Dilemme Tragique

c) Qui posera les questions ? d) Qui répondra aux questions de l’autre partie ? e) Qui s’attachera à réduire les tensions et à montrer de l’intérêt pour les autres participants ? f) Qui prendra des notes ? Exercice : la théorie des jeux – le dilemme du prisonnier La théorie des jeux « La théorie des jeux se définit généralement comme l’outil mathématique permettant d’analyser les interactions stratégiques entre les individus, en particulier lorsque ces derniers ont des intérêts divergents

l’Infante : « Je sens en deux partis mon esprit divisé Si mon courage est haut, mon cœur est embrasé » v. 119-120 « Ma gloire et mon amour ont pour moi tant d’appas Que je meurs s’il s’achève ou ne s’achève pas » v. 123-124 Et, dès lors, le dilemme cornélien s’exprime : le personnage est déchiré entre amour et honneur au nom du devoir, de la gloire : valeurs que l’Infante énonce sous différentes formes : par le vocabulaire guerrier : «j’ai combattu », «  quels assauts brave encor ma vertu » v79-80;

------------------------------------------------- LE DILEMME DU PRISIONNIER Nicolas EBER Editions La Découverte, Paris Collection Repères, 2006 128 pages ------------------------------------------------- INTERET DE L’OUVRAGE L’objet de cet ouvrage, basé sur la théorie des jeux, est de faire le point sur la situation la plus fréquente des interactions sociales : le conflit entre l’intérêt individuel et l’intérêt collectif caractéristique du dilemme du prisonnier. Certains économistes, dressés

tenter de présenter en basant principalement sur notre étude sur le dilemme des prisonniers. Dans un premier temps, nous allons rappeler quelques types de la théorie des jeux et d’information, afin de nous appuyer sur des concepts clairement établis. Ensuite nous étudierons l’équilibre de Nash, le dilemme des prisonniers. Enfin, nous terminerons en présentant les grandes applications des découvertes récentes de l’étude du dilemme des prisonniers. PLAN Introduction I- Historique de la théorie

comportement instinctif… l’altruisme et collaboration animale 5) Rôle de la sélection naturelle sur la coopération : Coûts et bénéfices 6) La sélection de la parentèle 7) La sélection de groupe 8) L’altruisme réciproque et théorie du « dilemme du prisonnier » 9) Au-delà de l’instinct, de l’empathie ? 10) Conclusion 11) Bibliographie 1) Introduction Pratiquant l’équitation, j’ai un jour observé une scène qui m’a beaucoup fait réfléchir et a ainsi contribué à mon choix

Autre champ, le champ politique, il constate que ceux qui pratiquent le programme « donnant-donnant » sont ceux qui durent plus longtemps, c’est-à-dire les personnes qui font des carrières les plus longues sont ceux qui savent coopérer. Le fameux dilemme du prisonnier pose avec une remarquable clarté le problème de la coopération. Quelle que soit la situation, il est donc toujours plus avantageux de dénoncer et de jouer la carte de l'intérêt individuel que de coopérer. Si chacun fait ce raisonnement

quête d’un absolu transcendant l’égoïsme et la lâcheté. Contrairement au héros romantique, marginal et révolté, il s’inscrit dans un groupe social dont il est le parfait représentant. Il est partagé entre l’amour et l’honneur : c’est le fameux « dilemme cornélien ». Malgré la gloire, Corneille vécut pauvrement. Boileau, qui fut pourtant un illustre critique opposant de Corneille, voyant la pauvreté dans laquelle Corneille vivait, fut profondément touché et demanda au Roi, Louis XIV, de réparer cette

alors qu'en réalité il en existe d'autres cette fermeture des possibles, qui nous confronte à une situation dans laquelle nous n’avons pas le choix et donc plus le pouvoir de choisir, ce qui manifeste la perte de notre liberté par exemple, Le faux dilemme est également utilisé en politique qui est souvent sous forme de question, comme « Êtes-vous avec nous ou avec les terroristes ? » ou même sous la forme d’affirmations manichéennes « Si vous n'êtes pas de gauche, vous êtes forcément de droite »,

a)Le sophisme est un appel à la majorité, lorsqu'on essaie de convaincre quelqu'un en lui rappelant que «Tout le monde pense comme ça !» ce n’est pas parce que tout le monde a acheté l’album que c’est le meilleur. b) Le sophisme utilisé est le faux dilemme, dans l’exemple, la personne donne deux choix, soi être pour la guerre ou soit être du côté de l’ennemie. Cela est un sophisme puisque normalement il devrait exister des choix nuancé entre ces deux choix. c) Le sophisme est celui de la tradition

se fait de mieux en matière de gain ? Est ce que cet équilibre (non coopératif) est plus profitable qu’un équilibre qui serait coopératif ? A priori, non. En réalité, il y a un enchainement d’éléments rationnels qui fait qu’on y arrive pas. DILEMME DU PRISONNIER : Prisonnier A | Prisonnier B | | Avoue | Avoue pas | | Avoue | -5 -5 | -1 -10 | | Avoue pas | -10 -1 | -2 -2 | Si aucun n’avoue : équilibre