Dignité Et Soin

droit au respect de sa dignité. - Le malade a droit au respect de sa vie privée et au secret des informations le concernant. - Le partage d’informations au niveau professionnel doit être limité au nécessaire, un agent administratif n’a pas accès au dossier médical. Le secret médical en cas de diagnostic grave n’empêche pas de donner des informations à la famille. - Le patient peut toutefois s’opposer à la communication de telle information - Toute personne a droit au soin approprié. Lorsque

au sein de la crèche depuis mon arrivée. Je devais donc, après validation de l’ordonnance, administrer de la ventoline® 2 bouffées en nébulisation à l’aide d’un baby haler. C’était son 3ème jour de traitement. L’environnement était propice pour le soin. N.T était à ce moment là, à plat ventre sur le tapis d’éveil entrain de saisir la tétine qui n’était pas le sien. Je pris d’abord le temps d’installer mon matériel avant d’aller voir N.T. Je m’approchais et m’accroupissait près de lui pour être à

prévoit que « la loi assure la primauté de la personne, interdit toute atteinte à la dignité de celle-ci et garantit le respect de l'être humain dès le commencement de sa vie. » - on trouve l'idée que lorsque le législateur va protéger le corps, il va surtout protéger la personne : cette idée que le corps est le substrat de la personne est sans cesse présent. - on trouve également le principe de sauvegarde de la dignité (à valeur constitutionnelle depuis la DC CC du 27 juillet 1974) - enfin on trouve

nous nous apprêtons à accompagner à la selle les personnes n’étant pas capable d’y aller de manière autonome. Mes mains n’étant pas lésées, j’applique une friction de solution hydroalcoolique avant le soin pour éliminer les micro-organismes présents. La personne que je prends en charge pour ce soin, Mme M est atteinte de la maladie d’Alzheimer : elle a des problèmes de compréhension et des troubles temporo-spatiales. Elle porte une protection anatomique. Je l’accompagne jusqu’au toilette en

BD Un pansement d'escarre: Le soin se déroule dans le Val de marne à Créteil, dans une résidence pour personne âgées , nous nous trouvons au deuxième étage, dans la chambre 210 au lit de la résidente. Il s'agit de madame L.L âgée de 67 ans , présente 7 escarres (localisées sur la totalité des zones d'appuies : talons, coudes, sarcome, hanche ,dos )survenues à cause d'un alitement prolongé consécutif à un AVC en janvier 2011. Je suis accompagné d'un élève infirmier en 3eme année qui est présent

sociale n° 75-535 du 30 juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales Elle comporte 87 articles 1) L’esprit de la loi : les 7 droits fondamentaux des usagers Droit à la dignité (elle n’existe plus à partir du moment où on se met à la place de l’autre= on porte atteinte à sa dignité), à l’intégrité (ne pas porter atteinte à son intégrité.. intégrité physique & psychologique), à la vie privée (à construire avec l’individu, à l’intimité et à la sécurité (voir si la personne est

convaincante pour élaborer une théorie ducare. Le terme de « care » s’avère particulièrement difficile à traduire en français car il désigne à la fois ce qui relève de la sollicitude et du soin ; il comprend à la fois l’attention préoccupée à autrui qui suppose une disposition, une attitude ou un sentiment et les pratiques de soin qui font du care une affaire d’activité et de travail. Le défi philosophique de Joan Tronto revient, par-delà ces partages entre disposition et activité, à proposer une définition

dans un contexte bienveillant et respectueux, cette observation m’a amenée à me questionner sur son utilisation dans le cadre d’une relation de soin mais aussi à faire le lien avec le concept de juste distance étudié dans le cadre de ma formation.Le tutoiement d’un résident est-il une pratique adaptée à la relation de soin attendue ?Respecte-t-il la dignité du patient ? La juste distance peut-elle être trouvée dans cette pratique ?ANALYSELa notion de juste distance est un point central de questionnement

globale d’un patient lors d’un soin d’hygiène et de confort, en identifiant et en argumentant la place des différents concepts dans cette situation. Les différents concepts se définissent autour des notions de dépendance, autonomie, respect, pudeur, intimité et dignité. Ce n’est pas forcément une situation qui a posé problème ; vous pouvez avoir envie d’analyser une situation qui s’est bien passée dans le but de la comprendre. Ce n’est pas non plus la description d’un soin, mais le décryptage de la

nos toilettes du matin, nous sommes entrées dans sa chambre qui est une chambre double Nous avons décidé de nous occuper de celui-ci en premier. L’aide-soignante me précise que nous allons lui faire un soin de confort afin de préserver son bien-être. La toilette du patient débuta par le soin du visage, du buste. L’aide-soignante prenait en charge la toilette et je la secondais en séchant le patient. Je vis que le patient avait les yeux ouverts alors que habituellement il dormait toute la journée