Didascalies Fonctionnels

experience du théâtre : d un théâtre art pauvre . La description de l appartement d olga. Le «  on sent que » pour neutraliser le decor, le neutraliser. Si sartre se plie aux codes de la didascalie, ds le mm mvt il relativise l important de ce décor. Inattentifs aux objets fonctionnels et usuels. Moins le realisme qui importe à sartre que la maniere dt les personnages utilisent les objets. L’objet au théâtre n existe pas , objet de sartre , ce uqi lui importe c est moins

pour l’avancement du plan qui vise l’assassinat du Grand Duc. Ensuite, nous constatons un grand nombre de didascalies qui guident le lecteur dans l’interprétation de la pièce. Rappelons-nous qu’il existe deux types de didascalies: les didascalies initiales, placées en début d’œuvre, elles présentent les liens de parenté entre les personnages, leur relation, et les didascalies fonctionnelles, celles qui sont situées en dessous de chaque réplique et qui donnent des indications sur le déroulement de

d’invention 11 Imaginez la lettre de la Duchesse à l’un des personnages féminins de votre choix. Inspirez-vous du texte. 12 La Comtesse ne veut pas rester. Elle écrit un court billet à la Duchesse pour s’expliquer et s’en va. Rédigez le billet. Écrit fonctionnel 13 Imaginez le résumé du roman inti- tulé Diane et Phoebus en fonction de ce que vous savez sur ces figures mythologiques. Chercher 14 Que savez-vous de l’époque où se situe l’action (société, mouvement intellectuel, mœurs) ? 15 Relevez dans l’acte

spectateur. Les didascalies (ou indications scéniques) : Ce nom féminin désigne les indications, inscrites entre parenthèses sur le texte, qu'a écrites l'auteur sur la façon de jouer ou de dire une réplique, ou sur les éléments du décor . Leur qualité varie en fonction des œuvres : une tragédie classique du XVII° siècle en comporte très peu ; une pièce de Ionesco en sera richement pourvue. On distingue les didascalies externes, initiales, fonctionnelles et expressives et les didascalies internes, intégrées

Art de l'incarnation, de la matérialisation, et un art de la co-présence. Il se consomme en collectivité, autre spécificité, en un même lieu, et en un même temps # d'autres modes de réception du texte. Définition liminaire a le mérite d'être fonctionnelle, mais est simpliste et simplificatrice. Frontière entre mimésis et diégésis poreuse. Art qui met en action en présence du public, mais cet art théâtral recourt fréquemment au récit. Il intègre donc de la diégèse. Au théâtre ce qu'on ne représente

le lieu de l'action et le lieu de la représentation. Or, ce dernier a une identité qui lui est propre, c'est un espace réel qui comporte des contraintes physiques qui vont troubler l'exaucement de l'illusion. Ce même espace accueille un décor fonctionnel contraire à l'illusion car matériel. Mais, paradoxalement, c'est ce décor qui va prétendre à l'illusion d'un nouvel espace. L'espace réel, espace de représentation, va servir de support à l'espace de la fiction, limitant alors le déploiement de

sièges, des emplacements avec des environnements mauvais (p° 78 « De plus, la proximité des congélateurs, des portes automatiques presque toujours ouvertes et de la climatisation sauront vous renforcer durablement »), du matériel de travail on fonctionnel (p°96 « Vous risquez aussi rencontrer un jour celui qui, […] s’arrêtera définitivement dans un long et dernier râle. »). Anna SAM, dans son livre, utilise divers procédé comique comme la satire, afin de faire prendre conscience au lecteur

Cette œuvre relève du genre comique (registre de la parodie) qui met en œuvre un décalage entre le sérieux et le ridicule. Elle regroupe différents genres tels que celui du théâtre dans « moustique » que l’on reconnaît grâce à la présence de didascalie fonctionnelle et de discours. On remarque également la présence de nombreux sous genres : Le genre policier dans « voleur » avec les voleurs qui pénètrent chez l’enfant par effraction, puis la recherche d’indice et enfin la découverte des coupables.

dramatique est alors de faire taire le public. La dénomination utilisée par les auteurs de mystères au Moyen Âge est à cet égard éloquente, puisque nombre de pièces vocales sont nommées « silete », soit étymologiquement « taisez-vous ». Cette musique fonctionnelle doit aussi couvrir le bruit qui est fait lors des changements de décor et capter l'attention des spectateurs pendant les temps morts, comme les déplacements des personnages d'un lieu scénique à un autre. Il n'en va pas différemment au xviie siècle

d’abord, Beckett ne se pose pas comme simple témoin d’une crise du langage, il démantèle méticuleusement chaque acception de celui-ci, tant dans sa destruction de la langue elle-même que dans l’anéantissement de toute conception dramaturgique ou fonctionnelle du langage. Dans son esthétique du dénuement, Beckett ne se contente pas d’un décor limité et sinistre : « Intérieur sans meubles. Lumière grisâtre », il va jusqu’à dépouiller les répliques de ses personnages réduits à des appellations monosyllabiques