Différence Entre Pascal Et Descartes

comme des sujets et non des objets ! Car les objets sont considérés sans vie, sans intériorité. Objectivité * C’est l’attitude consistant à s’en tenir à ce qui est propre à l’objet. Est objectif, celui qui met sa subjectivité entre parenthèses, en recul et qui se met au service de l’objet pour le décrire, le comprendre tel qu’il est. « Objectif » est alors synonyme de neutre, impartial. - Ce qui est objectif peut être constaté par tout le monde, il n’entre pas d’appréciation

aperception ; conscience de soi) Cf. Magnard 48. Questions : - Est-ce que tous les vivants sont doués d’une cs réfléchie ? [N’est-ce pas là au contraire le propre de l’homme ?] - Y a-t-il un lien entre la cs morale et la cs psy ? [Entre cs morale et perception, on ne voit pas. Mais entre cs morale et cs de soi, oui : le choix moral, cad je jugement moral sur soi, nécessite un retour sur soi qui, sans cela, n’aurait pas forcément lieu. Cf. Muglioni, 43 : c’est la conscience morale (Gewissen)

permet à un individu de savoir qu'il est un Homme. Un être qui a l'anatomie d'un humain mais qui ne pense pas n'est pas un Homme. Blaise Pascal, philosophe du XVIIème, affirmait « je puis bien concevoir un homme sans mains, pieds, tête [...]. Mais je ne puis concevoir l'homme sans pensée : ce serait une pierre ou une brute. ». Ainsi, la pensée marque la fracture entre l'Homme et le monde animal. Je ne suis pas un animal parce que je pense. L'être humain est le seul être vivant à avoir conscience d'être

Herménautique : art d’interpréter, chercher un ou des sens, Freud. Euristique : trouver la vérité. Un signe : quelque chose qui renvoie à autre chose que lui-même, et qui peut être équivoque. La vérité : résulte de la conformité ou de l’adéquation entre un jugement ou une pensée affirmant quelque chose a propos de quelque chose et l’état de chose auquel il renvoie. Réel : on dit d’un objet, d’une chose qu’il est réel car il a une présence matérielle, objective et constatable. Universel : ce

sur le divin (ex : hostie). 2. Sacré : représentation terrestre du divin, qui prétend la manifester : ce qui est tourné vers le divin, tire sa signification et sa valeur de son rapport au divin/ Profane : ce qui relève de la nature. Distinction entre ce qui est divin et ce qui ne l'est pas. Porfane se tient à distance du divin Roger CAILLOIS, L'homme et le sacré (Texte 2). 1. Pourquoi le progrès de la vie profane s'oposent-ils à la manifestation collective du sacré ? → Progrès de la vie profane

1 Corrigé: Étude d'un texte philosophique de Kant Introduction La question de l'origine des passions est l'enjeu d'un débat philosophique important, puisqu'elle soulève le problème de la nature humaine. Descartes, dans son traité des Passions de l'âme, considère ainsi que les passions sont inhérentes à l'homme, dans la mesure où elles sont liées à sa constitution corporelle. Kant, au contraire, affirme que les passions ne sont pas inscrites dans la nature de l'homme, mais produites par son existence

A. L’augustinisme 1.SaintAugustin Après avoir eu l’influence que l’on sait sur la Réforme et bien après que le Concile de Trente a tenté de mettre fin aux querelles sur la liberté et la grâce – en 1650, année de la mort de Descartes, Saint Augustin est un auteur vivant. Si son crédit avait été jusque là d’ordre théologique, c’est alors qu’il se sécularise. L’Augustinus de Jansénius (1640) et les Méditations métaphysiques (1641) déplacent les passions philosophiques. Adoptant les progrès

formatage très précis : il faut un effet toutes les 40 secondes : des émotions (angoisse, peur, tristesse, amour etc. ) du suspense, et de l’humour ou du rire. Il faut rire, c’est obligatoire : être positif. Comme s’il n’y avait pas d’alternative entre l’optimisme, i.e la forme heureuse de l’imbécillité, et le pessimisme i.e l’imbécillité malheureuse. Il est vrai qu’un simple constat, froid, sans passion, éclairé des données n’est pas de nature à déclencher un enthousiasme délirant. Il en va de

Exemple : Pascal note dans ses Pensées : « Le nez de Cléopâtre, s’il eût été plus court, la face du monde en eût été changée. » La logique grammaticale voudrait que le nez de C. restât le sujet du verbe changer ; ce nez aurait ainsi changé, ou non, le cours du monde. Or, en brutalisant la syntaxe de la phrase, Pascal établit avec force un parallèle entre deux longueurs, celles du nez et du monde, quelques centimêtres en regard de millions de kilomêtres. Le mathématicien de génie que fut aussi Pascal métaphorise

à s’évaluer soi-mm. - Acte spécifique de l’humanité = la pensée, recul entre soi et soi-mm, nous dégage de tte immédiateté, impossible prégnance du corps, interdit l’inconscience, distingue hme/nature - Double existence de l’hme : matérielle, phénoménale (facticité, déterminisme physique) Nouménale : pour soi (Hegel)= réflexivité, être doté d’esprit, capacité d’introduire entre lui et tte autre chose la pensée (Pascal) ➢ Analyse du pouvoir de dire JE (Kant) - représentation de l’hme