Diocèse de Metz

l’autorité d’un évêque. A. LES EVEQUES Dans les communautés chrétiennes, on distingue les croyants et les prêtres (= chefs de communauté et administre des sacrements). Ces Eglises font partis d’une zone géographique qui s’appelle les diocèses. Il y a plusieurs diocèses qui vont former une province ecclésiastique à la tête de laquelle se trouve le métropolitain. B. LE PAPE Au milieu du IV ème siècle et surtout au V ème siècle, on voit se manifester un phénomène qui va prendre beaucoup d’importance

desserrer l'étau habsbourgeois. Henri II continue la lutte. Il reprend le Boulonnais et le Calaisis aux Anglais. En échange de son soutien aux princes réformés allemands en guerre contre l'empereur Charles Quint, il obtient le droit d'occuper Calais, Metz, Toul et Verdun. En 1559, le traité du Cateau-Cambrésis signe enfin la paix entre la France et l'Espagne. Sous le règne d'Henri IV, la Bresse, le Bugey, le pays de Gex intègrent le domaine royal. Dans un premier temps, il refuse d'unir à la couronne

consultant sa famille10 et s’appuyant sur les confidences du seul Baron (certes son comédien préféré, mais très mal informé11), raconte12 qu’au collège il avait comme condisciples Bernier et Chapelle, fils naturel d’un riche conseiller au parlement de Metz. Ce dernier avait comme précepteur Gassendi, philosophe sceptique et épicurien, qui aurait admis Molière parce qu’il avait remarqué chez lui des dispositions philosophiques, ainsi que Bernier et Cyrano de Bergerac. Mais toutes ces affirmations sont

Francs au Sud de la Belgique les Goths prennent Rome en 410 et s'installent en Espagne – les fleuves gelés facilitent l'invasion abandon de la Gaule au 5e s migrations des germains causées pas les Huns : en 451, Attila envahit la Belgique, pille Metz et assiège Orléans où il est repoussé puis vaincu sur les Champs cataloniques par les romains alliés aux germains – arrêt des pillages francs - « Union Sacrée » 2. les modes juridiques d'installation des germains au sein de l'Empire Rome évite

famille[n 7] et en s’appuyant sur les confidences du seul Baron, qui était certes son comédien préféré, mais très mal informé[n 8], raconte qu’au collège il avait comme condisciples Bernier et Chapelle, fils naturel d’un riche conseiller au parlement de Metz[3]. Ce dernier avait comme précepteur Gassendi, philosophe sceptique et épicurien, qui aurait admis Molière parce qu’il avait remarqué chez lui des dispositions philosophiques, ainsi que Bernier et Cyrano de Bergerac. Mais toutes ces affirmations sont

L’Eglise mettra au point un système d’autorisation d’enseignement. Système de la licentia docenda, une autorisation d’enseigner. Désormais, pour ouvrir une école, il faudra être muni d’une licence d’enseignement. L’Eglise la décline au sein du diocèse [par l’évêque]. Pas de résistance car ce sont des clercs et l’Eglise les retrouvent. Pour les arts libéraux, cela fonctionne bien. Pour le droit et la médecine, il y aura un système autonome, un contrat entre maître et élève. Ces écoles [grandes

monde du tiers état rassemble des conditions qui ont rien a voir avec l ancienne unité du royaume qui n'est plus qu'un lointain souvenir le clergé : formé par ceux qui prient et ceux qui administre bien de l église on y trouve le clergé séculier : diocèse et le clergé régulier:monastère longtemps il a eu conscience de sa supériorité car c est l'ordre le plus proche du divin il participe au statut de la fonction royale c est l ordre dont dépend le salut de la communauté . Au 18°s on voit un phénomène

par les théologiens de la Sorbonne pour hérésie. Cependant le privilège royal le protège. En mars 1546, Rabelais se retire à Metz, ville de l'Empire, chez Étienne Laurens, et est nommé médecin de la ville de Metz. La maison de Rabelais est un édifice situé en contrebas de la colline Sainte-Croix, en bas de la rue d'Enfer, dans le quartier de l’Ancienne Ville. Envoyé à Metz pour préparer l'annexion française de 1552, François Rabelais, agent du roi Henri II, y séjourne de 1545 à 1547. Il y écrit en

desserrer l'étau habsbourgeois. Henri II continue la lutte. Il reprend le Boulonnais et le Calaisis aux Anglais. En échange de son soutien aux princes réformés allemands en guerre contre l'empereur Charles Quint, il obtient le droit d'occuper Calais, Metz, Toul et Verdun. En 1559, le traité du Cateau-Cambrésis signe enfin la paix entre la France et l'Espagne. Sous le règne d'Henri IV, la Bresse, le Bugey, le pays de Gex intègrent le domaine royal. Dans un premier temps, il refuse d'unir à la couronne

dissémination des lieux de plaisir pouvait être forte : Strasbourg comptait 60 établissements prostibulaires. Et les prostituées exerçaient dans la quasi totalité des quartiers de Paris, Lyon et Dijon. A Metz elles étaient dans des rues réputées honorables. La réaction amorcée à la fin du XVe s’affirma au XVIe : à Metz, on tenta de contenir la prostitution dans des espaces réservés et les bordels de rétention furent institués à Valencienne en 1507 et à Grenoble en 1545. La plus grande politique répressive