Dilemme Amour

entraine un profond désir de vengeance de la part de celle-ci, mélangé avec l’amour qu’elle lui porte. Les autres acteurs principaux sont don Diègue et don Gomès leurs parent respectif. Nous allons tenter de voir si à travers ce conflit opposant Amour et Honneur, l’amour disparait-il face à la puissance de l’honneur ? Dans une première partie, nous aborderons l’amour vu dans ce roman et dans une seconde partie, nous verrons la puissance de l’honneur. Un des sujets principaux de cette pièce

Hélène, la sœur de sa femme. Par conséquent le roi, son épouse ainsi que leur fille devront avoir un important entretien afin de faire part de leur position quant au sacrifice imminent de la princesse. Le père ne sait point quoi faire puisqu’il est en dilemme moral entre son devoir de père et celui de roi. Iphigénie, quant à elle, est prête à se sacrifier pour lui tandis que la mère est clairement en désaccord avec cette dernière ainsi que son mari. Dans cette présente analyse nous constaterons les arguments

histoire d'amour avec Bérénice et choisir la gloire, Titus choisit la gloire car il est un empereur romain mais à cause de son amour pour Bérénice, il n’a pas réalisé ses devoirs. *En quoi dans cet extrait le conflit tragique s'incarne-t-il entre devoir et sentiments ? * Ce commentaire soulignera la situation à laquelle sont confrontés les deux amants : le dilemme entre Amour et État ; puis l’impossible dialogue entre Titus et Bérénice. Enfin, nous conclurons avec le dépit et l’incompréhension.

Vinca et sa détermination amoureuse envers Phil versus le dilemme de ce dernier, ses questionnements à propos du désir sexuel et son incertitude envers le vrai amour : « Tant d’années encore, Vinca, pendant lesquelles je ne serai qu’à peu près homme, à peu près libre, à peu près amoureux ! » (p.20, l.315-316). 2.2.2 Par contre, les deux adolescents font preuve du même conformisme dans leur vision de l’amour. Phil considère que son amour pour Vinca signifie qu’elle lui appartient et Vinca accepte

Bérénice de Jean Racine Marie Guillotin Résumé de la pièce : La pièce se passe à Rome, Titus est empereur de Rome. Il aime la reine Bérénice, son amour est réciproque. Antiochus, un ami de Titus l’aime aussi secrètement depuis 5 ans. Antiochus apprend que Titus et Bérénice vont se marier, il décide alors d’avouer son amour à Bérénice. Seulement Titus est empereur romain et ne peut finalement pas épouser Bérénice car elle n'est pas Romaine. Les lois de Rome l’interdisent. Il décide

Acte V scène 1 I- Un personnage égaré à l’identité fracturée Monologue d’Hermione = dialogue entre soi et soi, délibération : Où suis-je ? Qu’ai-je fait ? Que dois-je faire encore ? / Ah ! Ne puis-je savoir si j’aime ou si je hais » Dilemme: Tuer Pyrrhus ? Lutte contre les élans de tendresse qui la retiennent de vouloir la mort de Pyrrhus : Non, non encore un coup laissons agir Oreste et trouve des arguments : il est perdu pour elle, c’est lui qui cherche la mort : il m’a forcée enfin

monologue de la reine le dilemme déchirant qui la tourmente ? I – Une scène romanesque et lyrique Scène particulièrement élaborée, tant au niveau gestuel que stylistique A – Les stéréotypes On retrouve les topoï d’une situation amoureuse courtoise : la lettre/ les fleurs/ la dentelle (en guise de talisman)/ la blessure. B – Le mystérieux chevalier servant La prosopopée La lettre La reine semble intriguée par ce mystérieux inconnu, prêt à se blesser par amour pour elle => idéalisation

respirez ? » Tout au long du discours de Bérénice, l'intensité de sa douleur est soulignée par les champs lexicaux de l'amour (« serment », « amour », « éternelle aimée ») puisque prouver la puissance de son amour et par conséquent la violence de son chagrin lors de la perte de l'être-aimé. Titus, touché par le discours de Bérénice, affirme la sincérité de son amour : « que vous étiez aimée », et s'exprime de façon élégiaque lorsqu'il déclare « Je n'aurais pas madame, à compter tant de jours », il déclare

l'homme qu'elle aime. Elle reprochera d'ailleurs le meurtre à ce dernier alors que c'était son souhait. Cela entre clairement dans la notion du tout ou rien, car n'ayant pas l'amour réciproque dont elle rêvait, elle fait un choix totalement opposé à cet amour, qui est la mort, pour elle et pour Pyrrhus, et qui détruira mentalement Oreste. Mis à part le fait que le dénouement confirme le pessimisme racinien face aux dangers de la passion, ce même dénouement relève également de l'irréel car aucun « juste

lexical de l’amour « embrasse » « cœur » , ainsi que celui de la tristesse « pleurez »  « larmes » « soupirs », et de la colère «  sévère »  « déplaire »  « haïr » montrent bien la vulnérabilité de Pyrrhus. On voit bien que l’opposition ici est lié à un amour non réciproque vis-à-vis d’Andromaque, qui installe de la colère, & donc un affrontement. De plus, les procédés d’opposition appuient cet affrontement notamment avec la conjonction de coordination « mais » répétée à trois reprises « mais, Madame »