Devoir de mémoire

La notion ou l'expression de devoir de mémoire, telle qu'apparue en France au début des années 19901, désigne un devoir moral attribué à des États d'entretenir le souvenir des souffrances subies dans le passé par certaines catégories de la population, surtout s'ils en portent la responsabilité (en tant qu'États, non en tant que nations ou que régimes politiques, car c'est après un changement de régime que le devoir de mémoire, et d'éventuelles réparations, deviennent possibles). Par rapport à la

dernières sont le signe du devoir de mémoire qui imprègne la société tout entière. On entend par devoir de mémoire l’obligation morale de se souvenir, de garder toujours à l’esprit les hauts faits et tragédies de l’Histoire. Quels sont les implications de ce devoir de mémoire ? Il convient d’essayer de circonscrire les manifestations du devoir de mémoire (I), ainsi que d’évoquer les enjeux de ce phénomène bien entretenu (II) I Les manifestations du devoir de mémoire Il est en effet pertinent

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Le devoir de mémoire I/Présentation du devoir de mémoire Le devoir de mémoire peut se définir par la responsabilité morale des Etats de rappeler à leur peuple les souffrances et les injustices subies par certaines populations. Le terme « devoir » fait référence à une obligation morale de témoigner, individuellement ou collectivement, d’événements dont la connaissance et la transmission, sont jugées nécessaires pour tirer les leçons du passé. Le devoir de mémoire a été reconnu officiellement dans

dictent les mémoires de la Seconde Guerre mondiale. [Définition] Ces mémoires sont plurielles, en fonction de ce que les groupes sociaux ont vécu pendant le conflit : mémoire des résistants, mémoires des juifs, mémoires des collaborateurs/collaborationnistes… La mémoire désigne un processus par lequel un individu ou un groupe d’individus se souvient du passé (et ce souvenir est forcément subjectif et sélectif) et entretient ce souvenir dans le présent. La notion de « devoir de mémoire » désigne

les autres arts tels que les romans, les films, les tableaux, les photographies etc… ont pu servir d’appui a des gens tout au long de notre histoire pour montrer leur devoir de mémoire et de résistance face aux fléaux quels qu’ils furent au cour des siècles. Tout d’abord nous allons voir que ces arts ont eu un réel rôle de mémoire et de résistance et qu’ils ont ainsi beaucoup apporté sur cette ambition de partager leurs malheurs pour prévenir la société des éventuelles conséquences. Enfin nous verrons

METHODOLOGIE DU MEMOIRE Texte série 2 : Approche pratique ou fonctionnelle Auteur acteur Objectif mémoire : - Mesurer l’appropriation des capacités professionnelles des étudiants. - Entendre et écouter dans le respect des populations en difficultés sociales, économiques et culturelles. - Etablir un diagnostic social porteur d’actions possibles pour accompagner ces personnes vers une réappropriation du sens de leur vie. - S’interroger pour mesurer le

« La mémoire, où puise l’histoire qui l’alimente à son tour, ne cherche à sauver le passé que pour servir au présent et à l’avenir » Jacques Le Goff . La mémoire est un vécu en perpetuelle évolution ,à l'opposé de l'histoire qui est une reconstruction abstraite et savante .La mémoire collective est partagée , transmise et construite au sein de la société dans laquelle elle évolue . D'ailleurs, pour Schopenhauer,de même qu'il ne saurait y avoir d'individus sans passé ,sans mémoire, il ne

des sociétés à leur passé Mémoires de la Seconde Guerre Mondiale INTRODUCTION: L’Histoire est une science dont le but est la reconstruction du passé par la collecte, l’analyse et l’interprétation de documents provenant de différentes sources dans un souci d’objectivité. La mémoire de groupe est un enjeu politique. Mettre en valeur certains épisodes du passé collectif ou en effacer d’autres est une façon de définir son identité et de construire son histoire. La mémoire participe de ce que le philosophe

le renouvellement des mémoires de la Seconde Guerre mondiale en France depuis les années 1970 » La Seconde Guerre mondiale, et plus particulièrement les années d’Occupation en France, est une période complexe de l’Histoire, qui est peu connue au lendemain de la Guerre. La mémoire est la façon dont les gens ont vécu l’Histoire et choisissent de s’en souvenir. Dès 1945, une seule mémoire domine : celle de la Résistance, et le travail des historiens est difficile. La mémoire de la Résistance, ou « mythe