Dévaluation

avertissement, plus important encore, fut celui de la crise asiatique de la décennie 90. Concernant la crise asiatique des années 90, Krugman évoque le cas de la Thaïlande, ou la dévaluation de la monnaie, le bath, déclencha une avalanche financière à l’origine de la crise asiatique. La même question se repose ici : comment une dévaluation dans un si petit pays peut-elle provoquer un effondrement de l’investissement et de la production dans la majeure partie de l’Asie ? • La dimension psychologique de l’économie

effets d’une dévaluation  ← La dévaluation consiste à abaisser le taux de change officiel (la parité) que le gouvernement s’engage à maintenir stable à l’intérieur des marges de fluctuations autorisées dans un système international de changes fixes. ← La dépréciation est un recul de la valeur internationale de la monnaie résultant de la libre confrontation des offres et des demandes de monnaies sur le marché des changes, dans un régime de changes flexibles. ← La dévaluation peut être

politiques différentes, mais bien d’un antagonisme d’intérêts. B) Le taux de change  1) un objectif délaissé… Les grandes banques centrales n’interviennent aujourd’hui que très peu sur leur taux de change par le biais par exemple de dévaluation ou d’achats de devises pour en soutenir la valeur. La Fed n’a d’ailleurs aucune responsabilité quant à la valeur de sa devise extérieure inscrite dans ses statuts. Ceci peut s’expliquer, selon Robert Mundell, prix Nobel d’économie, par l’impossibilité

macroeconomique en particulier la maitrise du déficit , tout en évitant l'effondrement du rouble. Mais comme le note Stiglitz : « En dépit des souffrances infigées à la majorité des Russes , les reformateurs et leurs conseillers du FMI avaient peur d'une dévaluation : ils étaient persuadés qu'elle allait déclencher une nouvelle poussée d' hyperinflation.Ils resistaient à tout changement de taux de changeet étaient prets à deverser des milliards de dollars dans le pays pour l'éviter[Stiglitz , 2002, p,238]

étudierons successivement les réactions des pays avancées dans la première phase de dépression qui ont d’une certaine manière amplifiées la crise, notamment avec la mise en œuvre d’un protectionnisme, des politiques de déflation et le refus de dévaluation. Puis nous analyserons les différents choix nationaux pour faire face à la Grande Dépression des années 30. Dans la première phase de la dépression des années 30, les réactions des grandes puissances sont assez semblables mais ont ,paradoxalement

contrôlées par la banque centrale. Les autorités monétaires peuvent faire varier le taux de réserves obligatoires en fonction de leur volonté à limiter l'expansion du crédit 3) Les interventions de la banque centrale sur le marché des changes  Dévaluation de la monnaie Une banque centrale peut prendre la décision de dévaluer sa monnaie. En 1958 la Banques de France à choisi de dévaluer sa monnaie. Et dix-huit mois plus tard, un franc nouveau a remplacé cent francs anciens. Ce genre de décision

expliquer la crise de décembre 1994, plusieurs facteurs sont évoqués. En effet, on peut distinguer trois facteurs majeurs qui sont le déficit croissant de la balance commerciale mexicaine, un retrait massif des investisseurs étrangers et enfin une dévaluation du Peso mexicain. En effet, au début des années 1990, le Mexique met en place sous la présidence Carlos Salinas de Gortari ( 1988 -1994 ) de nouvelles réformes visant à moderniser, libéraliser le pays par le biais de dérégulations et de privatisations

généralisé. La balance des paiements des pays de l'OCDE. Le commerce extérieur est souvent rétabli par une série de dévaluation. La monnaie la plus fragile est alors le Sterling. La France a également un pb monétaire: il faut réglé la facture de mai 68. Le Franc est dévalué en 48, en 49(moins 40%), dévaluation déguisée en 56, officielle en 57, en 58 et en 69. Le Mark a connu des dévaluations mais est ensuite réévalué. On peut comparer avec les années actuelles. En 2007:2,2%(résultats meilleurs que prévus)

Grèce qui a une économie relativement fermée ne verrait qu’un impact assez limité sur ses exportations avec une dévaluation compétitive ou bien avec une monnaie sous-évaluée. Par contre, pour ces importations le renchérissement serait immédiat et massif. Par ailleurs, on sait que si la monnaie d’un pays est sous-évaluée, cela ne peut que renchérir sa dette. Sans oublier que la dévaluation monétaire entrainera un certain avantage compétitif qui risquerait fort d’être effacé par l’inflation dans un pays

années qui précèdent – Déficit public < 3% du PIB – Dette publique < 60% du PIB – Taux d'interet proche des taux de change Les pays n'ont plus de politique budgétaire et éco autonome. Friedman. M Prk un pays va se priver de la dévaluation de la monnaie. Choix politiques : Prk a t-on fait l'€? => 1989: 9 nov chute du mur de Berlin. Réunification de l'All. Mitterand va voir les responsables de l'URSS( que fait-on contre l'All?). => Dec 1989: Mitterand signe des accords avec