Dialogue

état d'esprit et leurs gestes. La double énonciation : sur scène, les personnages échangent des paroles, mais ils le font en présence d'un public, qui en est également le destinataire. Les modalités de parole des personnages sont diverses : dialogue; faisant intervenir plusieurs voix -certaines en aparté- monologue dont bénéficie le public alors que le personnage est censé être seul tirade; longue et construite, échange très rapide de répliques cinglantes (=stichomythies) ● Temps au théâtre

se révolte contre leur maitresse au point de vouloir les empoisonnés toute la pièce rend compte de leur antagonisme profond. Le conflit théâtrale peut également opposer l état a un groupe social qui lui offre une certaine résistance exemple : le dialogue des carmélites de Bernanos, qui raconte l histoire de religieuses confrontes a des révolutionnaires français. La violence se donne libre cour sans pour autant venir a bout de leur résistance passive qui se termine par leur exécution. b. Le conflit

lexical de la religion.  « confesse » « je vous pris » « daignez » « ciel » « péché » Supériorité ? (cf à Alexandre le grand 45) Signe de mépris ORGUEILLE 2) L’utilisation des stratagèmes pour esquiver le dialogue 0 échange verbal, refus de répondre 0 échange physique (cf 1 ) Essaye d’esquiver le dialogue Intervention de Sganarelle, intermédiaire = figure comique (Dj parle à sganarelle, Sganarelle a DE) vis et versa 3) Une source de tension (énervement) Chercher à comprendre, regarde expressions du visage

parole, et enfin à traiter des vertus de l’oubli. I. Organisation dialectique du récit 1. Un texte réflexif Cet extrait du récit est réflexif : parce qu’il est mise en abyme (récit de la paysanne sujet du récit du narrateur), et parce que le dialogue entre le narrateur et Michel porte sur le témoignage. On y observe une forme mineure d’enchâssement : par association d’idée, le narrateur interrompt le récit du récit de la paysanne pour parler de la conversation tenue la veille avec Michel sur

Le Tartuffe, Molière Acte IV, scène 5, (Vers 1387-1436) Situation : Ce passage du roman de Molière Le Tartuffe ou l’Imposteur, autorisé de sortie en 1669 mais écrit en 1664, de l’acte IV à la scène 5, est un texte long de 50 vers qui est un dialogue *On y apprend qu’Orgon décide de donner sa fille Marianne en mariage à Tartuffe. *Elmire prépare un piège à Tartuffe en présence de son mari caché. Idée générale : Elmire exprime ses sentiments à Tartuffe qui n’y croit

de vérité contre le « roman de la médecine » et le convie à voir davantage de pièces de Molière. Nous étudierons donc les particularités de ce dialogue argumentatif. Nous montrerons ensuite que Molière a fait de cet échange non une discussion ennuyeuse mais une scène vive et enlevée, avant tout théâtrale et célébrant les vertus du théâtre. I Un dialogue argumentatif [ Remarque : le piège, lorsqu’il s’agit d’étudier une argumentation, c’est de paraphraser le texte et de se contenter d’affirmer

passer le temps. Dans ce même but, c’est-à-dire échapper au silence, ils se disputent. « maintenant, raccommodons nous » ici c’est surprenant que le langage parlé n’a pas pour but d’établir une communication. On assiste à sa dislocation, avec des dialogues qui s’avèrent davantage être des quiproquos, des monologues parallèles sans lien entre eux : « qui ? je ne sais pas - combien ? je ne sais pas –«  De même des jeux de mots, comme l’expression « servis sur un plateau » ou « j’ai perdu la tête », les

  Ultima verba, de Victor Hugo, est une réponse. IL est engagé dans un dialogue implicite avec l’Empereur. C’est une réponse d’opposition : l’expression d’un refus à une proposition qui est une proposition d’amnistie (lorsque le gouvernement propose d’annuler les condamnations). Le titre : « Dernière parole ». Le dernier titre devait être « moi» => c’est une parole prophétique, c’est une espèce d’insistance médiatrice entre l’ombre et la lumière. Au début du poème de Nox, il y a une voix anonyme

I- Une scène vivante et complexe. (phrase d’introduction de la partie avec rappel du thème lors de la rédaction) a) Un dialogue rythmé. les répliques sont courtes et nombreuses pour une scène aussi rapide. Jeu de questions réponses entre Dom Juan et le pauvre que donne cette vitesse dans le texte. Impression que le pauvre est pressé. Une ponctuation abondante et diverse : de multiples virgules, des points d’interrogation, des onomatopées (ah, plusieurs fois). Un comique par lé dérision utilisé

stratégie. * La stratégie de coopération : rechercher le consensus durant la communication, écouter l’autre et ses arguments. * La stratégie de résistance ou d’opposition : être réfractaire au dialogue, s’entêter sur ses positions. La communication est difficile. * La stratégie d’évitement : fuir le dialogue, éviter le conflit. La communication est rompue. * La stratégie d’influence : essayer de faire changer l’opinion ou le comportement de l’autre.