Deuxième concile du Latran

criminelle et pénale et a partir du 14e s elle dispose d'une compétence a la fois en 1ere instance mais aussi en appel. L'appel se dvlp a la faveur de l'évolution du mode de preuve. Au 13e s, l'ordalie pratique condamné par le pape a l'occasion du concile de Latran en 1215 ou le pape innocent III interdit au clergé de prendre aprt a l'ordalie et Henri III reconnait la prohibition.=> généralise la généralisation du jury de jugement introduit par la magna carta. Le jugement des jury peut laisser certains

l’Allemagne. Leur présence en Europe centrale sera très rapidement recouverte par l’implantation des peuples germaniques puis surtout slaves. Réponse aux questions Q 1 : Hausse constante et régulière durant 2 millénaires; accélération notable dans la deuxième moitié du ier millénaire av. J.-.C., puis diminution vers 500 ap. J.-C. (voir commentaire). Q 2 : D’abord les Italiotes puis les Celtes (450 – 50 av. J.-C.), puis les Germains. Q 3 : Coutumes alimentaires, importance du porc, impression d’abondance

croyance (place de la religion importante). Cela atteste la force de la religion dans la société franque. L'ordalie commence à disparaître au 11-12ème siècle et en 1215 elle disparaissent définitivement car elles sont interdites par l'église (concile de Latran) ce concile condamne les ordalies car il dit qu'il ne faut pas provoquer la réaction divine. Les sanctions: (pénal) sanctions infligées par l’État, la sanction est infligée à l'auteur d'une infraction (personnel) en réparation d'une atteinte à l'ordre

social avec la renaissance de grande ville et du commerce ce qui créait un besoin de sécurité sans laquelle il ne peut évidemment pas y avoir de progrès. S’amorce alors la promotion de la justice sans faire appel au surnaturel. En 1215 a lieu le concile de Latran interdit au clerc de participer à des procédure faisant appel au surnaturel. La procédure devient plus rationnelle et il y a une volonté de se dégager de l’obscurantisme ce qui est pour l’époque révolutionnaire même si les romains procédaient

5/518 5 PREMIÈRE PARTIE - ATHÉOLOGIE I - L'ODYSSÉE DES ESPRITS FORTS 1 2 3 4 5 II - ATHÉISME ET SORTIE DU NIHILISME 1 2 6/518 3 4 5 III - VERS UNE ATHÉOLOGIE 1 2 3 4 5 6 7 8 7/518 DEUXIÈME PARTIE - MONOTHÉISMES I - TYRANNIES ET SERVITUDES DES ARRIÈREMONDES 1 2 3 4 5 II - AUTODAFÉS DE L'INTELLIGENCE 1 2 3 4 8/518 5 6 7 III - DÉSIRER L'INVERSE DU RÉEL 1 2 3 4 5 6 7 9/518

ayant apporté les fonds qui constituent le capital de départ. L’un apporte 300, l’autre 200 et le troisième 100. La société fait des bénéfices et elle double son capital qui passe à 1200. Si la société est dissoute le premier doit recevoir 600, le deuxième 400 et le troisième 200. À moins que le troisième n’ait exercé gratuitement les fonctions de dirigeant, dans ce cas il devra obtenir plus que 200. Et bien c’est ça l »idée du mérite selon Aristote. On pourrait faire le même raisonnement à partir

5 à 11) : Les « Fourches caudines » sont le nom d'un passage étroit entre deux montagnes près de Caserte, au Nord de Naples où eut lieu, en 321 avant J.-C., une bataille féroce entre Romains et Samnites, dans la vallée d’Arienzo, au cours de, la deuxième guerre samnite. Les Samnites de Caius Pontius encerclèrent et capturèrent une armée romaine entière de 40 000 hommes. L'armée romaine dut reconnaître qu'elle avait été défaite et les généraux romains s'engagèrent à faire la paix en échange de la

extraite de quatre sources essentielles à savoir : Le Coran, la Sunna, l’al ijma’ et l’al-qiyâs. La première, le Coran, transcrit la parole d’Allah et représente la base juridique du droit musulman. Il réglemente la vie et les pratiques des croyants. La deuxième, la Sunna, représente avec le Coran les deux sources majeures du droit islamique. Elle est l’ensemble des paroles et actes du prophète ainsi que son approbation des actions ou pratiques d’autrui. Ces dires ont été recueilli par voie de transmission

doctrine nous propose de retenir du système juridique deux acceptions. D’abord, le système peut être considéré comme un synonyme de famille. C’est alors un terme qui permet de regrouper des droits qui présentent un grand nombre de points communs. Deuxième sens, c’est un ensemble regroupant des règles assurant la solution des problèmes que peut connaître la société. On peut donc voir là un synonyme du Droit s’appliquant dans un Etat déterminé. A cet égard, il y aurait tant un système tchèque qu’un

délibérément écarté l’examen de certains points théoriques de la première section, consacrée à l’émergence de l’utilitarisme, pour les discuter à travers le prisme de la doctrine personnelle de Bentham, qui s’y prête mieux, et qui sera l’objet d’une deuxième section. Notre troisième et dernière section concernera les successeurs de Bentham, à savoir John Stuart Mill et Henry Sidgwick. I – LES UTILITARISTES PREBENTHAMIENS Le terme “ utilité ” n’apparaît ni dans l’œuvre de Beccaria ni dans