Dilemme De Jean Valjean

réellement lorsque qu’un ancien forçat, étant resté au bagne durant 20ans pour le vol d’un pain, haïssant la société et sa justice, va le rencontrer. Alors que Jean Valjean, notre forçat, s’est fait arrêté par la police pour avoir volé son argenterie et seule richesse à l’évêque, celui-ci, en plus de l’innocenter, lui offre deux chandeliers. Jean Valjean reconsidère ce monde méprisé jusque-là. Pendant ce temps, Fantine, une ravissante jeune fille sans le sou, avait été abandonnée par son premier amour qu’il

7). Il ressent aussi de l'admiration pour l'honnêteté d'un Jean Valjean, dont la lutte constitue le cœur de ce roman d'apprentissage : il s'efforce de se protéger de la police, incarnée par Javert, et de sauver son âme, grâce à l'exemple de Monseigneur Myriel dont la bonté est remarquable (textes 2 et 3). La dimension religieuse du combat entre le bien et le mal est importante. Les personnages sont complexes et sont confrontés à des dilemmes (texte 5) : même Javert est déchiré par le doute (texte 6)

des conséquences graves : Soit se dénoncer Soit ne rien dire et laisser accuser un innocent. LE PREMIER PARAGRAPHE : le mot reculait montre qu’il n’arrive pas à prendre de décision. Puis, on a comme du style direct : les propres pensées de Jean Valjean. Puis, le 3ème paragraphe est basé sur une opposition : sa vie actuelle CONTRE sa vie future s’il se dénonce. 3. Reculait, conseillait, paraissait sont conjugués à l’imparfait, c’est un imparfait descriptif. 4. De la ligne 14 à la ligne 23

Le lecteur a sans doute deviné que M. Madeleine n’est autre que Jean Valjean. Nous avons déjà regardé dans les profondeurs de cette conscience ; le moment est venu d’y regarder encore. Nous ne le faisons pas sans émotion et sans tremblement. Il n’existe rien de plus terrifiant que cette sorte de contemplation. L’œil de l’esprit ne peut trouver nulle part plus d’éblouissements ni plus de ténèbres que dans l’homme ; il ne peut se fixer sur aucune chose qui soit plus redoutable, plus compliquée

inconnus qui l’enveloppent, qui disposent d’elle, qu’elle ne possède point, qui la possèdent. (Marivaux) Exercice 2 Dans ces extraits des Misérables, identifiez les figures employées et les types de phrases, et commentez-les. Le bagnard Jean Valjean, devenu un homme respectable, maire de sa ville, hésite à se livrer pour sauver un certain Champmatthieu qu’on prend pour lui. a) Il faudrait donc dire adieu à cette existence si bonne, si pure, si radieuse, à ce respect de tous, à l’honneur

d'une soif de vengeance, Jondrette, ne peut résister au plaisir sadique de révéler à son prisonnier sa véritable identité : il s'appelle Thénardier , a été aubergiste à Montfermeil et voue de la haine à un certain Jean Valjean qui l'avait humilié… Marius est en proie à un cruel dilemme. Il se trouve enfin en face de Thénardier, celui qui a sauvé la vie à son père, le Colonel Pontmercy, à Waterloo; colonel qui dans ses dernières volontés avait exprimé le désir que son fils lui témoigne sa reconnaissance

1832; Hugo s’est aussi occupé de la moral et de la spiritualité de ses personnages (plus que par la sociologie). BRANO: “terrible dilemme” dai “miserabili” Jean Valjean avait été condamné aux travaux forces pour avoir volé un pain. Evadé, il est devenu maire et bienfaiteur sous faux nom. Il apprend qu’un homme a été condamné à sa place. JVJ se trouve devant le dilemme de choisir entre ne rien dire et continuer sa vie actuelle ou se dénoncer à la justice et être envoyé en prison (au bains). JVJ accuse

ville, réduit à l'état de bête errante, et prêt à devenir un vrai criminel. Mais la campagne lui paraît hostile, et il revient sur ses pas. Une «bonne femme» l’invite à frapper à une porte, qui est celle de l’évêque. Il se présente : «Je m’appelle Jean Valjean. Je suis un galérien», et se raconte. Pour avoir, en 1795, volé du pain pour des neveux qui n'avaient rien à manger depuis plusieurs jours, il avait été, en 1796, condamné à cinq ans de bagne, recevant à Toulon le numéro 24.601. Ses tentatives

LIRE Les Misérables par Josette ACHER Jean GAUDON Claude HABIB Jacques NEEFS Jacques SEEBACHER Jean DELABROY Yves GOHIN Bernard LEUILLIOT Nicole SAVY France VERNIER textes réunis et présentés par Anne UBERSFELD et Guy ROSA Librairie José Corti 1985 3 SOMMAIRE Bernard LEUILLIOT – Philosophie(s) : commencement d’un livre Jacques NEEFS – L’espace démocratique du roman Jean DELABROY – Cœcum – Préalables à la philosophie de l’histoire dans Les Misérables Claude

événements antérieurs qui expliquent la situation présente. L’exposition fixe en outre le genre de la pièce (comédie, tragédie, burlesque,…) Le nœud dramatique : L’intrigue se noue quand se précisent les obstacles qui s’opposent aux désirs des héros (dilemme dans la tragédie, mariage contrarié dans une comédie,…) Les péripéties : Différents événements se produisent qui permettent de modifier le cours de l’action : coups de théâtre, retournements de situation. Le dénouement : La scène finale constitue