Dialogue Dom Juan Sganarelle Religion

■ Question PRÉPARATION m Ce que l’on vous demande • Le mot « forme » renvoie aux différents types de scènes que l’on trouve au théâtre : dialogue, monologue, tirade… (voir sujet n° 6 p. 178). • Quand vous l’aurez identifiée, caractérisez cette forme (ici le monologue), ses marques communes dans les trois textes. • Indiquez pour chaque scène les marques caractéristiques de cette forme théâtrale – qui est une convention – avec des références précises. • Puis, en travail préliminaire (la réponse

prose 3 grands cycles d’épopées : La Geste du Roi (aventures de Charlemagne et de Roland) Le Cycle de Garin (prône la fidélité féodale, Emery de Narbonne) Le Cycle de Doon (héros violent, révolté par injustice, révolte contre suzerain, contre religion…Raoul de Cambrai, Renaut de Montauban) Dès le 11è ; influence arabo –espagnole dans le midi de la France, surtout en poésie, musique…Guillaume IX d’Aquitaine : poésie des troubadours. - C’est la fin’amor ; (l’expression :Amour courtois date

être, à la lecture de ces premières pages, son caractère ? Justifiez. La pièce s'ouvre sur un duo, le duc Alexandre de Médicis, qui règne sur Florence, et son cousin Lorenzo, qui se présente ici tout d'abord comme un complice, voire un valet. Ce dialogue peut tout d'abord évoquer le traditionnel couple maître-valet omniprésent dans la théâtre français. Pourtant rapidement le volume respectif des répliques, le niveau de langue et les thèmes abordés indiquent que cette hiérarchie ne tient pas : le

père et fils. Vous rédigerez une synthèse objective et ordonnée des documents suivants. • Document n°1. : Extrait de Totem et tabou (IV, 5), de Sigmund Freud, Gallimard, 1913 (traduction Samuel Jankélévitch). • Document n°2 : Extrait de Dom Juan, de Molière, 1665. • Document n°3. Extrait de Mémoire de ma mémoire, de Gérard Chaliand, Julliard, 2003. • Document n°4. Saturne dévorant un de ses enfants, tableau de Francisco Goya, entre1819 et 1823. • Document n°1. : Au début du

interdit, la pièce connaîtra un succès immense, certainement le plus grand de Molière. Dom Juan est une des autres grandes pièces de Molière. Toutefois, la pièce ne fut jouée de son vivant en 1665 que peu de fois. Un succès notable dès le début mais une fois arrivé à la relâche pour les fêtes de Pâques, la pièce ne fut jamais rejouée après. Molière dut la sacrifier pour permettre le retour de Tartuffe. Dom Juan est la troisième pièce à scandale de Molière qui put porter alors malgré tout le titre

royale garantit l’ordre dans les villes, le travail dans les campagnes. Dans la deuxième strophe, l’autorité royale garantit les valeurs morales, la récompense des mérites, le développement des arts et des techniques. Le roi défendra et développera la religion légitime. 2. Le poète s’adresse à Dieu : « ton amour et ta crainte » (v. 13), « ta gloire » (v. 16), « ton obéissance » (v. 17), « tu », « te » (v. 18), « Tu » (v. 19). Le roi est désigné par la troisième personne du singulier : « son » (v. 1 et

dexposition les caractristiques du genre thtral les personnages types, de la commedia dellarte Molire la prsentation de M. Jourdain les procds comiques de la comdie le schma actanciel le dnouement Ecriture initiation la prise de notes rdiger le portrait dialogu dune personne ridicule tenir un journal de bord sur le projet de classe Outils de la langue Les types de phrases le langage dramatique rapporter les paroles des personnages (discours direct / indirect) laccord du participe pass Oral jouer plusieurs

poitrine. Une grosse toux ne l'a plus quitté et il est mort immédiatement après la quatrième représentation du Malade Imaginaire le 17 février, à 51ans. Les œuvres de Molière : - Le malade imaginaire (1673)-L'amour médecin (1665) - Dom Juan (1665)-Monsieur de Pourceaugnac (1669) -L'Avare (1668)-Le médecin malgré lui (1666) -Les fourberies de Scapin-Tartuffe (1664) II. CONTEXTE DU 17E S. Contexte historique : 1610 Henri IV meurt assassiné. 1661 prise

médecine comme en une religion, dont les médecins seraient les prêtres à qui l’on devrait obéissance. Le problème soulevé est celui du tabou du sacré : on ne doit ni le critiquer, ni même l’évoquer dans un contexte futile, mais seulement s’y soumettre et y obéir. On voit que Molière pose implicitement la question de la liberté d’expression au théâtre, qui lui a été refusée à plusieurs reprises, dès qu’il a osé porter sur la scène un sujet qui frôle le religieux (Le Tartuffe, Dom Juan mettant en scène

réellement né, vers 550 av. J-C, lorsque Pisistrate, tyran régnant à Athènes, associa au Dithyrambe un groupe de comédiens dirigés par Thespis qui passait d’un village attique à l’autre pour représenter les héros grecs. Thespis aurait eu l'idée, de faire dialoguer un acteur avec le chœur, introduisant ainsi un élément dramatique dans le poème lyrique; ainsi apparaît le premier " acteur ", dénomméhupocritès ("celui qui donne la réplique") ou protagoniste ; Eschyle en ajoute un second (deutéragoniste) et Sophocle