Diminutif

en 1982 à Nantes, il est alors âgé de 25 ans. Aujourd’hui il peint sur les murs de grandes villes comme : New York , Los Angeles, Londres, Lisbonne, Barcelone, Rome… Pourquoi a-t-il pris le pseudonyme « Jef Aérosol » ? Jef tout simplement comme diminutif de Jean-François, et aérosol car dans ses pochoirs il utilise beaucoup de bombes aérosol. Aujourd’hui et depuis le milieu des années 1980 il signe de deux façons sur ses œuvres : sa première signature est son pseudonyme : Jef Aérosol. Et la deuxième

travaillent pour les princes ou l'Eglise.Le personnage de Lorenzaccio: Le premier paradoxe c'est son nom. De Lorenzo il est devenu Lorenzaccio ( suffixe péjoratif) qui lui donne quelque chose de négatif, de trouble,d'ambigu.Il a dans la pièce d'autres diminutifs qui font varier son identité selon le point devue d'où il est regardé.Le héros du drame apparaît comme un être bien différent du hérosclassique, coulé d'un seul bloc dans une vertu infaillible ( ex: le Cid)L'ambiguïté est d'ailleurs la stratégie

travailler. - La négation « pas un seul petit morceau » montre son dénuement. Demander à manger n’est pas ici une gourmandise mais un acte de nécessité, pour « subsister ». Elle demande parce qu’elle n’a plus rien comme le montrent également le diminutif de vers « vermisseau » accentué par l’adjectif « petit ». - Le singulier « quelque grain » met en évidence la modestie de la requête, elle n’exige pas un sac de blé mais peu de chose. - Le futur « je vous paierai » est employé ici avec deux valeurs

campagne, dans leurs rondes, se prennent volontiers pour des reines et des princesses. Tel était du moins l’usage dans la vieille France. Robin et Marion, comme dans le jeu célèbre d’Adam le Bossu, forment le couple-type des pastourelles avec leurs diminutifs variés : Robinet, Robichon, Marot, Marotte, Mariette; mais il y en a beaucoup d’autres; côté pastoures, c’est Alinette, Amelinette, Jacquette, Mabeline, Perrenelle ou Péronnelle; côté bergerots, c’est Gui, Guiot, Guiénet, Gautier, Gauterot, Perrin

de l’autre main désigne Mars ; présence du lapin, symbole de l’appétit sexuel et donc attribut de Vénus. Vénus attend le réveil de Mars. Il lit dans cette figure du lapin un jeu de mot grivois ; en latin, le lapin se dit cuniculus, le suffixe la diminutif, le petit cunus, renvoi au sexe féminin, cunnus. Figure déplacée du sexe de Vénus, tellement grand qu’il ne peut être rassasié. Une des clés de l’interprétation de l’œuvre Ex ; Lorenzo Lotto Bout du cordon ombilical de Jésus qui est un détail

retrouve d’autre oeuvre du meme theme hyperealiste comme “super market lady” 1969 de Duane HANSON et “touriste en 1988 du meme artiste . La nouvelle présente une mère de famille (Mme Klara) à la fin du xixe siècle, dont le fils surnommé Dolfi (diminutif du prénom Adolf), est un petit garçon exclu par les autres, au teint « blafard, presque vert », et dont elle a honte. Alors qu'elle l'emmène au jardin public et parle à une de ses amies, le garçon revient en sang après s'être fait martyriser injustement

répétés (du « tu » au « vous » appuyé d’un respectueux et amusé « mademoiselle »). Il les apostrophe en utilisant des appellations chargées d’affection : adjectifs possessifs (« mes enfants », « ma Cosette »), métonymies (« chères têtes aimées »), un diminutif tendre pour désigner Cosette enfant (« pauvre petite main »), la métaphore religieuse « mon doux ange ». Le lyrisme s’exprime à travers les exclamations et les interjections (« Ô ma Cosette », « Ah ! »), les adverbes intensifs (« tu avais bien peur »

son putain de contrôle ! 草内杂种老师发现我考试作弊了 Graille : Manger. 吃 Je vais graille j'ai trop la dalle ! 我去吃东西了，真他妈饿 J Jarter : Se faire jeter. 被赶出去 On s'est fait jarter dla classe ! 我们几个从教室被赶出来了 K Kaillera : Racaille. 痞子，流氓 Diminutif : 'kaille. On est des kaillera, on rigole aps avec oit ! 我们都是臭流氓，你丫小心点！ Kedal : Rien. J'ai chourave des garros mais t'auras kedal ! 我切了好几根儿烟，但没你丫的份儿！ Keuf : Policier. 条子 C'est trop un mito c'keuf, il a balancé qu'on avait chourave

face à l'adversité, l'alliance de deux femmes 1- Délicatesse mutuelle et recherche d'une réelle complicité Voir les termes affectifs qu'utilise la Comtesse et qui témoignent d'une réelle affection, au-delà d'une relation maîtresse servante : - Diminutif "Suzon" (l. 4) - "ma pauvre Suzanne" (l. 29) - "ma chère" (l. 35) En //, Suzanne manifeste beaucoup de tact envers sa maîtresse : - Euphémisme "m'acheter" (l. 6) - Quand elle évoque de façon détournée le trouble visible de sa maîtresse : "C'est

occurrence de historien et de historiographe (emprunt au latin historiographus. Le verbe désuet Historier apparaissant au XIVe siècle, et l'adjectif historique survenant en 1447 (emprunt du latin Historicus, lui-même emprunt du grec historikos. Le diminutif historiette remonte à 1657 (premier emploi par Tallemant des Réaux dans le titre d'un de ses ouvrages)[7]. Le vocabulaire savant du XVIIIe et du XIXe siècle permet ensuite l'apparition d'un vocabulaire plus spécialisé : préhistoire (en 1872), anhistorique…