Dichotomie Monétaire Réel

Croissance et inflation L’inflation est un phénomène majeur du 20èm siècle, elle apparaît même comme une rupture brutale après un siècle de sagesse monétaire. C’est véritablement à l’occasion de la Première Guerre mondiale que l’inflation s’installe. Ainsi aux poussées inflationnistes limitées succède peu à peu une inflation galopante (période d’inflation à deux chiffres, années 70), puis rampante (situation durable et modérée de la hausse du niveau général des prix). En effet, on assiste depuis

Contexte de l’apparition du mercantilisme et de la physiocratie : *sté €péenne encore féodale ( grd poids agric., artisanat, grpes sociaux qui tirent leur richesse d’héritages). *cette sté est aussi marchande ( place croissante prise par les échanges monétaire, la bourgeoisie s’enrichie par commerce). Le MERCANTILISME s’explique par : afflux de métaux précieux des EU, constitution de nvx Etatsnation (Fr, Esp, All) qui se substituent à la sté féodale. L’émergence de la PHYSIOCRATIE s’effectue alors

crise de l’endettement des années quatre vingt qui faisait planer un risque de crise économique mondiale qui a été résolue en 1989 par la mise en place des politiques d’ajustement structurel, le crack boursier de 1987 qui fut maîtrisé et la crise monétaire de 1967 qui a été résolue grâce aux politiques de désinflation compétitive dans les pays occidentaux. Les politiques de rigueur mises en place dans les pays occidentaux ne maintiennent pas les acquis sociaux des trente années glorieuses

sensé guider naturellement et vertueusement ce processus. On s’éloigne ainsi progressivement de la misère, de la famine, de la dureté naturelle. Une richesse réelle : la dichotomie monétaire Pour les classiques la richesse n’est donc pas monétaire. Elle est réelle, matérielle. La monnaie n’est qu’un voile : on parle de dichotomie monétaire. Une mesure de la richesse par le travail Pour les classiques l’origine de la valeur c’est le travail incorporé dans les biens. C’est un fondement à la fois

Croissance et inflation L’inflation est un phénomène majeur du 20èm siècle, elle apparaît même comme une rupture brutale après un siècle de sagesse monétaire. C’est véritablement à l’occasion de la Première Guerre mondiale que l’inflation s’installe. Ainsi aux poussées inflationnistes limitées succède peu à peu une inflation galopante (période d’inflation à deux chiffres, années 70), puis rampante (situation durable et modérée de la hausse du niveau général des prix). En effet, on assiste depuis

fiduciaire et de la monnaie divisionnaire. 2. Mesure de la monnaie Le « stock monétaire » est la masse globale de monnaie qui circule dans l’économie. On l’appelle aussi masse monétaire et elle correspond à la somme des actifs monétaires détenus par les agents économiques non bancaires. La masse monétaire en circulation dans économie donnée est mesurée par des agrégats monétaires (M1, M2 et M3). L’agrégat monétaire M1 est l’ensemble des actifs directement utilisables comme monnaie, sans aucun

action, en visant dans la phase antérieure une reprise conjoncturelle fondée sur l'endettement l'aurait favorisée. La BCE est régulièrement critiquée par ailleurs pour sa focalisation exclusive sur une cible d'inflation, son ignorance des variables "réelles", et sa fidélité à son mandat... Bien avant la période actuelle, l'action des Banques centrales avait été mise en cause dans la montée de l'inflation des années 1970, la crise de 1929, ou les cycles du XIX° siècle... Institutions "centrales",

police, armée, services publics, et maintien de la concurrence afin que le marché puisse s’autoréguler. La neutralité de la monnaie (Mill): -L’augmentation de la masse monétaire n’entraîne aucun effet sur les variables réelles (production) : dichotomie (séparation) entre sphère réelle et sphère financière. -La monnaie ne sert que d’intermédiaire dans les échanges, c’est un « voile ». Les Néoclassiques : -Walras et la théorie de l’équilibre général ; Menger et

Pour les classiques, il existe donc une indépendance de la monnaie avec l’économie (dichotomie). Soit la quantité de monnaie en circulation n’affecte pas le niveau d’équilibre macroéconomique. Ainsi la monnaie est neutre, est un voile. Total indépendance entre la sphère réelle (marché des biens et services) et la sphère monétaire (là où se définit le niveau général des prix). Conclusion : De la dichotomie monétaire on peut donc en déduire la neutralité de la monnaie et affirmer ainsi qu’une variation

technico-économique : l'organisation de la production se transforme considérablement avec l'apparition d'une industrie lourde dans laquelle le machinisme a une place prédominante. * Sur le plan financier : cette époque est caractérisée par des désordres monétaires qui sont liés directement à l'émission de monnaie papier, avec la remise en cause progressive avec la convertibilité de la monnaie. b. Le cadre intellectuel du développement de la pensée classique. * Le naturalisme énonce que l'ordre