Dévaluation

situation financière très difficile et elle fait appel à Poincaré qui va rétablir l’équilibre budgétaire en augmentant les recettes et diminuant les dépenses. Il place le remboursement de la dette, il évalue la monnaie en 1928 ce qui correspond à une dévaluation de 80% par rapport au franc de 1914. Le franc est légèrement sous-évalué. En Europe centrale, la création de nouvelles monnaies crée un redressement monétaire. B) Les échanges commerciaux dans les années 20 : 1- La reprise

gouvernement à introduire des limites aux retraits. Le gouvernement fit une déclaration d'insolvabilité (défaut de paiement) face aux créanciers du pays et les autorités décidèrent d'entamer une dévaluation du peso. L'ouverture des banques fut interdite plusieurs jours, afin d'enrayer la vague d'achat de dollars. La dévaluation fut effective le 11 février 2002 et le change du peso fut fixé à 28 % (1.40 Peso = 1 Dollar). Mais, ce cours "officiel" ne s'appliquait qu'au commerce extérieur. Pour le commerce intérieur

soit aux dollars. Ces mesures entraînent une inflation, réduite par la dévaluation du dollar (1970 et 1972) et la réévaluation des monnaies fortes consentantes. Il s’ensuit un désordre monétaire qui fait le lit des spéculations. À partir de 1972, l’Europe crée le SME (Système monétaire européen) et en 1976, les accords de la Jamaïque signent la fin du Gold-Exchange Standard. Mais les exportations stimulées par la dévaluation repartent, les capitaux flottants refluent, la balance des paiements se

dollarisation ? A. Aspects positifs - Permets d'éviter les crises. Dans le cas d'une dollarisation totale, par l'élimination de la monnaie nationale, la devise ne peut plus être menacée ni par une forte dévaluation, ni par une brusque sortie de capitaux anticipants, à tort ou à raison, une dévaluation. Elle favorise les investissements étrangers, l'investissement domestique et donc la croissance par la baisse des taux d'intérêt qu'elle engendre. La baisse des taux d'intérêt réduit également la dette

administrée. Comme dans les années 30. Une différence majeure fut que le principe d’une stratégie coordonnée au plan mondial fut acquis avec la réunion du G20, ce qui permit de limiter les mesures protectionnistes unilatérales et la course aux dévaluations compétitives. 2. DE BULLE EN KRACH La spéculation est indispensable au bon fonctionnement du capitalisme. Elle participe du jeu des anticipations et donc de la formation de la demande. En assurant des contreparties à l’offre elle constitue

Les instruments de la politique monétaire Le taux de change : Le changement de parité (la dévaluation) : Il s’agit d’une décision des autorités monétaires qui consiste à baisser la valeur de la monnaie nationale par rapport aux devises étrangers.  Quand le déséquilibre extérieur est structurel ;  Quand la compétitivité par rapport à l’extérieur est altérée. L’objectif principal de la dévaluation consiste à rééquilibrer les échanges extérieurs du pays en difficulté, par le modification du

tenterons de présenter au lecteur le sujet de la monnaie comme elle est évoquée dans le Saint Coran ainsi que dans la Sounna. Nous démontrerons que cette monnaie a toujours possédé une valeur intrinsèque ce qui l’immunisait contre toute manipulation ou dévaluation arbitraires venues de l’extérieur. De plus nous aborderons le sujet du système monétaire mondial basé sur des monnaies sans valeur intrinsèque et donc dépréciées. De telles monnaies, une fois dévaluées, deviendraient de plus en plus couteuses pours

oblige à une dévaluation (malgré le refus du gvt) mais une dévaluation qui s’avère être insuffisante. Une autre dévaluation a alr lieu : ~13 de la valeur du F. La convertibilité-or est suspendue, et un fond de stabilisation des changes est crée afin de défendre le F sur le marché des changes. Il y a alr relance de la prod ind, soutenue pplt par l’augmentation des X°. La situation semble alr stabilisée, mais pdt l’hiver ’36, la situation se dégrade à nouveau : l’inflation revient, la dévaluation augmente

1999 [World Bank Indicators (2001)]. Durant cette période, de nombreuses mesures ont été adoptées afin de favoriser l’ouverture commerciale des pays africains (programmes d’ajustement structurel, politiques de relance de la compétitivité comme la dévaluation du franc CFA dans les pays de la zone franc) qui venaient se rajouter aux politiques déjà existantes de développement des exportations. Cette première partie va donc décrire l’évolution du commerce extérieur de l’Afrique subsaharienne au cours des

régime de changes fixes : E est supposé invariable et égal à 1. Que se passe-t-il si l’on tente les politiques budgétaire et monétaire de la question précédente ? Que faut-il faire pour utiliser la politique budgétaire ? Comment se passerait une dévaluation ? (on fera l’hypothèse du passage de E = 1 à E’ = 1,2) a) On part de Y = C + I + G + X – J ; on a C = 0,8 Y ; I = 100 – 10 R; G = 180; X = 260; J = 0,3 Y – 100 E ; Tout ceci conduit à : Y [1 – 0,8 + 0,3] = 100 + 180 + 260 + 100 E – 20 R Et