Dialogue Paneloux Et Rieux

simples se sont-ils comportés quand ils ont été confrontés a eux ? TEXTE II (p48-49) De «  non, tout cela n’était pas assez fort pour tuer la paix de cette journée… fin » Castel qui a exercer en chine, a reconnu le bacille de la peste, Rieux reste songeur devant une réalité, le fléau qui dépasse l’entendement (la raison) et même l’imagination il essai donc de s’en faire une idée, une représentation en repensant aux grandes pestes de l’histoire (ex : Athènes) [Problématique] Nous nous

Il se propose encore... Mais il est peutêtre temps de laisser les commentaires et les précautions de langage pour en venir au récit lui-même. La relation des premières journées demande quelque minutie. Le matin du 16 avril, le docteur Bernard Rieux sortit de son cabinet et buta sur un rat mort, au milieu du palier. Sur le moment, il écarta la bête sans y prendre garde et descendit l'escalier. Mais, arrivé dans la rue, la pensée lui vint que ce rat n'était pas à sa place et il retourna sur

Diana. - Monique essaie de trouver un point d’ancrage dans son passé afin de fuir la réalité présente. - La vérité sort-elle de la bouche de Monique - donc de Diana ! – ou de celle de Maurice – donc de Noéllie !- ? Structure : 1-50 : Dialogue (de sourds) Monique/Maurice 51-77: Comparaison situation actuelle/épisode de la sœur de Monique 78-96 : Arrêt sur la phrase importante de ce passage Analyse par parties : 1-50 : Maurice entend Diana dans ce que dit Monique. L.17 (Ah

relation entre cet incipit, le titre du roman, la date de publication de l’œuvre pour définir des attentes de lecture autour de la question : « comment décoder cet incipit ? » - Séance à dominantes lecture et oral : lecture cursive du prêche du Père Paneloux (Deuxième partie, depuis « Ici, le père reprit avec plus d’ampleur … » jusqu’à « Dieu ferait le reste » p. 93PROJET – Ministère de l’éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative/DGESCO PAGE 4 sur 9 PROJET : Baccalauréat professionnel

réapparue à Oran en Algérie où se déroule l'histoire. Or, dans le récit, le docteur Rieux et ses confrères se retrouvent dans une certaine impuissance face à la maladie et sont limités à proposer pour seuls remèdes la mise en quarantaine des malades et l'incision des bubons (p. 57) d'où sort une « purée mêlée de sang » (p. 42). Les seuls espoirs portent alors sur les recherches de Castel, confrère de Rieux qui tente dès le début de l'épidémie de développer un vaccin. La première partie du roman

personnages font leur entrée aux côtés de Rieux : Grand, Tarrou, Rambert, Cottard, Paneloux, chacun harnaché de son ballot d’espoirs, de doutes, de désillusions, de peines, ou de secrets. Des liens se nouent entre ces hommes séparés de leurs repères, prisonniers dans un cube virtuel aux frontières irradiées de mal. On les voit lutter, aider, fuir, abdiquer, perdre, gagner, évoluer dans leur appréhension du fléau, et de leur existence en général. De ces hommes, Rieux, médecin de fonction, semble être le

plaira. Il se propose encore… Mais il est peut-être temps de laisser les commentaires et les précautions de langage pour en venir au récit lui-même. La relation des premières journées demande quelque minutie. 2) Le matin du 16 avril, le docteur Bernard Rieux sortit de son cabinet et buta sur un rat mort, au milieu du palier. Sur le moment, il écarta la bête sans y prendre garde et descendit l’escalier. Mais, arrivé dans la rue, la pensée lui vint que ce rat n’était pas à sa place et il retourna sur ses

propose encore... Mais il est peut-être temps de laisser les commentaires et les précautions de langage pour en venir au récit lui-même. La relation des premières journées demande quelque minutie. [18] Le matin du 16 avril, le docteur Bernard Rieux sortit de son cabinet et buta sur un rat mort, au milieu du palier. Sur le moment, il écarta la bête sans y prendre garde et descendit l'escalier. Mais, arrivé dans la rue, la pensée lui vint que ce rat n'était pas à sa place et il retourna sur ses

plus grands écrivains français du vingtième siècle. Un jour d’avril dans les années 1940 à Oran, en Algérie, le docteur Rieux découvre un rat mort sur son palier. Le concierge de l’immeuble du docteur Rieux tombe malade, et, malgré les soins du médecin, il meurt d’une maladie mystérieuse. Grand, un employé de mairie, vient voir le docteur Rieux car les morts de cette mystérieuse maladie se multiplient. À la fin de la première partie, les autorités, après bien des hésitations, se

L'action se situe en avril 194. à Oran,  une ville "fermée" qui "tourne le dos à la mer".   Première partie Oran, un jour d'avril 194. , le docteur Rieux découvre le cadavre d'un rat sur son palier. Le concierge, monsieur Michel, pense que ce sont des mauvais plaisants qui s'amusent à déposer ces cadavres de rats dans son immeuble. A midi, Rieux accompagne à la gare son épouse qui, malade, part se soigner dans une ville voisine. Quelques jours plus tard, une agence de presse annonce que plus de