Dévaluation

international. On veut éviter les crises économiques qui ont marqué l’entre deux guerre (inflation et déflation) (exp : l’inflation des années 20 qui a eu lieu en Allemagne) pour éviter l’extrémiste. Mais aussi qui ne puissent pas se reproduire des dévaluations en cascade. Deux plans s’affrontent celui du Royaume-Uni (Keynes) qui propose une union internationale de compensation (une banque des banques centrale de l’union) et une nouvelle monnaie le bancor. Ce qui permettait une multilatéralisation des

(consultations récirproques volontaires) · Forte croissance des 60's -> convergence monétaire spontanée! B_ 69-71: LE TOURNANT: 1. Crises monétaires fin 60's -> les 6 doivent envisager d'urgence les modalités d'une union monétaire · dévaluation du FF en 1969 (spirale inflationniste & fuite des capitaux avec Mai 68) + réévaluation du DM en 1969 => perturbation du Marché Commun agricole -> prix uniques impossibles · nécessité de recourir aux Montants Compensatoires Monétaires (taxent les

de 52 à 29 milliards de dollars depuis début 2011, l'Argentine ayant dû puiser dans ses économies pour regler les achats de carburants à l'étranger et rembourser sa dette. Origine et explication de la crise en argentine:    Cette brusque dévaluation peut avoir de fortes répercussions dans toute l'économie. Dans l'expectative, les fermiers préfèrent par exemple attendre pour vendre à un meilleur taux leur récolte de soja. L'évolution du taux de change officiel a par ailleurs tiré dans son sillage

celle-ci en était incapable, elle a abandonné le système de change-or, soit l’équivalent d’une faillite pour un pays. L’Angleterre a vite été suivie par d’autres pays européens. Ce fut le retour au chaos monétaire, c’est-à-dire aux dévaluations compétitives des monnaies, aux barrières tarifaires, au contrôle des changes, etc. Les échanges internationaux connurent une diminution marquée et le monde s’appauvrit. Ces conflits économiques et monétaires ouvrirent la voie à la Deuxième Guerre

DEVALUATION ET COURBE EN J L'avènement et le développement des changes flottants ainsi que l'échec des politiques de dévaluations ont conduit bons nombres d'Etats a abandonné cette arme économique plus que perverse. La dévaluation consiste pour un Etat à diminuer la valeur de sa monnaie nationale au profit d'une monnaie de référence ou d'un panier de monnaies. La dévaluation est donc une décision de l'Etat dans un régime de change fixe. Une dépréciation résulte, elle, de la loi de l'offre et de

l’industrie. Depuis 10 ans, environs 20 banques turques ont fait faillites et les actes de désespoir augmentent. Les banques sont à découvert de 20 milliards de dollars, il y a donc fuites de capitaux et des taux d’intérêts de 2000 à 3000% et une dévaluation majeure. Ahmet CAKMAK dit que quand la Turquie est passé à un taux de change flottant, tout le monde a été pris en otage et personne ne peut aider car on observe la même situation partout. L’importation est 2.5 fois plus cher par rapport à l’exportation

monnaie servant de réserve de change à l'ensemble des pays. Le dollar devient la monnaie n°1 dans le monde. La grande crise de 1929 a remis en question l'ensemble du système. Les crises monétaires touchent peu à peu l'ensemble des pays (nombreuses dévaluations), les pays se protègent en adoptant des mesures protectionnistes. II -- Le contenu des accords de Bretton-Woods (juillet 1944) : création du SMI Les accords de Bretton-Woods reposent sur trois principes essentiels :. Permettre la conversion

extrêmement limitées. Le FMI accordait alors à certains pays le droit de dévaluer ou de réévaluer leurs monnaies. Une économie qui n'est plus en adéquation avec sa monnaie peut sombrer dans la récession pour des raisons purement monétaire. Les dévaluations étaient donc la solution. Mais les déficits budgétaires américains fragilisent le système, et le FMI se doit en 1969 de créer une nouvelle monnaie qui s'appuie non plus sur le dollar, mais sur un panier de devises. Cette nouvelle monnaie, le DTS

disparaît avec la politique de stabilisation mise en oeuvre en 1928 par Poincaré. Après la dévaluation de juin 1928, l'amélioration du taux de change du F freine la pénétration des produits français sur les marchés étrangers. Dès ce moment, les exportations stagnent puis elles refluent en 1929. La dépression des années 1930 et les politiques autarciques mises en oeuvre par les différents pays (dévaluations de la Livre et du dollar, taxes sur les produits de luxe, etc.) touchent particulièrement

plusieurs facteurs : >la sous-bancarisation de l'économie marocaine (certains ménages n'ont de compte bancaire!) >le poids de la dette extérieure (la dévaluation du dirham fait augmenter le poids de la dette extérieure!) >le poids de la facture énergétique (la dépendance du Maroc vis-à-vis du marché mondial du pétrole rend difficile la dévaluation du dirham!) m ed m ed 1 dernière modification 25 janvier 2012 Document crée par CHBANI Mohammed email : chbanichbani@gmail.com