Dîme

représentation art gothique. Abbaye => richissime : exemption d’impôts Seigneuries dépendent de l’abbé de st Denis => enrichissement de l’abbaye Bassin parisien = territoire fertile. Paysans doivent payer la dîme (1/10 récolte) Serf(quand paysans ne peut plus payer la dîme) ne peuvent plus quitter la terre du seigneur. c) L’encadrement des fidèle Paysans encadrés par le seigneur. Au <3 du village = église *si religieux=seigneur => paysans soumis à l’Eglise Photo livre

par sa naissance ou par sa dignité, et qu’elle possède de plus grands biens, d’autant plus a-telle besoin de la protection de l’Etat, et a-t-elle intérêt à ce qu’il subsiste en honneur et en autorité ; ce qui ne peut se faire sans grandes dépenses » (Dîme royale, in Economistes et Financiers du XVIIIe siècle, op. cit., p. 71). L’argumentation, cependant, ne s’accompagne pas d’une indignation à l’égard de l’inéquité de la répartition des services rendus. 9 à l’argumentation mercantiliste classique

d’œufs qui ne pouvaient être mangés, d’où le prélèvement d’une poule par personne de plus de 8ans à cette époque. « Il appartient audit seigneur le soin de faire lever la dime[…]à raison de 14 gerbes l’une, attendu que le prieur de Tart en lève une, de quinze dont chaque cuchot est composé » l.10-12 Ici le seigneur lève une dime de un quatorzième de la récolte de gerbes de céréales du fait que l’abbaye de Tart en a levé une de quinze gerbes par tas de gerbes(« Attendu » l.11 est une conjonction d’ancien

l’occident médiéval A) Le fonctionnement du clergé • L’église dans la société : - Les clercs sont le hommes voués au service de l’Eglise. - L’Eglise est très riche dans la société médiévale, elle perçoit une taxe spécifique, la dîme. • Au contact des fidèles, le clergé séculier : - Le clergé séculier administre les sacrements et est un monde très hiérarchisé. - Le pape peut convoquer des conciles. La chrétienté est divisée en diocèses dirigés par les évêques

Toujours d’après Cicéron, la Sicile fournit à Rome de très importantes livraisons de produits agricoles, que Cicéron décline en 4 catégories : « la première dîme, conforme à la loi et à la coutume », « la seconde dîme, réqui- sitionnée en vertu d’institutions nouvelles qui tiennent compte des nécessités de la subsistance publique » - La dime des Siciliens constitua la principale ressource de Rome en blé, jusqu’à Auguste. puis « les achats de froment chaque année au nom de la république », « les réquisitions

le néocore (« qu’il oblige le néocore ») : néocore assiste le prêtre, c’est un desservant de rang inférieur. Il « s’[occupe] du sanctuaire et des visiteurs conformément au règlement ». Il surveille que, les visiteurs qui viennent consulter, paye la dîme : 9 oboles : à l’entrée du sanctuaire, il est, de plus, en quelques sortes gardien du sanctuaire et du trésor ET aussi, on peut le déduire, que chacun avant de rentrer dans le lieu sacré soit lavé de toutes souillures (miasmes et lumas). Ainsi, il

les évêques, les moines…Ils lèvent un impôt la dime et s’occupent de l’enseignement. Le second ordre est la noblesse. Elle est composée de ceux, qui, à l’origine combattent. C'est-à-dire les soldats (noblesse d’épée, mais aussi des avocats (noblesse de robe). Ces deux ordres sont privilégiés : Ils ne paient presque pas d’impôts. Le tiers état regroupe les non privilégiés. Ils doivent supporter l’essentiel des impôts seigneuriaux comme la dime, la taille et les corvées (droits seigneuriaux)

Tiers-état ». Ils représentent environ 2/3 de la population totale de la France. Le tiers restant, les nobles et le clergé, profitent de leur supériorité vis a vis de la loi pour faire payer aux paysans et bourgeois des impôts de toutes sortes ( la dîme, les droits féodaux, la taille .. etc ) Les paysans qui sont déjà très pauvres n'arrivent plus à payer les impôts supplémentaires. A la veille de la révolution les contestations s'enchaînent et font très peur au Roi et à la noblesse. B. La bourgeoisie

L’auto-da-fé », Candide de Voltaire). Enfin, ils dénoncent les privilèges dont bénéficie le haut clergé (pas d’impôt, perception de la « dîme »). Ils dénoncent également les inégalités sociales très fortes au XVIIIe siècle. Effectivement, la société d’ancien régime (voir question 2) du 3.) était extrêmement inégalitaire : le tiers-états était accablé d’impôts (dîme, droits seigneuriaux, la taille royale, les loyers) sans pouvoir participer à la politique du pays. Beaucoup de ces personnes avaient une

est dispensé d'impôts. Ses revenus, qui s'accroissent sans cesse, sont supérieurs à ceux de la noblesse. Son administration minutieuse lui assure un solide crédit financier. Il jouit sur ses terres de droits féodaux, entre autres celui de prélever la dîme sur les produits agricoles. Le roi nomme les évêques et les abbés. 2/ Une crise