Dialogue Entre Les Animaux

procédés les auteurs dénoncent-ils la guerre dans ces textes? Le premier procédé utilisé est l'utilisation de l’Autre pour dénoncer la guerre. Dans l'extrait de LesCaractères, Jean de La Bruyère compare les animaux aux Hommes. Il rapproche les actions humaine à celle des animaux dans l'acte de guerre « tous les chats d'un grand pays se sont assemblés parmilliers dans une pleine » cela fait référence aux hommes prêt au combat, le résultat de ce rassemblement « neuf à dix mille chats sur

Mais si cela est rendu possible c’est avant tout grâce à la qualité rédactionnelle de La Fontaine qui est exceptionnelle et sa maîtrise est de fait presque inégalée. Le recueil est de plus caractérisé par une grande variété des sujets abordés, des animaux anthropomorphes, des humains, des styles et des tons ce qui contribue ainsi à la dimension plaisante du recueil. Ensuite, La Fontaine dénonce dans son recueil les abus de la société et les défauts humains avec beaucoup

BÉRENGER. Réféchissez, voyons, vous vous rendez bien compte que nous avons une philosophie que ces animaux n'ont pas, un système de valeurs irremplaçable. Des siècles de civilisation humaine l'ont bâti !… JEAN, toujours dans la salle de bains. Démolissons tout cela, on s'en portera mieux. BÉRENGER. Je ne vous prends pas au sérieux. Vous plaisantez, vous faites de la poésie. JEAN. Brrr... (Il barrit presque.) BÉRENGER. Je ne savais pas que vous étiez poète. JEAN, (Il sort de la salle de bains

produit hasardeux de la nature ou institution ? Peut on parler de société animale ? On entend parler de société d’abeilles, de fourmis, de chimpanzés, d’abeilles, mais on parle pas de n’importe quel animal mais on se compare à des animaux sociaux (qui vivent en groupe régit par de règles) > il y aurait société si il y a des règles. De quel ordre sont ces règles ? Est ce une organisation aveugle ? Les dites « société animales » sont issus d’une hiérarchisation, peut on quand même parler de société

moral ? Pourrait-on trouver cependant qu’au travers du récit le narrateur manifeste sa sympathie à un animal plutôt qu’à l’autre et qu’il nous invite, implicitement, à imiter sa manière de vivre ? Pour répondre à ces questions nous étudierons tout d’abord l’art du récit et la manière dont le fabuliste suscite en permanence l’intérêt du lecteur ; nous montrerons ensuite comment chacun des animaux incarne des traits de caractère et des comportements humains, enfin nous nous interrogerons sur la portée

dénonciation de l'esclavage. Dés le début de cet extrait , on nous dit que la rencontre se fait entre un négre étendu par terre et ''Ils'' qui désigne Candide et Pangloss (son précepteur). Tout au long de l'extrait un dialogue se crée entre l'esclave et Candide, pendant que Pangloss est plutôt en retrait puisqu'il n'intervient aucune fois dans le dialogue. Nous observons également dans le dialogue le nègre parle de plusieurs personnes n'étant pas présent dans la scène à travers ses paroles , l'esclave

Intro : • Fable distrayante, avec description des circonstances, des pers, richesse du dialogue. LF donne importance au récit qu'à morale mais garde visée satirique. Assiste ici démonstration loi sociale, Raison du + fort. • Evident aussi, amène réflexion sur injustice car décision politique qui consiste à trouver un "bouc émissaire" dont le sacrifice sauvera la société du fléau qui l'accable. 1) Une fable habilement menée : a. Un Préambule qui rappelle les récits mythologiques tragiques

 juin,  il  y  aura  deux  fois  plus  de   questions  et  deux  fois  plus  de  matière.       2) Deux  types  de  questions  possibles:       -­‐ Question  de  comparaison  entre  auteurs  ou  entre  points  de   doctrine     -­‐ Question  sur  un  point  de  la  matière       3) Rédiger  un  texte     -­‐ Pas  d’énumération  de  divers  points  avec  des  tirets,  etc.  

l’ignore, derrière chaque animal d’une poésie de Jean de La Fontaine se cache un Homme. Dans les fables, deux types de personnages sont très souvent présents, l’un flatteur et malin, l’autre assez sot, étant lui-même la victime du premier. Evidemment l’auteur fait à chaque fois triompher le malin, le lecteur a donc une tendance naturelle (en général) à s’identifier à lui. Mais chaque comportement d’animal est calqué sur celui d’un Homme, y compris celui du sot, les animaux de La Fontaine sont nos reflets

mieux rire que pleurer : il choisit le registre comique pour son œuvre. « Parce que le rire est le propre de l'homme » Il annonce son intérêt pour l'homme ⇒ humaniste Il dit aussi que son livre n’est pas malfaisant ni nuisible. Mais il nuance cette entrée en matière dans le prologue, où il dit que finalement, derrière le rire que l’oeuvre provoque, il y a un côté sérieux.Prologue de l’auteurPrologue ≠ préface : il fait partie de l’oeuvre, même s’il est situé avant.Ici Rabelais justifie son livre. Il