Didascalies Fonctionnels

il intervient alors pour les séparer : « Séparez-vous, imbéciles que vous êtes, rengainez, vous ne savez pas ce que vous faites. » Puis, provoqué par Tybalt dès son entrée en scène, il est contraint à croiser le fer avec lui, comme l’indique la didascalie « [Ils] se battent. » à la fin du bref échange verbal qui est en fait une provocation en duel de Tybalt ,suivie d’un passage à l’acte : « TYBALT Quoi, tu croises le fer avec ces vauriens sans courage ? Retourne-toi, Benvolio, regarde la mort en

rôles renvoient à une vérité, sur soi et sur les autres, qui échappe sans cesse. La nuit favorise la confusion des repères et des sentiments autant que des figures. => les apartés et les didascalies mettent le public dans la confidence, appartés: illustrent l'aveuglement des dupés, mettent dans la confidence didascalies: permet au lecteur de se repérer dans sa lecture, ce qui n'est pas forcément le cas lors de la représentation Suzanne "riant tout au de l'autre côté" Comtesse Suzanne => personnage

fonctions dans la pièce, nous allons les classer en deux catégories : Nous remarquons que dans l’extrait A, le monologue se trouve dans la première scène de la pièce –scène que l’on nomme « scène d’exposition »- nous voyons cela par les didascalies fonctionnelles « Acte I, scène 1 ». Le but d’une scène d’exposition -et par ailleurs de ce monologue qui est présent dans la première scène de la pièce- est d’informer les spectateurs sur le cadre spatio-temporel mais aussi sur l’intrigue ou les personnages

l’action de Clov qui rit brièvement. Dans le monologue de Clov il a une allusion a la tragédie. Les grains qui tombent un a un sont le temps qui passe, l’idée du sablier. Les deux personnages ont le même teint rouge, ce qui les rapproche. Une didascalie revient tout au long de la pièce : « un temps ». Hamm prend son temps et parle tranquillement, il donne l’impression de maitriser la situation. Il est aveugle et condamné a l’immobilité. Les premiers mots de Hamm sont « a moi de jouer », cela renvoi

séquence s’insère dans une séquence plus vaste consacrée au théâtre en tant que genre littéraire et art du spectacle. Au préalable, les élèves auront découvert un certain nombre de termes techniques (réplique, monologue, dialogue, aparté, tirade, didascalie, acte, scène, entracte, etc.) et auront eu l’occasion de lire un texte dramatique (Art de Yasmina Reza). Il s’agira ici de se focaliser sur le théâtre en tant que spectacle, sur la représentation, sur le passage du texte à la scène. Cette

énonciation qui se poursuit dans le troisième mouvement (duplicité discursive) avec des effets d’ironie : Toinette essaie d’aider Angélique mais Argan l’éloigne par un prétexte : il suspecte le maître de musique. Axe de lecture proposé : Une scène fonctionnelle qui se transforme en scène ludique (il y a de nombreux ressorts comiques). Cela enrichit la peinture des caractères faite par Molière. Cette scène fait écho à la scène 2 de l’acte I où Toinette tentait là aussi de détourner Argan de sa colère

énonciation qui se poursuit dans le troisième mouvement (duplicité discursive) avec des effets d’ironie : Toinette essaie d’aider Angélique mais Argan l’éloigne par un prétexte : il suspecte le maître de musique. Axe de lecture proposé : Une scène fonctionnelle qui se transforme en scène ludique (il y a de nombreux ressorts comiques). Cela enrichit la peinture des caractères faite par Molière. Cette scène fait écho à la scène 2 de l’acte I où Toinette tentait là aussi de détourner Argan de sa colère

personnages présents sont censés ne pas entendre) ⇨ L’adresse directe au public (un personnage se tourne vers les spectateurs pour leur parler) • Didascalies = part du texte écrit non prononcée par les personnages (destinées au lecteur et au metteur en scène, souvent en italique) 1. Initiales (en début de pièce ou d’acte) 2. Fonctionnelles (indications dans le cours du texte) 3. Expressives (mise en place des jeux de scène) La double énonciation Les personnages dialoguent entre eux

Sganarelle ont une scène de ménage (il boit, ne travaille pas, … lui reproche-t-elle) : dispute du quotidien, personnages préoccupés par des problèmes ordinaires. 3. Observez le vocabulaire, la ponctuation, la longueur des répliques, les didascalies : quelle différences remarquez-vous dans la manière dont se manifeste le désaccord dans chacun des deux textes ? Dans les deux scènes : échange rapide de brèves répliques et par une atteinte au corps de l’autre. Mais : * Dans la tragédie, il

pause brève avec élévation de la voix. ( elle sépare des éléments jouant le même rôle grammatical : en général, la dernière virgule disparaît et laisse place à une conjonction de coordination. ( elle détache et met en valeur certains groupes fonctionnels (compléments circonstanciels, mots en apposition…) ( elle permet une incise ( elle permet de distinguer un nom propre en fonction d’apostrophe (pour ne pas le confondre avec le complément d’objet) ( elle signale une ellipse (un mot sous-entendu)