Didascalies

première scène de l’acte I, les didascalies sont particulièrement longues. Elles situent, pour le lecteur, l’action et les personnages, avant même la première réplique. Le spectateur, lui, est conditionné par le décor imposé. La scène est dominée par la présence de Don Salluste qui s’adresse à deux personnages visiblement inférieurs par leur costume : Gudiel paraît être un confident et Ruy Blas, un valet. 1. Les éléments d’une scène d’exposition Les didascalies initiales auxquelles s’ajoutent

I. Le théâtre dans le théâtre a) le jeu mis en abîme Première réplique + didascalies = redéfinition de l'espace scénique = précision de la relation acteurs/spectateurs "s'éloignent à 10 pas" > deuxième territoire, celui des valets parallélisme = fonctionnement par couple + jeu d'opposition >>> mise en place des valets/acteurs et maîtres spectateurs didascalies suivantes = verbes d'action = jeu caricatural ( jeu dans le jeu ) b) les spectateurs Spectateurs= maîtres > présence du

se retire à dix pas..." à "...nous sommes plus sages." I) Le théâtre dans le théâtre a) Première réplique + didascalies = redéfinition de l'espace scénique = précision de la relation acteurs/spectateurs "s'éloignent à 10 pas" deuxième territoire, celui des valets fonctionnement par couple + jeu d'opposition mise en place des valets/acteurs et maîtres spectateurs didascalies suivantes = verbes d'action = jeu caricatural ( jeu dans le jeu ) b) Spectateurs= maîtres > présence du début "s'éloignent"

théâtre commence en règle générale par une scène d'exposition, hors cette pièce n'est pas composée de scènes mais seulement de 2 actes mais nous pouvons tout de même considérer le début de ce premier acte comme tel. L'acte commence par quelques didascalies qui définissent vaguement le cadre spatio-temporel où se déroule ce premier acte, grâce aux deux premières phrases nominales on sait que ça se passe sur une route de campagne, un soir mais sans plus d'informations précises, on sait cependant que

fatiguée : la vie l’a usée, elle n’en peut plus· « lisez » anadiplose ds les répliques de Martha. · Elle se moque de savoir qui est la victime, seule sa mère est mentionnée.· Infanticide + fratricide semblent antithétiques avec les didascalies « d’une voix calme »· Didascalie vient contredir calme de la tonalité de la fille ≠ la mère reste muette : prend conscience de l’horreur· « Allons » impératif présent : ce qu’elle va dire les implique tt les 2 – acceptat° de la fatalité· « il faudrait en finir »

un plaisir pour la vue. C'est pour cela que les dramaturges ont pensé à écrire des didascalies tout au long de leurs textes. Décrivant les costumes,les décors et la gestuelle que les comédiens doivent utiliser lorsqu'il s'agit de didascalies internes et indiquant les scènes, les actes ou des lieux lorsqu'il s'agit de didascalies externes, comme dans On ne badine pas avec l'amour de Musset. Moins il y a de didascalies plus les metteurs en scène sont libres d’exploiter leur imagination .Aller voir une

personnage est face à un miroir comme nous l'indique la didascalie « va vers le miroir » et confesse sa peur. Les nombreuses questions oratoires,ainsi que les phrases exclamatives témoignent de la montée rapide de sa peur de mourir. Les didascalies permettent également au lecteur de mieux saisir la peur du personnage quand il se retrouve face à son reflet,face à son destin. Au fur et à mesure de son monologue,le personnage devient fou ainsi les didascalies nous indique son état misérable au fur et à mesure

destin, le spectateur se voit délivré de ces mêmes passions. • Les didascalies sont des indications de mise en scène principalement destinées au metteur en scène et aux acteurs. • On distingue deux types de didascalies. Les didascalies externes indiquent les éléments de décor, les tours de parole (noms en majuscule), parfois aussi les déplacements ou les gestes des acteurs. Placées à l’intérieur des répliques des personnages, les didascalies internesrenseignent plus particulièrement sur les gestes et le

Le début du stratagème d’Araminte : (début –fin réplique Araminte, d’un air délibéréDès la première république, on rentre dans la stratégie d’Araminte « je suis déterminée » (elle ne l’est pas, c’est un stratagème). Les didascalies = la surprise de Dorante. Il y a une insistance dans la façon dont Araminte s’exprimer avec un certain rythme. Elle essaye de provoquer chez Dorante une certaine forme de jalousie (si elle se marie avec le comte alors Dorante devra les voir tous

du discours de Pozzo. I. Parodie du jeu d’acteur. Le personnage de Pozzo mimant l’acteur et les réactions de Vladimir et d’Estragon singeant le public nous situent d’emblée dans la caricature. Pozzo veut capter l’attention du public (cf. didascalies : gestes, voix...) et vérifie coquettement la réussite de sa... performance. 1) Les éléments caractéristiques du jeu de l’acteur et de sa relation avec le public. - Pozzo, acteur souverain*, veut capter le public. *il monopolise l’attention