Dignité Du Corps Humain

La Personnalité: la protection des êtres humains( bioéthique) Face aux progrès scientifique, morale et respect de l’individu ne font pas bon ménage et l’arbitrage est délicat ⇒-2 lois du 29/07/94 , lois bioéthiques viennent insérer des dispositions dans les codes civil,(16civ), pénal, et de santé publique. ( loi révisée p/ loi 6/ 08/2004) -créations d’organismes spécialisés pour suivre l’évolution scientifique et donner un avis sur les problèmes qui s’y greffent. (comité consultatif national d’éthique)

préétablie, certaines contradictions ont pu naître entre les différents droits proclamés par les normes et demeurent a priori, inconciliables comme le droit de grève et la continuité du service public, mais également le droit de la mère à disposer de son corps avec le droit à vivre de l’enfant. Afin d’éviter de rendre des « jugements de Salomon », le conseil constitutionnel a eu recours à partir de 1971 à la catégorie des PFRLR, dont l’imperfection permet de pallier les lacunes des normes écrites. Puis

quelque soit sa culture ou la société dans laquelle il vit. Le docteur Hélène Boucand, définit l’intimité comme étant « une histoire d’identité. Elle touche au corps et à la vie psychique et crée un lien entre les deux ». Se réfère à la dignité. Les différentes fonctions de l’intimité : Dans l’ouvrage d’Alan WESTIN « comportements humains », l’intimité comprend 4 grandes fonctions : 1. l’autonomie personnelle Elle permet à l’homme d’exister. Dans cette zone il intègre son image corporelle

d'une personne n'étant pas gravement malade, la simple connaissance du projet suicidaire sans porter secours peut justifier des poursuites pour « abstention délictueuse de porter secours à personne en danger ». Selon un sondage de 2000, 70% du corps médical français se déclarent favorables ou très favorables à l'exception d'euthanasie (acte voulu par le patient ou son représentant, en accord avec l'équipe de soins). Au cours d'une autre enquête, réalisée par l'INSERM, 45% des médecins généralistes

LES ENJEUX DE LA BIOETHIQUE Les pratiques médicales telles que les expérimentations sur l’homme, les greffes d’organes, l’utilisation de parties du corps humain, la procréation médicale assistée, les manipulations génétiques, le clonage thérapeutique, la recherche sur l’embryon posent des problèmes moraux inédits. Ecartelée entre principes et cas particuliers, la bioéthique tente de trancher sur des questions à la fois techniques et morales. I. Les fondements moraux de la bioéthique 1. Les

Commentaire philosophique Le progrès de la technique toujours plus important, toujours plus rapide dans les sociétés contemporaines laisse à croire que la Pensée humaine serait grandissante. Le calcul et la planification se sont en effet développés de façon exponentielle. Pourtant, Heidegger affirme que l’on assiste à un «manque croissant de pensée». L’Homme contemporain serait même «en fuite devant la pensée». Comment l’Homme pourrait-il ne plus penser et pourtant calculer de plus en plus

Code civil un article 16-1-1. Celui dispose, en son alinéa 1er que « le respect dû au corps humain ne cesse pas avec la mort ». Définition du respect. Définition de la mort. Il convenait de se référer aux dictionnaires usuels. Le respect dû au corps humain : l’utilisation du participe passé souligne l’aspect accompli. Il donne une nuance temporelle d’antériorité. En effet, le respect du corps humain est consacré par l’article 16-1 du Code civil. Il concerne uniquement la personne vivante

est « courbé sous son poids » (L3).la répétition de « toujours » (L2.3) rapporte que depuis des semaines écoulées après son jugement, les sentiments négatifs ne l’on jamais quitté. Son esprit et aussi « captif » (L13) que son corps comme le montre le parallélisme « mon corps est au fer dans un cachot, mon esprit et au fer dans une idée » (L13). Le rapprochement entre une prison et une idée montre que l’idée de la condamnation est aussi une prison pour l’esprit, enfin, les deux gradations « une horrible

social Dieu a créé l’homme à sa ressemblance : - L’homme a désobéi en mangeant le fruit défendu. Sa punition : Vivre en mortel, souffrir dans son corps et dans son âme. L’homme est à la fois animal et divin : - Il doit châtier son corps pour accéder à la contemplation - Refus de la sexualité et des plaisirs - Éviter la tentation - Mortifier le corps L’idéal chrétien de l’abnégation : - IL FAUT TOUJOURS GARDER LA FOI - Il accepte la volonté divine, le destin, il se soumet - C’est le prix

famille depuis 1804: mouvement constant vers l'égalité entre toutes les personnes notament dans la famille. On reconnait maintenant la famille hors mariage. La femme gagne en autorité. Le code civil suit l'évolution des technologies: protection du corps humain grâce à l'évolution de la médecine. Pendant trés longtemps le code n'a mentioné que les personnes physiques mais non les personnes morales (syndicats, associations...). Il a falut modifier les règles de protection des personnes à cause des évolutions