Dialogue Don Juan Tartuffe

personnage mort dans l’impossibilité de parler. Elle a une fonction allégorique : l’être inanimé invoqué représente une idée abstraite. Elle permet d’animer davantage une allégorie, de la rendre vivante en la faisant parler. Il s’agit de mimer un dialogue réel. « Un soir, l’âme du vin chantait dans les bouteilles : « Homme, vers toi je pousse, ô cher déshérité, Sous ma prison de verre et mes cires vermeilles, Un chant plein de lumière et de fraternité ! » (Baudelaire) - Personnification : assimilation

les pendus et leurs frères humains ? La solidarité se construit grâce au refrain mais aussi à l’envoi (dernière strophe). On est tous dans le même panier. Il dit « si vous priez pour nous, Dieu les pardonnera plus facilement » et «  si vous nous donner votre pardon, Dieu vous pardonnera plus facilement ». Pourquoi Villon a-t-il accordé une large place au sentiment religieux ? Parce que la religion a une place très important au Moyen-âge. Les différentes traces religieuses sont au niveau du lexique

XIV, de son côté, accepte d'être le parrain de son premier enfant et lui suggère amicalement de rajouter à sa galerie d'importuns des Fâcheux le portrait du chasseur. A cette occasion, il donne entre autres une première version en trois actes du Tartuffe, dont la représentation publique ne sera autorisée par le souverain que cinq ans plus tard, en raison de la hardiesse du sujet traité : non seulement la mise en garde contre l'hypocrisie religieuse risque de discréditer les vrais chrétiens, mais

est le premier a catégoriser les textes et introduit le concept de catharsis. Quintilien (1er siècle ap. J.-C.) dans L'Institution oratoire (30 ap. J.-C.) propose une synthèse sur la composition du discours. Outils de réflexion philosophique : Les Dialogues de Platon (427-356 av. J.-C.) s'appuient sur une maïeutique qui conduit à apprendre a penser par soi-même. Ils interrogent sur le problème des origines (la métaphysique), le sens des valeurs (l'éthique), la notion de Beau (l'esthétique), le rôle

l'éloge de la liberté. Le Barbier de Séville _ Le Comte Almaviva, grand d'espagne, amant inconnu de Rosine _ Bartholoo, médecin, tueur de Rosine _ Rosine, jeune personne d'extraction et pupille de Bartholo _ Figaro, barbier de Séville _ Don Bazile, organiste, maître à chanter de Rosine _ La Jeunesse, vieux domestique de Bartholo _ L'éveillé, autre valet de B, garçon niais et endormi _ Un notaire _ un alcade, homme de justice _ Plusieurs alguazils et valets avec flambeaux Acte I

et des échanges stimulants d’une classe. Nous essayons de créer un lien avec vous dans ce cours, en imaginant autant que possible votre présence et en essayant de prévoir vos questions et vos difficultés. Ce cours ne peut toutefois se passer du dialogue avec vos professeurs correcteurs, tuteurs, et vos conseillers de scolarité. Donc, ne vous laissez pas arrêter par le découragement que peut faire naître le travail solitaire. N’hésitez pas à poser des questions par écrit, par téléphone ou par

solide réputation ; et ils ont depuis renchéri de siècle en siècle sur la manière de se détruire réciproquement. De l'injustice des premiers hommes, comme de son unique source, est venue la guerre, ainsi que la nécessité où ils se sont trouvés de se donner des maîtres qui fixassent leurs droits et leurs prétentions. Si, content du sien, on eût pu s'abstenir du bien de ses voisins, on avait pour toujours la paix et la liberté. 1. Jeune homme tué à la guerre et dont La Bruyère avait peut-être été le

pratiques religieuses, manifestent leur indépendance de pensée et tendent à donner à l’existence humaine un sens uniquement terrestre. Ce courant assure ainsi la transition entre l’humanisme de la Renaissance et la philosophie du siècle suivant, celui des Lumières. Cyrano de Bergerac, disciple de Pierre Gassendi, est le représentant le plus éminent de la pensée libertine. Le personnage éponyme de la pièce de Molière, Dom Juan, est emblématique de cette attitude. Vers 1615 se constitue un groupe de poètes

longtemps. Corneille abandonnait la plaisanterie grossière pour l’expression raffinée et subtile des sentiments. Son idée maîtresse a été d'emprunter à la pastorale son schéma de relations entre les jeunes amoureux, donnant ainsi la première place aux dialogues amoureux, aux trahisons du cœur et aux émotions sentimentales, et propulsant sur le devant de la scène le personnage de la jeune fille, presque muet dans la comédie traditionnelle héritée de l'Antiquité. Mais il refusa les complications romanesques

longtemps. Corneille abandonnait la plaisanterie grossière pour l’expression raffinée et subtile des sentiments. Son idée maîtresse a été d'emprunter à la pastorale son schéma de relations entre les jeunes amoureux, donnant ainsi la première place aux dialogues amoureux, aux trahisons du cœur et aux émotions sentimentales, et propulsant sur le devant de la scène le personnage de la jeune fille, presque muet dans la comédie traditionnelle héritée de l'Antiquité. Mais il refusa les complications romanesques