Didascalies

sera ainsi interprétée par le spectateur de manières différentes en regardant deux mises en scènes différentes du fait qu’il verra deux points de vue différents, peut être même, opposés. En outre, ces mises en scène différentes sont issues des didascalies inexistantes. Les auteurs ne donnent peut être pas la description physique des personnages, le décor du lieu où se déroule la pièce ou même l’époque où se situe l’action. Les metteurs en scène ont donc la liberté de choisir tous ces aspects de la

une sorte de complicité de connivence entre les deux protagonistes ( différent antagoniste) , autour de la poésie mais le vraie visage de Caligula se jour brutalement. I.Symbiose complicité et connivence a. tendresse C'est surtout à travers les didascalie qu `apparais la tendresse qui habite les deux personnages: « Caligula prenant le jeune Scipion contre lui » « le jeune Scipïon frémissant contre la poitrine de Caligula » s< Caressant » b.poésie inventivité. On a l'impression d'entendre un chant

Genet, 1947 Les trois mouvements du texte : 1. Didascalies initiales (Début --&gt; tragique exaspéré. ») 2. L’épisode des gants (Et ces gants ! --&gt; les gants de caoutchouc.) 3. Claire à la coiffeuse (Claire s’assied --&gt;fin de l’extrait) Problématique : Comment comprenons-nous que les bonnes jouent la comédie et dévoilent ainsi les relations hiérarchiques entre les personnages de la pièce ? [Lecture de l’extrait avec les didascalies et les noms des personnages : attention à ne

son Art poétique, explique que les dramaturges doivent présenter les personnages, le lieu et l’intrigue de manière claire et directe. Cette caractéristique est présente dans notre extrait de Ruy Blas. Tout d’abord, nous pouvons noter que la longue didascalie initiale permet au lecteur de situer efficacement le lieu et l’époque : « Le salon de Danaé […] à Madrid ». La sonorité hispanique des noms des personnages participe également à cette localisation – « don » est une particule espagnole. De plus,

expressions d’un personnage sur scène et c’est également à travers la parole que des monologues décisifs peuvent être pris, d’où l’utilité de la parole au théâtre. Nous allons toutefois montrer que le jugement d’Antonin Artaud n’est pas péremptoire. Les didascalies, faisant partie intégrante des œuvres écrites, sont aussi essentielles que la parole elle-même. Par ailleurs, le théâtre est une représentation aussi auditive que visuelle, d’où le rôle important de la musique, des costumes et des décors, qui cherchent

Texte et représentation A Les didascalies On en trouve deux sortes : • Les didascalies externes sont les instructions que le dramaturge destine au metteur en scène et aux acteurs, pour indiquer les tours de parole (nom en majuscules), les gestes et le ton (en italiques). Les décors et accessoires peuvent être indiqués au début d’un acte, d’une scène ou au cours même d’une scène. Ces didascalies sont extérieures au texte qui va être dit sur scène. • Les didascalies internes appartiennent au dialogue

limites. Le metteur en scène a une grande liberté. En effet, comme l'écrit Anne Ubersfeld, la caractéristique la plus importante du texte théâtral est «son caractère incomplet», avant d'être représenté, il n'est pas achevé. Même si les pièces sans didascalies restent rares à l’époque de Molière, dans ses pièces pas toutes les indications scéniques ne sont fournies : lieu, posture et origines des personnages par exemple. Ceci laisse donc la voie libre au metteur en scène et l'oblige à prendre parti.

te cracherait au visage et on t’enfermerait dans une pièce secrète pour faire comme si tu n’existais pas »). Les sentiments entre les personnages sont très brutaux : « cela est déjà très sale tout seul. » -violence physique : présente dans les didascalies : « Edouard retient sa mère, Aziz retient Adrien. », « Aziz entraîne Adrien, Edouard entraîne Mathilde. Mais ils s’échappent et reviennent.». c) Le reflet de la société. Cette pièce est ancrée dans une époque précise, celle de la guerre d’Algérie :

apparence : didascalie « en femme voilée » + « je crois connaitre cette voix » = femme déshonorées par D.J - personnage envoyé par le ciel : CL religieux « miséricorde du ciel » « se repend » (reconnaître ses fautes) - s’adresse à D.J à la 3ème personne = aspect solennel => D.J peut encore se repentir B.Le temps avec la faux - didascalie « le spectre change … » : le spectre devient une représentation de la mort => Grande faucheuse = mort = 2ème avertissement - 3ème didascalie : apparition

classique, est très incomplet. Dans certains cas, notamment Molière dans Dom Juan ou encore Les Fourberies de Scapin, l’auteur choisit d’indiquer très peu d’éléments, que ce soit dans la didascalie initiale ou par la suite dans la pièce. Le metteur en scène se voit donc obliger de rajouter ses propres didascalies pour choisir le décor, les gestes des personnages… dans Tartuffe, de Molière toujours, on ne présente que les personnages et la ville : « la scène est à Paris ». Le lieu exact, la date, rien