Dharma

le mot droit car il n’y a pas de distinction entre les normes sociales, les normes religieuses et les normes juridiques. Le Dharma est le concept fondamental en la matière, il désigne l’ordre naturel et social qui régit les Hommes. Pour l’hindouiste, l’univers tout entier est dieu, l’Homme n’est qu’une parcelle de la divinité à l’instar de toute chose de l’univers. Le Dharma indique à chacun comment il doit se comporter pour être un Homme de bien en fonction de différents critères liés à son âge,

Densité: 372.3/km2 Langues: Hindi (30%), Anglais Bengali, Telugu, etc. (Un total de 122 langues et 234 langues maternelles.) Religions:  80,5% hindous,  13,4% musulmans,  2,3% chrétiens,  1,9% sikh,  0,8% bouddhiste,  0,4% Jaina Dharma Monnaie: Ruppie indienne Croissance économique: 8,7% Espérance de vie: 67 ans PIB/habitant: 3 400$(US) Grande ville: Bombay, Bangladore et Delhi Population active :  60% agriculture (Le riz, le blé, le coton, le jute, oléagineux, canne

dans lesquelles l’harmonie prime, le droit est très différent : souvent, ce n’est pas un seul droit applicable à tous, mais plusieurs droits applicables à des catégories sociales différentes et hiérarchisées (ex : rites du confucianisme chinois ou dharmas de l’Inde tradi­ tionnelle). 4 – parce que la distinction que nous faisons entre droit et morale, droit et religion, droit et justice, ne se retrouve pas dans les sociétés « exotiques », différentes de la notre, dans lesquelles les solutions juridiques

khmers ne sont en aucun cas des lieux de réunion, mais des habitations de divinités. Une fois par an, on célébrait la fête solennelle du dieu. Le roi Le devoir principal du roi est d’assurer la prospérité dans son royaume et d’y faire régner le dharma, c’est à dire les règles qui organisent l’ordre du monde et l’harmonie entre tous les êtres. Deux grandes cérémonies marquent sa vie : sa consécration en fait effectivement le protecteur suprême de ses sujets et sa crémation prolonge cette protection

bouddhistes tels que : l’éveil, la libération, la délivrance, l’illumination, l’extinction, la vacuité ultime. Formes de bouddhisme Le Bouddha a nommé la religion qu'il a fondée d"Dhamma-vinaya":"doctrine et discipline » ou Dhamma (sanskrit : Dharma) en abrégé. Deux siècles après la mort du Bouddha, alors que le Dhamma se répand à travers l'Inde, plusieurs interprétations divergentes des enseignements bouddhiques ont fait leur apparition . L'une d'elles (le Mahasanghika) a donné naissance à un

l'une des plus vieilles du monde. Pratiquée par 80 % de la population, elle est basée sur les livres sacrés qui sont les quatre Veda, constituant le fondement de la philosophie hindoue : Les Upanishad, le Mahabaratha, la 17 Bhagavad Gita et le Dharma. Les pratiques principales de l'hindouisme sont : le puja, la crémation des morts et la hiérarchisation par le système des castes. 2. Islam : L’Islam est la deuxième religion de l’Inde. L’Islam s’inscrit dans la tradition des grandes religions monothéistes

bon d’offrir à l’humanité tout entière le plus grand pouvoir possible de contrôler le monde. » Répondre à la question comment, à la question pourquoi, et faire du savoir un pouvoir, de la théorie une maîtrise, voilà le destin du scientifique, son DHARMA, son devoir-destin au sens de la sagesse hindoue, dont Oppenheimer était imprégnée. » Que dit encore la religion des Védas ? « Si la lumière de mille soleils éclatait dans le ciel au même instant, ce serait comme cette glorieuse splendeur. » Qui

rationalité matérielle est caractéristique de la représentation chinoise du monde. Dans la société indienne, le ritualisme, le système des castes,…sont des facteurs qui rendaient impossible le développement d’une économie capitaliste. Avec l’idée du dharma, la guerre et la politique y ont trouvé chacune sa place Thème central de la sociologie wébérienne : pour comprendre une société, il faut en dégager la logique implicite à partir des conceptions métaphysiques ou religieuses. Religion primitive :

donc inutile de préciser que le bouddhisme est totalement contre la peine de mort et que cette pratique est donc répugnante pour tout bouddhiste. - L'Hindouisme: Autrefois, la peine de mort punissait ceux qui refusaient ou contrevenaient au "dharma" et cela même s'ils n'avaient pas causé la mort d'un être humain. Cependant, on trouve régulièrement des passages contre la peine de mort. La notion hindouiste de châtiment n'est pas basée sur la vengeance. Pour les hindous, la peine de mort est

religieuses accompagnant la représentation, tels que les rites de purification et la récitation des mantras. Mais le premier élément essentiel de la formation du Dalang, c’est la connaissance parfaite du grand traité des lois du Wayang Kulit, qui est le Dharma Pawayangan. On y trouve des incantations magiques et des instructions concernant l’accomplissement de certains rites, ainsi que les règles régissant le théâtre d’ombres, aussi bien sur le plan religieux que sur le plan technique. Ce texte étant rédigé