Dévaluation

fonction que d’alourdir les caisses du souverain {en renforçant l’administration du royaume. } Les critiques de Montesquieu portent aussi sur la politique particulièrement dépensière de Louis XIV (l.36-44) : de 1689 à 1715, plus de quarante dévaluations, destinées à faciliter le remboursement de la dette « publique », ont eu lieu. Toutes auront affectées les pauvres du royaume. • Le roi, habile manipulateur Ces derniers (les pauvres) sont d’ailleurs présentés par Montesquieu comme les principales

réalisé par le gouvernement entre les avantages et les coûts résultant d’un changement de taux de change et sa défense. Modèle à 3 agents La spéculation contre une devise aboutit à des conditions économiques qui rendent une obligation de dévaluation probable. L’auteur nous le montre en utilisant un modèle qui nous expose le problème auquel sont confrontés les traders sur le marché des devises lorsque les fondamentaux macroéconomiques (le niveau de réserves de devises étrangères du gouvernement)

Kong, Corée du Sud, Singapour, Taïwan), puis de la Thaïlande et de la Malaisie, dont le décollage économique date des années 80. En 1997 éclate en Asie une crise de change très violente, initiée par la dévaluation inattendue du bath thaïlandais, le 2 juillet 1997, et suivie d'une spirale de dévaluations qui frappent à peu près toutes les monnaies des autres pays d'Asie, traduisant une défiance extrême des marchés financiers à l'égard des pays concernés. La crise financière qui a suivi a entraîné une

Woods. Cet accord stipule que le dollar américain, très solide après la Deuxième Guerre, sera la monnaie sur lesquels seront fixé les autres, et sera inattaquable, et celle-ci sera la seule basée sur l’or. Cet accord visait à protéger contre les dévaluations de monnaie abusive, puisque les États-Unis avaient le pouvoir d’intervenir. Il y a aussi présence d’organisme ayant pour but d’intervenir sur le marché : Le BIRD et le FMI. Ensuite plusieurs situations, dont la guerre au Vietnam, ont amenée les

et l’inflation ainsi créée neutralise les effets revenus de la relance. Les mesures discrétionnaires de politique économique restent donc sans effet, voire même peuvent avoir des résultats négatifs ; une dévaluation anticipée fait chuter le taux de change au point de nécessiter une dévaluation supérieure. De plus, Lucas considère que la monnaie est neutre. L’augmentation de son volume (par relance keynésienne, par exemple) provoque nécessairement de l’inflation. Par sa « passivité », elle n’empêche

commerce international, les quantités d’or varient dans les réserves des banques. * La tentation est grande pour les Etats d’émettre plus de billets qu’il n’y a de réserves d’or dans les caisses de la banque centrale. Cela provoque, à terme, une dévaluation de la monnaie. FONCTIONNEMENT DU GOLD EXCHANGE STANDARD * Les rapports des taux de change correspondent exactement à la quantité d’or représentée par chacune des deux monnaies. * 1 once d’or = 10 francs et 1 once d’or = 2 livres * 1 livre

le taux au 31 décembre 2001 après l’inflation de 280 % sur 2ans que l’on note X : X = 650 000 x (1 + 2,8) = 650 000 x 3,8 = TL 2 470 000 pour US $ 1 Calculons désormais le taux de change officiel au 31 décembre 2001 après correction par la dévaluation de 180 % sur 2 ans que l’on nomme Y : Y = 2 470 000

t+1 0,90€ 1$ 1,10€ 1$ 1000€ 1111$ 1000€ 909$ Gain de PDM et de compétitivité. Si appréciation, les exportations diminuent et les importations augmentent, le solde commercial se dégrade. Si dévaluation, les exportations augmentent et les importations diminuent. Le solde commercial s’améliore. 3.2. L’offre et la demande de devises sur le marché des changes Une même personne est acheteuse de devises et vendeuse de monnaie nationale.

investissements privés pour financer l'expansion. Trois périodes partagent l'évolution de la conjoncture économique : 1946 à 1949 : La hausse des prix (multipliés par 20 entre 1939 et 1949, alors qu'ils n'ont que doublé au U.S.A.), a entraîné plusieurs dévaluations du franc marocain à la suite du franc français, le cours du dollar passe de 37,5 F à 350 F en 1949. De même l'afflux des capitaux extérieurs contraste avec le déficit de la balance commerciale, ce qui montre que le Maroc s'apprête au décollage

protégeant le marché domestique. Mais le problème c’est que cette stratégie ne pouvait réussir qu’à la seule condition que les autres s’abstiennent de poursuivre la même stratégie en prenant des mesures semblables qui neutralisent les avantages des dévaluations compétitives et des mesures protectionnistes. Si on veut transférer le problème sur les autres avec des mesures protectionnistes, cette mesure peut réussir seulement si les autres ne mettent pas en place cette mesure. Nous allons illustrer ce