Différence Rousseau Et Marx

diminue et plus la liberté augmente. Comme pour la notion de justice on ne connaît pas de définition universelle de la liberté, les libéralistes la définissent comme étant « l’absence de contrainte extérieure». D’autres penseurs comme Platon et Rousseau estiment que l’homme doit se libérer de lui-même, le pouvoir peut alors revêtir la forme d’une force libératrice. Le pouvoir protège l’homme contre lui-même. Certains penseurs loin de chercher une relation entre le pouvoir et la liberté nient le

mécanismes qu’il peut monter, et par conséquent le nombre des déclics entre lesquels il donne le choix, est indéfini. Or, du limité à l’illimité il y a toute la distance du fermé à l’ouvert. Ce n’est pas une différence de degré, mais de nature. Radicale aussi, par conséquent, est la différence entre la conscience de l’animal, même le plus intelligent, et la conscience humaine. » Henri BERGSON, L’évolution créatrice. Sujet 2 Dégagez l'intérêt philosophique de ce texte à partir de son étude

CONSEQUENCES 1) la naissance du mouvement ouvrier Espoir ouvrier : fin de l'exploitation de l'homme par l'homme. -un socialisme influencé par le marxisme : la pensée socialiste est soumise vers la fin du 19ème à l'idéologie dominante, le marxisme. Avec Marx, c'est la lutte des classes, la dictature du prolétariat sur la bourgeoisie. Les socialistes marxistes dominent en Angleterre et en Allemagne. -un socialisme dominé par l'anarchisme : avec Proudhon et Bakounine, refus de tout état, perspective d'une

connaissances illusoires. On cherche la liberté de penser. Cf = schéma. L’inconscient Freud est le père de la psychanalyse, étude de l’inconscient. Psychose : ne fait pas la différence entre réalité et les symptômes Névrose : conscient de sa souffrance ou échec du refoulement Problème d’équilibre psychique qui ne résout pas les conflits car les causes sont dans l’inconscient. On ne voit plus les maladies mentales comme incurables

l’échange 4 A. Le don (Mauss) 5 B. Les types d’échanges 5 C. Le concept d’échange 7 III. Echange, valeur et justice 9 A. Les théories de la valeur 9 B. A qui profite l’échange ? 10 C. Echange et aliénation : le fétichisme de la marchandise (Marx) 11 Conclusion 12 Annexe 12 Quelques idées supplémentaires 12 Sujets de dissertation 14 Introduction Nous avons conclu le cours sur autrui par l’ambivalence du rapport à autrui. D’un côté, autrui m’est nécessaire ou en tout cas extrêmement

l’ordre social. Par élimination des solutions naturalistes, il reste désormais à envisager l’hypothèse « contractualiste » d’une convention entre les hommes : d’un artifice par opposition à la nature (car le contrat social est bien un artifice). Or ROUSSEAU n’est pas le premier à avoir pensé à l’idée d’un pacte social (ou contrat), qui serait la source et le fondement du politique. Le philosophe politique du XVIIè (en particulier Hobbes) pense déjà que l’homme n’est pas naturellement politique ( contrairement

: j’échange ma force, ma liberté naturelle contre la sécurité. C’est dans mon intérêt (cela me permet de survivre) et dans l’intérêt de l’État (cela lui permet de survivre c'est-à-dire de ne pas se dissoudre dans des guerres incessantes). Rousseau – Emile, III « Nulle société ne peut exister sans échange, nul échange sans mesure commune et nulle mesure commune sans égalité. Ainsi, toute société a pour première loi quelque égalité conventionnelle, soit dans les hommes, soit dans les choses

constitution démocratique. Et c'est pourquoi l'assemblée déclare en 1789 que « tous les hommes naissent libres et égaux en droit ». Mais qu'en est-il dans les faits ? Il est clair que dès qu'on observe les faits, l'égalité n'est plus de mise. La différence des compétences semble même aller contre l'idéal d'isonomie. N'est-il pas alors souhaitable de confier les affaires de la cité aux meilleurs ? C'est ce que pense Platon qui, contre les sophistes, condamne la démocratie dans la mesure où elle n'est

sa propre utilisation, sa satisfaction, afin de retrouver une forme extérieure de sa propre réalité. Il marque la nature de ce qu’il est lui-même. 2. L’homme et l’animal 3. Entre l’homme et l’animal, y’a-t-il une différence de nature ou de degrés ? Descartes : Différence de nature. L’homme est un composé de corps et d’âme. Les animaux n’ont pas d’âme, ils ne pensent pas. Même les hommes les plus stupides pensent : ils parlent donc expriment ce qu’ils pensent. L’animal n’agit que par passion

l’Art et la magie puisque l'art est l'expression des désirs insatisfaits . L’art n'est qu’une sublimation et donc ne sera jamais pleine satisfaction. La Technique: ● Bergson : le progrès technique nous libère ● Hannah Arendt : suivre la cadence et différence entre machine et outil ● Simone de Beauvoir : l'outil est une conquête de soi et du monde ● Descartes : devenir comme maîtres et possesseurs de la nature en améliorant nos conditions d'existence et prolonger notre durée de vie grâce à la technique