Différences Condamnation

réel et celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort ANNONCE DES AXES I/Le récit II) Le personnage III) Une explication de son attitude I/ Le récit 1. Un journal - Présence intense du narrateur par l'utilisation du point de vue interne (la perception des événements se fait uniquement

de celui de l a révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans l’Étranger Camus présente un homme que des des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort. LECTURE ANNONCE DES AXES I- Le récit II- Le personnage III-Une explication de son attitude ETUDE I- Le récit a- Un journal ? -présence intense du narrateur par l'utilisation du point de vue interne (la perception des événements

intime car il fait seulement une inventaire des actes, des envies et d´ennui de héros. Sans avis, sans émotions. Avec une grande passivité. L´oeuvre est plein d´absurde qui sort de la différence entre l´entendement de la vie du héros et de la société. La liberté et la compréhension du monde arrive juste après la condamnation à mort. Les personnages principaux : Meursault- narrateur Un petit employé du bureau vivant du jour au lendemain. Il est indifférent aux circonstances et considéré comme un

l'entraide) et celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort.  LECTURE ANNONCE DES AXES I/ le récit II/ Le personnage III/ Une explication de son attitude  ETUDE I/ Le récit 1. Un journal? - Présence intense du narrateur par l'utilisation du point de vue interne (la perception des

réel et celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort. L'étranger fait parti de ce que Camus appelle «Le cycle de l'absurde». Qu'est-ce qui fait l'originalité de cet incipit? plan: I- L'écriture de l'incipit II-Meursault : un héros désincarné et atypique I- L'écriture se fait à partir de

était surtout admirer par la population pour son courage et autres vertus et servait de modèle; mais le héros romanesque vient bouleverser cette idée, car il possède des conditions et des traits humains, par sa banalité, mais se distingue par une différence précise ou parfois par des actions exceptionnelles, c’est ce qui fait de lui un héros. Contrairement à la notion de héros, un anti héros n’a absolument rien d’héroïque Il peut symboliser un homme ordinaire sans aucune qualité héroïque

l'entraide) et celui de la révolte crée par le spectacle des crimes engendrés par l'humanité. Dans L'Etranger, Camus présente un homme que des circonstances extérieures vont amener à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort.  I/ Le récit 1§ Un journal => Présence du narrateur, en point de vue interne, et le lecteur est projeté dans le présent du héros 2§ la chronologie => Peu respectée (succession d’évènement), les temps (Présent d’énonciation qui s’allie

refus de communication ou d'une dimension « monstrueuse » du personnage, que le refus de ne donner qu'une seule signification à ses actes. C'est au lecteur d'apprécier et de combler les lacunes de la narration, mais aussi de rester ouvert à la différence, et surtout de s'interroger sur cette personnalité déstabilisante.

à lui. Ils ne deviennent pas locuteurs, sauf à la ligne 19, mais dans une situation présentée comme invraisemblable «qu'un seul te dise, s'il l'ose.» II. LA SINGULARITÉ DU MOI ET LA SINGULARITÉ DE L'OEUVRE -Rousseau souhaite marquer sa différence, sa distance avec les autres hommes comme l’affirme les comparaisons «Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus ; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre. Si la nature a bien

êtes soigneux, vous » « vous êtes bien obligeant » - ( le volume verbal est e faveur de Jean, il use de verbes, de répliques + longues, alors que Berenger, le + souvent, reprend les paroles de son juge sévère. On peut noter aussi une légère différence das le niveau de lague, Berenger est un peu plus familier dans le vocabulaire « gueuele de bois » ou de la syntaxe « qu’est ce qu’elles ont mes épaules ? » - Il y adonc un et mépris exaspéré de la part de Jean et de l’humilité admirative