du chômage. Ex : Choc Pétrolier Les pays développés maintienne une inflation positive inférieur à 3% Au japon on note depuis la fin des années 90 une crise de déflation Crise de déflation beaucoup plus grave qu’une inflation Le Chômage Désigne les individus sans

prospective stratégique au Cnam) a d’ailleurs pu affirmer que « notre chemin pour ramener les déficits publics à moins de 3% d'ici à 2013 va conduire à des choix et des renoncements auxquels notre corps social, qui a vécu sous morphine depuis le premier choc pétrolier, n'est pas du tout préparé. »  Conclusion Il est évident que nous devons travailler plus longtemps pour financer nos retraites futures, il reste pourtant des points à améliorer, tel que mettre en place de nouveaux dispositifs, notamment

l’actualité. Elle suscite beaucoup d’inquiétude dans le monde que ce soit pour le simple particulier que pour les industries utilisant le pétrole comme matière première. L’ « or noir » n’a jamais aussi bien porté son nom. Depuis le premier choc pétrolier de 1974, le prix du baril n’a cessé d’augmenter et est devenu très volatil et connait des fluctuations très importantes, particulièrement orientées vers la hausse ces dernières années. Quelles sont les causes de cette hausse du prix

contexte de crise, l’intervention massive de l’Etat français en terme de revenu depuis 1970 trouvait son explication dans le besoin de l’Etat d’aider les acteurs économiques à surmonter la crise (une crise du capitalisme) connue depuis le premier choc pétrolier en 1973. Par ailleurs on peut citer la loi Wagner qui exprime clairement le fait que les dépenses sont sur le long terme irréversiblement croissantes, notamment lors de crises telles celle des années 1970. Cette évolution de la distribution de