Devoir De Versification

FRANCAISE. (Étude sur le chant III tiré de L'Art Poétique de Nicolas Boileau) Licence 1 (Année Académique 2013 – 2014). L’étudiant: L'enseignant: MEBALE M'OBIANG Alan Brel. Dr. MESSIA. Année académique : 2013-2014. PLAN DU DEVOIR Introduction. I. Biographie de l'auteur. II. Le contexte d'énonciation de l'oeuvre. III. Le format d'édition de l'oeuvre. IV. Le niveau de langue utilisé dans l'oeuvre. V. Rapprochement entre le niveau de langue et

de longs développements pour l’affirmer. Régine David pour le Cned Consulte le corrigé. 2- L’originalité de La Fontaine a) Un peu de versification Phèdre et La Fontaine ont écrit leurs fables en vers. Les vers latins sont différents des vers français. Lis tout d’abord le « Je retiens » suivant puis mémorise-le. j e retiens La versification Jean de La Fontaine aurait pu écrire ses fables en prose, à la manière d’Ésope, c’est-à-dire tout écrire en continuant sur une même ligne

entre l’amour et le thème de l’illusion (titre, fin…) ; Fréquence des figures d’opposition, lexiques péjoratif et mélioratif abondants ; Thèmes amoureux : désir, prières, séduction (champs lexicaux) ; Registres alternés : pathétique et tragique ; Versification croisée (chiasmes formels et grammaticaux) … B. La problématique de l’analyse va alors émerger sous la forme d’interrogation(s). En effet, ce qui domine au terme de cette recherche correspond à ce qui a motivé la fabrication de l’œuvre en amont

emplie de corps brisés, Où l'humain vit enchaîné par son œuvre, décimé. Société constellée de sang et de larmes, Misère et exclusion, folie et déraison, Des pays damnés et des pouvoirs assoiffés. Triste réalité où nous sommes plongés. Notre devoir est à jamais d'y remédier, Battons-nous pour l'égalité, la liberté. Pas de fatalité dans cette calamité, Car nous sommes les garants de l'humanité. Clémence Clément Stanislas Messieurs, dames,   Regardez- vous, êtes vous différent de votre

XIII - Évaluation. - Commentaire littéraire. III.Séances clé en main Séance 1 Fiche élève 1 1. Questionnaire de lecture a. On fera remarquer aux élèves la variété des formes poétiques, et on en profitera pour rappeler quelques éléments de versification, les trois schémas de rimes principaux étant employés par Hugo, ainsi que trois des mètres les plus courants (alexandrins, octosyllabes et hexasyllabes) et deux types de strophes (quatrains, sizains). b. La plupart des poèmes sont écrits à la

Baccalauréat (vous connaissez déjà un de ces travaux, l’écriture d’invention). Qu’est-ce que c’est que le commentaire ? C’est un exercice qui porte sur un texte littéraire ou, exceptionnellement sur deux textes à comparer. Il vous est demandé de composer un devoir qui présente de manière organisée ce que vous avez retenu de la lecture ; vous devez justifier votre interprétation et vos jugements personnels. Le commentaire n’est pas exhaustif (vous n’êtes pas supposé commenter chaque mot du texte). Trois erreurs

ordonnée. C’est une explication de texte organisée. En séries générales, le candidat compose un devoir qui présente de manière organisée ce qu’il a retenu de sa lecture, et justifie son interprétation et ses jugements personnels. En séries technologiques, le sujet est formulé de manière à guider le candidat dans son travail.  Texte officiel Méthode à appliquer pour tout texte Organisation du devoir En bref Consignes diverses | Texte officiel Pour les séries technologiques Le libellé

dévalorisante de Napoléon III, traité de "petit, petit" dans le refrain et comparé à Napoléon Ier. C - Une force argumentative La poésie a une force argumentative et doit donc s'engager en cas de situation grave : le poète devient alors résistant et son devoir est de participer par sa plume, son inspiration, son talent, au combat. Le poète doit délivrer un message de courage et d'espoir à ceux qui luttent dans l'ombre. Exemple : Desnos, L'Honneur des poètes (1943), Courage : lutte contre l'occupation nazie

l’œuvre à l’art musical qui nous importe, c’est à dire que Verlaine a construit une œuvre purement musicale, débarrassée de paroles étrangères à la musique. Il s’est plus intéressé à la musicalité et au rythme qui structure les poèmes qu’à la versification et ses contraintes. A travers ces deux parties, nous verrons qu’outre l’emprunt au langage pictural ou musical, les poèmes rendent compte du paysage intérieur de l’auteur suggéré par les notations directes des sensations évanescentes et fugitives

fier, prétentieux, hautain, sûr de sa supériorité et de sa puissance. Face au roseau, il fait preuve de suffisance, de condescendance, de pitié même, méprisant un si chétif végétal. Il n’y a pourtant de sa part aucune hostilité : il croit même de son devoir de protéger le Roseau (vers 14). Reconnaissons-lui aussi une belle éloquence quand il s’agit de vanter ses mérites. Le Roseau, à l’opposé, se montre modeste, humble, déférent, un peu insouciant peut-être, mais sûr de lui aussi, fier, conscient de