Différence Entre Platon Et Socrate

que l’énonciateur de la vérité connaît une vérité (ou croît connaitre), et on se situe donc en aval de la constitution de la vérité. Le problème n’est donc pas celui de trouver la vérité, mais bien celui de la dire/de ne pas la dire. (Distinction entre plusieurs mensonges : atténuation, omission, négation, altération…) L’approche épistémologique (épistêmê = science) est scientifique/descriptive : On procède à l’identification/la construction de la vérité par les sciences. On se situe dans le registre

il a su convaincre son peuple d’exterminer plus de cinq millions d’êtres humains. L’usage de la rhétorique dans la société démocratique québécoise est-il positif? D’abord, il est important de définir la rhétorique. Selon un philosophe du nom de Socrate, la rhétorique est l’art de bien parler, de savoir faire croire et non de faire savoir. La question philosophique vaut la peine d’être posée parce que, de nos jours, les politiciens font usage de la rhétorique pour convaincre le peuple d’adopter différents

L’Allégorie de la Caverne, Platon, République, Livre VII Platon nous apprend, dans l’allégorie de la caverne, que nous sommes prisonniers d’une demeure obscure, close et souterraine. La caverne est la métaphore de l’ignorance, de la servitude, d’une vie indigne d’un être spirituel dans la mesure où il oublie les exigences de l’âme (recherche du VRAI, du BIEN) au profit des besoins et des intérêts sensibles (PLAISIR immédiat, confort physique et intellectuel). La question est donc de comprendre

donnée par le roi URUKANIGA (il dit qu’il a été inspiré par les dieux). 2ème doc qui retrace de cette époque à inspiration divine : le code d’UR-NAMMU (2100 av JC), qui est un ensemble de textes administratif. Le roi ici fait figure d’intermédiaire entre les dieux et les hommes  le droit révélé. 3ème doc qui retrace de cette inspi divine : le code d’HAMMURABI (1790-1750 av JC), inspiré du dieu du soleil SAMAS. On trouve dans la législation différentes dispositions : le traité de procédures le droit

son propre enfant qui commet le pire des crimes, n'est-ce pas un malheur au moins aussi grand et pour les parents et pour l'enfant ? Par son indignité, le criminel a sali et obscurci à jamais son existence et celle de son entourage. Comme le dit Socrate, mieux vaut encore subir l'injustice que la commettre. Car celui qui commet l'injustice, même s'il croit y trouver dans l'instant son avantage, se ferme les chemins du bonheur : tout être injuste est nécessairement malheureux (Gorgias 470e). Cependant

l’époque, de la société dans laquelle on se trouve, ou encore, la matière que l’on étudie. Lorsque nous sommes publiciste, le droit régie les relations entre l’état et les citoyens ou encore, les relations entre les différentes administrations. Lorsque nous sommes privatiste, le droit correspond à l’ensemble des règles qui gouverne les relations entre les personnes. Notre conception du droit diffère en fonction de notre profession, les professeurs de droit, sont enseignants, et à la fois, chercheur

conduite la plus juste, consiste à se conformer aux lois positives parce qu’elles ont pour fonction la réglementation des relations entre les individus et pour fin, le maintien de l’ordre et de la paix sociale. Etre juste selon cette perspective, c’est être dans le légal tout comme l’a été Socrate, en acceptant sa condamnation à mort. Or, le sort qui a été réservé à Socrate nous montre que ce qui est légal, n’est pas toujours légitime. En ce sens, que les lois de la Cité ne correspondent pas toujours

personne. Domaine : échange des biens et répartition des charges au sein d'une société. Pourquoi le besoin de justice? Si on a ce besoin, c'est parce qu'il y a rareté des biens disponibles, et des inégalités physiques, psychologiques, etc., entre les hommes. Nous en avons donc besoin comme critère pour répartir les biens rares et établir une symétrie. - Tout d'abord, il faut souligner que la justice porte en elle l'exigence d'égalité. Or la loi est la même pour tous. A cet égard, donc, la

1. LE STATUT DU PLAISIR DANS LA PENSÉE ANTIQUE ET MÉDIÉVALE : PLATON, AUGUSTIN D’HIPPONE ET THOMAS D’AQUIN Marion Duvauchel Professeur certifiée en lettres, docteure en philosophie Introduction Un préjugé largement répandu veut que la disqualification du plaisir soit un héritage de la pensée chrétienne. Cette disqualification est souvent largement attribuée à saint Augustin et il est vrai qu’il a légué à la pensée philosophique chrétienne une notion difficile : « la chair », chair vouée aux

d’immortalité selon le Banquet de Platon L’homme peut-il participer à l’immortalité par la fécondation ? L’immortalité est un sujet dont les gens traitent depuis la nuit des temps. Étant un sujet assez large, les théories et formes sont tous très différentes. L’une d’entre elles est celle de Diotime dans le Banquet, l’idée étant que l’homme s’immortalise par la fécondation. Il y a la fécondation physique et la fécondation de l’esprit. C’est sur ces deux différences que les opinions peuvent diverger