Devoir Fable

TEXTE I Fables de La Fontaine(1678) : « Le Savetier et le Financier » Pb : Comment La Fontaine à travers cette fable parvient-il à expliquer que l’argent ne fait pas le bonheur en mettant en apposition ses personnages ? I/ La Fontaine chercher à plaire à son lecteur à travers un récit vivant : a) Des personnages en opposition : • Titre : « Le Savetier et le financier » : mise en place de 2 personnages aux différents métiers. Savetier = Cordonnier (métier artisanal

reformulez-les. Séance 5 : Lisez le texte de Rousseau (photocopie). Répondez aux questions suivantes : a) Par l’observation de la mise en page du texte et des différences typographiques, présentez la méthode selon laquelle Rousseau “ examine ” la fable choisie. b) Sur l’ensemble des arguments de Rousseau, lesquels paraissent logiques, lesquels semblent relever de la mauvaise foi ? c) Expliquez pourquoi il est difficile de reformuler les arguments. Séance 6 : Lisez le discours de Jules Ferry

qui a intéressé Hugo pour la valeur symbolique dont elle était porteuse. Hugo traite cette petite scène de rue comme une fable politique résumant la situation de la société française en 1846. Annoncer les axes de lecture : Ainsi, le récit met en parallèle les portraits de deux personnages que tout oppose, une femme de l’aristocratie, un homme misérable au point de devoir voler un pain pour manger; l’histoire se résume à un jeu de regards impliquant ces deux personnages et le narrateur; le texte

véritables informations historiques. Le lecteur découvrira ainsi d’autres cultures, d’autres modes de vie. De la même manière les Fables de La Fontaine permettent d’apporter des préceptes aux lecteurs, généralement au travers de morales. Ainsi, dans la fable de La Fontaine intitulée « Les Deux Coqs » appartenant au recueil Fables, le fabuliste cherche à apprendre à son lecteur la valeur de l’humilité en lui présentant l’idéal de l’ »honnête homme ». Enfin, la littérature peut permettre

merveilleux 112) Définition structuraliste du conte merveilleux 113) Quelques caractéristiques essentielles du conte : 8 12) Différences avec d’autres types de récits proches : 121) Le mythe : 122) La légende : 10 123) L’épopée 124) La fable 11 125) Les autres types de contes 13) Le conte, issu de la tradition orale : 131 Les sources populaires orales dans les contes de Perrault 132) Les sources du recueil des frères Grimm 14) Le conte inventé 141) Andersen 142) Les écrivains

acte Présentation du passage 13ème série LE COMMENTAIRE COMPOSE AU BACCALAUREAT 1ère leçon 2ème leçon 3ème leçon 4ème leçon 5ème leçon 6ème leçon Considérations Une mise en relation L'importance du texte Organisation du temps Les parties du devoir Un exemple de plan de commentaire composé 5 1 ère Français 1-FR-0702-EAD FRANÇAIS SOMMAIRE GENERAL QUATRIEME PARTIE : CONVAINCRE, PERSUADER, DELIBERER 14ème série ETUDE DE TEXTES : JEAN DE LA BRUYERE ; VOLTAIRE, L'ARTICLE « FANATISME

une pension en espèces, moyennant une "pension poétique". Il doit aussi composer un ouvrage en l’honneur de Vaux-le-Vicomte : il entreprend le Songe de Vaux. Il habite tantôt à Paris, chez Jannart, avec sa femme, tantôt à Château-Thierry pour les devoirs de ses charges, mais il fréquente le château de Fouquet, se lie avec Charles Perrault, Saint-Evremond, Madeleine de Scudéry. Paix des Pyrénées. 1660 : Les Rieurs de Beau Richard sont joués au carnaval de Château-Thierry. Dans cette ville existe une

populaire par les théologiens que l'on retrouvera fréquemment au XVIII° siècle, notamment chez Voltaire (on pense par exemple au chapitre de Candide sur le tremblement de terre de Lisbonne). II - L'art de plaire Comme dit La Fontaine dans sa fable Le Lion et le pâtre, en parlant des histoires qu'il invente (les "feintes") : "En ces sortes de feinte il faut instruire et plaire". Plaire pour mieux instruire, pourrions-nous ajouter. Fontenelle a retenu la leçon du fabuliste. 1) La satire

D'une farce dont le jardinier voulut être », chapitre 30 : « D'une meute de mâtins qui fut laissée en gage dans une hôtellerie », chapitre 31 : « De quelle sorte Gélase fit rompre une jambe à Maigrelin », chapitre 32 : « D'une boulangère qui crut devoir être pendue pour avoir brûlé des cerises », chapitre 33 : « Du chat qui avait mangé le moineau d'une demoiselle de la maison », chapitre 36 : « Ambassade du page vers un vieux cavalier crotesque et quelle réception on lui fit », chapitre 41 : «

inspiré de ces fables anciennes écrites par Esope, Horace, Abstémius, Phèdre pour la culture grecque ou encore Panchatantra et Pilpay dans la culture indienne, mais il les a considérablement améliorées et écrites dans une langue belle et simple. La fable n’est plus la sèche démonstration d’une morale, c’est un court récit à l’intrigue rapide et vive. La souplesse et le naturel du style sont en réalité le fruit d’un grand travail où le poète a manifesté sa parfaite maîtrise de la langue et du vers.