Différences Entre Platon Et Aristote

affirme lui-même affirme que ‘’ celui qui sait ce qui est bien fera aussi du bien ‘’. PLATON : La sophistique comme la rhétorique est une flatterie. En revanche, le dialogue implique ‘’donner ses raisons et accueillir celle d’autrui’’, réfuter ce n’est pas avoir raison contre quelqu’un d’autres, c’est se prévenir soit de l’erreur. Il ne faut pas prendre garde que du propos lui-même pas à une lutte entre deux prétendus adversaires. L’allégorie de la caverne L'allégorie de la caverne met en scène

classique, le lien social ou communautaire entre les hommes est une évidence. On parle de sociabilité naturelle. L’homme est un être non autarcique. On ne conçoit pas que l’individu puisse vivre isolément et de manière indépendante. Les hommes ont besoin les uns des autres. Comme le dit Aristote, l’homme est un animal politique. Cette formule a plusieurs significations. 1) l’homme est un être de discours et c’est au travers de ce discours que se forme les liens entre les individus. 2) Les hommes doivent

on peut avoir une conception plus large de la politique, on peut l’appréhender comme la science du pouvoir, l’approche de Weber par ex, qui considère que toutes les relations de pouvoirs, dominant/dominé sont de nature politique. Relève du pouvoir entre gouvernant/gouverné. Ce qui fait que la politique serait donc l’activité de ceux qui exercent ce pouvoir institutionnalisé, ce pouvoir exercé au nom de l’état, de ceux qui détiennent au nom du pouvoir le monopole de la coercition. La politique étant

que l'on laisse à des représentant la volonté générale des citoyens, de ce fait ils représentent la nation et sont élu par les citoyens. Aristote dans Éthique à Nicomaque insiste sur le fait que la politique est à la recherche du "bien suprême de l'homme". Il faut constater tout de même que le bien de l'individu est le même que celui de l'État, la différence est que le bien est "plus beau et plus divin" quand il peut s'appliquer à un État entier Le bien recherché par la politique est le bien proprement

beau ? Le désintérêt ou l’indifférence à la beauté serait-il contraire à la nature de l’homme ? Platon : « Le beau est difficile », difficile à faire, comprendre, à justifier. L’idée permet d’identifier par la règle et l’ordre. L’art est-il relatif à l’ordre, dépendance entre les éléments ? Soumis à l’organisation des éléments, n’y-t-il de beau que ce qui est ordonné  et qu’est ce qui fait la différence entre l’ordre du beau et l’ordre de ce qui n’est pas beau ? Les paradoxes de l’art ne doivent pas

de droits & essentiellement contrainte aux devoirs, & elle est finalement parvenu à faire reconnaître ses droits & le partage des devoirs entre les sexes. Cette conception de la femme comme un être inférieur s’ancre profondément dans l’histoire ancienne & notamment en Grèce antique où l’on affirme que cette hiérarchie est fondée sur une nature différente entre l’homme & la femme. Mais cette conception de la femme comme un être naturellement inférieur n’est-elle pas une erreur, & n’est ce pas plutôt

L’homme a-t-il besoin de l’art ? A quoi sert la poésie ? Malherbe disait des poètes qu’ils n’étaient pas plus utiles au pays qu’un joueur de quilles et Platon raconte que Socrate, dans le cachot où il attendait la mort, jouait de la flûte. Un disciple s’en étonnait : « Pourquoi, Socrate, joues-tu de la flûte avant de mourir ? » Le vieux sage lui répondit : « je joues de la flûte avant de mourir pour jouer de la flûte avant de mourir.» L’interrogation porte ici sur la place de l’art : répondre

le dit déjà Platon seul un raisonnement bâtard, un raisonnement intermédiaire va pouvoir parler de ce réceptacle, de ce lieu, qui est un non lieu. Garelli va dire « la chôra est a-topique » (= sans lieu) car elle est le lieu à partir duquel tous les lieux prennent sens. La chôra est ce en quoi devient (la place), ce qui devient (le devenir), a la ressemble de quoi elle devient (les idées). Platon va prendre la métaphore familiale, et Garelli souligne et dit que la métaphore de Platon est bien mais

autres sciences. Elle est concernée par le sujet LUI-MEME. IX. La philo naît à partir du moment où le savoir prend conscience de sa propre nature et de ce qu’il est pour la conscience qui le constitue. X. Pour finir on comprend où réside la différence entre science et philo. La science => travail pointu, technique, limité de la recherche. La philo => retour sur soi en amont de la conscience du scientifique, il y a là nécessairement un point de vue plus global. La connaissance devrait se penser

tributaire de la métaphysique (philosophie de la connaissance de l’être absolu avec une vision très globale presque divine). Chez les grecs il va y avoir un apport progressif sur l’âme, ils vont s’intéresser au monde physique. Il faudra attendre Platon pour avoir une progression. Ensuite ce pouvoir du divin va s’amoindrir et laisser plus de liberté à l’homme. La tragédie, prémisse de l’intériorité (5ème siècle avant notre ère) On y trouve des descriptions su ressenti des personnages et de leur