Dictatures Latino Américaines

Stiglitz dans son ouvrage nous incite à prendre un certain recul sur les dires de l’auteur. En effet, l’économiste en chef du FMI accuse notamment Joseph Stiglitz d’avoir inventé une conversation entre Lawrence Summers (ancien secrétaire au trésor américain) et Jean-Michel Severino (ancien vice-président de la Banque Mondiale pour l’Asie) en page 112. Ces deux personnes ne se seraient jamais rencontrées selon les dires de Kenneth Rogoff. L’exactitude des propos de Stiglitz en prennent donc un sérieux

soulignent, à juste titre, Przeworsk et ses collègues, « il n’y a jamais eu de démonstration que les démocraties étaient inférieures dans la génération de la croissance ; certainement pas au point de justifier le soutien ni même la promotion des dictatures ». C’est donc uniquement dans la liberté que l’homme peut créer et prospérer. La création de richesse, condition d’un véritable développement, n’est guère possible dans un système oppressif. L’homme, pour s’épanouir, a donc besoin de ce qui constitue

élimine le gouvernement chilien légal, lance des milliers d'arrestations, utilisant les stades comme lieu de rétention, torturant et tuant des centaines de personnes. En 2013, alors que l'on commémore les 40 années du coup d'Etat et les débuts de la dictature de Pinochet, de nombreuses publications reviennent sur le coup d'Etat, mais aussi les 3 années de présidence d'Allende, et également le travail de mémoire réalisé au Chili. Tout ce travail n'est sans doute pas étranger au choix des faiseurs de

(quoique marginaux), et ces quartiers s’imposent alors comme faisant partie de l’ensemble urbain dans les années qui suivent. Puis, arrivée de la dictature militaire au Chili. «Temps maudits» : chômage, persécution politique, alcoolisme, délinquance, insalubrité dans ces quartiers marginaux. De plus, opposition de la majorité de leurs habitants à la dictature. Raisons «valables» pour l’autorité du maire (nommé par le gouvernement dictatorial) pour les éradiquer. Fin des années 1970 : résistance strictement

ordre international ou de désordre international. N’est-on pas passé dans un monde unipolaire dominé par l’hyperpuissance américaine ? I. LES RELATIONS EST-OUEST : « LA GUERRE FRAICHE » 1975-1985 Ü Un contexte troublé à partir des années 1973-1975 ð Dérèglement du système économique mondial du fait de la crise du $ et de la fin de la convertibilité en or de la devise américaine en 1973, du fait du choc pétrolier de la fin de l’année 73 : les « Trente Glorieuses » s’achèvent et les années 74-75 sont

déséquilibre et une instabilité politique qui est marquée par l’intrusion de l’armée dans la vie politique et des expériences dictatoriales (1922, 1924), cela étant suivis d’une dictature populiste et corporative issue du modèle portugais, l’Estado Novo, dû à l’élection de Vargas en 1934 comme président de la République. En 1945 la dictature fût renversée par un coup d’Etat. Cinq années plus tard, en 1950 Vargas est pourtant réelu en tant que président de la République (mais il se suicide 4 ans plus tard).

effet un homme afro-américain à 8 fois plus de chance de chance d’être emprisonné que d’aller a l’université et a une espérance de vie de 40 ans contre 76 pour un homme blanc. La population américaine est en même temps très raciste et les juges tout au temps donc si vous êtes pauvre et en plus noir vous n’avez presque aucune chance de vous en sortir. Comme le montre les chiffres sur les environs 50 exécutions depuis le début de l’année 13 ont été des Hommes noirs et 7 des latinos. » Kianoush RAMEZANI :

reçoit un grand nombre d’immigrés de différents pays et pour différentes raisons. Au début du XXème siècle, le flux d’immigrants était principalement provenant d’Europe et des pays Arabes qui cherchaient des richesses, de plus, à cause des dictatures latino-américaines le pays reçoit un flux d’Argentins, Chiliens, etc. Dans l’actualité, le flux le plus important est celui des Cubans fuyant leur pays et des Colombiens, fuyant la Guerrilla FARC. L'Équateur accueille le plus grand nombre de réfugiés

aux Etats fédérés. 2) la politique du New Deal initiée par le président Roosevelt, qui conduit à un renforcement de l’autorité du Président sur les autres organes (Congrès, Cour suprême), mais aussi sur les Etats fédérés. B- Le régime politique américain : un régime présidentiel Définition : le régime présidentiel repose sur une séparation stricte/ rigide des pouvoirs. Trois caractéristiques : élection du chef de l’exécutif au suffrage universel (légitimité concurrençant celle du Parlement) ;

ETATS UNIS - BRESIL: ROLE MONDIAL, DYNAMIQUES TERRITORIALESIntroduction :USA : pays puissant du nord.Brésil pays puissant du SudMêmes objectifsMaitrise des territoiresIntégration dans la mondialisation Différents USA, pays qui domine depuis longtempsBrésil une puissance émergente. PB : Comment se manifestent spatialement à deux échelles différentes ces notions de puissances concurrentes ? Deux géants d’AmériqueAspects et limites de la puissance Puissances économiques : deux centres d’impulsionUSAdynamisme