Dhimmi

sont de plus en plus fréquentes durant les  premiers siècles de la domination musulmane, mais les conversions forcées restent toutefois rares à cette époque. Les Chrétiens sous la domination musulmane du Moyen-Age ont un statut particulier appelé dhimmis. Ce statut, s’applique à tous les non musulmans, c’est-à-dire Chrétiens ou Juifs et autres croyances, et confère certaines dispenses de devoirs que doivent accomplir les musulmans (Aumône, service militaire) et octroie la protection à ces sujets ainsi

Peuple). A partir du 7ème siècle ont peut distinguer 2 catégories de Juifs : * Les Séfarades : habitaient dans ancien territoire romain qui va devenir des terres musulmanes conquises par Musulmans (Afrique du Nord, Turquie, MO) Le statut du Dhimmi est mis en place pour Juifs et Chrétiens en terres d’Islam. Ca les protègent concernant la pratique de la religion car ils ont le même Dieu. C’est une sorte de Tolérance. La création d’Israël en 48 entraîne l’expulsion des Juifs des autres pays.

Vorschriften der Schari'a sind für jeden gültig: manche richten sich nur an ein bestimmtes Geschlecht (z.B. das Kopftuch bei Frauen) oder bestimmte Altersstufen. Die kultischen Vorschriften gelten nur für Muslime, Angehörige anderer Religionen (siehe Dhimmi) sind davon nicht betroffen, allerdings gelten, in Ländern in denen die Schari'a gilt, für sie spezielle Regelungen. Wer zu bestimmten Handlungen verpflichtet (mukallaf) ist, wird jeweils genau vermerkt. Meist muss man im Vollbesitz der geistigen

Minorité de juifs et de chrétiens : présence antérieure à l’islamisation de la région. Minorités reconnues et protégées. Les chrétiens d’orient. Ou les juifs berbères au Maghreb. Ou encore les juifs andalous. Juifs et chrétiens ont statut particulier : dhimmis (« protégés en terre d’Islam »). Personnalité des lois en fonction de confession religieuse. Mesures discriminatoires : interdits s’appliquent spécifiquement : les juifs du Maghreb ne peuvent pas monter à cheval, pas porter armes, costume spécial

politico-économique nouveau qui est mis en place. Transfert de capital de Tolède à Cordoue en est significatif. Population chrétienne des villes et région. Reste en place sous la protection que leur accorde la loi musulmane. Il deviennen des dhimmi qui continue vivresous l'autorité des évêque et des comte maintenus à la tête de ces communautés à condition de payer les impôts et de respecter les traité conclu avec les vainqueurs. = mintient d'une autonomie communautaire. Simplicité de la

Puisque l’on sait que la loi islamique définit ainsi l’espace militaire : - L’espace de paix c’est à dire l’endroit où résident des musulmans vivants en harmonie avec les lois divines et prophétiques. - L’espace du contrat est l’endroit où vivent les dhimmis c’est à dire ceux parmi les gens du livre qui payent la jezya. - Puis enfin, l’espace de guerre, c’est à dire tout endroit où vivent des mécréants, païens, idolâtres qu’ils font combattre pour les soumettre à l’autorité de l’islam. Mais à présent

étrangères veut faire compromis avec RU alors que ministère des colonies refuse et veut continuer expansion. → Litiges avec les Russes au sujet de l'Empire Ottoman, chacun se pose en défenseur des Chrétiens de son église4. (qui avaient des statuts de dhimmi, de plus avec le déclin de l'Empire Ottoman, les réactions ont des conséquences sur les minorités) Freycinet : « L'anticléricalisme n'est pas un article d'exportation » → il faut soutenir les Chrétiens ottomans car c'est un point d'appui pour la

l’Islam, les juifs ont bien reçu la Torah et les chrétiens la Bible. Ils ne veulent pas les chasser car ces derniers ont inspiré le Coran (par les livres antérieurs) et ont eu, eux aussi, une révélation. Ils ont donc un statut spécial, le statut de dhimmi (la dhimmitude en français). C’est un statut inférieur aux musulmans. L’origine étymologique fait appel à une protection légale. Juifs et Chrétiens sont protégés. L’idée est de leur marquer au quotidien leur infériorité par des lois particulières

de la majorité arabo-musulmane. A quelques exceptions près la communauté juive du Maghreb semble s'être réjouie de l'intrusion coloniale. A tort ou à raison, les Israélites ont cru y voir une opportunité pour sortir au plus tôt d'une situation de "dhimmis" qu'ils jugeaient honteuse, et pour bénéficier au même titre que leurs coreligionnaires d'Europe à l'époque révolutionnaire d'une véritable émancipation de fait. Les nécessités socio-économiques et les politiques coloniales faisant le reste, la minorité

d’Istanbul, cité cosmopolite et polyglotte, l’Empire est composé d’une mosaïque de populations qu’il s’efforce d’intégrer. Peuplé majoritairement de musulmans, et fidèle à la tradition islamique, l’Empire accorde aux juifs et aux chrétiens le statut de dhimmi : protégés par le sultan, ils restent cependant des sujets de second rang. Quant aux cadres de l’armée et de l’administration, comme les janissaires ou les grands vizirs, souvent originaires des Balkans, ils sont « ramassés » dans le cadre du devchirmé